Jaques Millet, le destin de Joseph Brodsky français


    (На русском - en russe) Jacques Millet n’avais pas su obtenir quelque attestation d’école supérieure et il pouvait ne pas lire la poésie classique des trouvères et celle des troubadours pendant ses recherches infinies de nourriture et de logement en France et particulièrement il n'a rien trouvé en période des dernières années de sa vie misère en Suisse. Seule la voix inférieure de Jacques savait dicter, à sa propre poésie, les rimes médiévales. Celles-ci avaient été pratiquées il y a huit-cent ans à travers l’expression médiévale des idées. Je présuppose que la vie antérieure de Jacques Millet avait été liée avec les mêmes souffrances du trouvère fier qui créait au treizième siècle. Ses œuvres ont ressemblées la nature poétique de Colin Muset poète français au deuxième quartier du treizième siècle. Par la réincarnation expresse, ces mêmes puissances dirigent notre monde. L’une à l’autre illustrent la nullité du protectionnisme sur la base de notre actualité plastique. Le destin de Jacques Millet démontre que notre réalité n’évalue que les cultes et non leurs poètes du passé. En France et en Suisse francophone, leur nomenclature a humilié le citoyen français Jacques Millet avec l’âme probable de Colin Muset, le trouvère. Les «dieux» vifs abaissent l’héritage classique de l’Europe jusqu’aux niveaux des sous-hommes drogués, jusqu’aux bandits animaux d’alcool qui n’amènent que à l’enfer. En russe, j’ai traduit une chanson fameuse de Colin Muset sous le titre «Sire cuens, j'ai vielé» (Monsieur compte, j’ai une viole) parce que sa description de la pauvreté avait développé les mono rimes communes de Moyen Âge qui ont devenues uniques pour chaque groupe de quatre strophes comme l’a fait Jacques Millet qui ne lisait rien pendant toute sa vie. Jacques Millet s’est peigné, car en France et en Suisse le citoyen français n’avait pas été accepté par réfugié comme celui des pays du troisième monde. C’est pourquoi, Jacques n’a eu aucun droit de continuer à vivre depuis le 3 novembre 2017 non sur les rues froides sous les pluies à son âge de soixante ans. Jacques Millet avait horriblement peur de sa mort lente sous les averses froides en automne 2017. C’est la raison pour laquelle dans mes vidéos, Jacques Millet essaie de tromper qu’il était le familier de quelque monarque musulman. En Suisse et en France, dans ces tous deux pays plus riches du monde, sans accord d’être fermé à quelque maison d'aliénés par son propre désir, Jaques Millet n’a trouvé aucune autre place afin de sécher soi-même et pour se garder au chaud. Ce fait unit le destin de Jacques Millet et celui de Colin Muset. Dans ses poèmes, le texte du trouvère médiéval a ses propres mono rimes uniques. Celles-ci unissent quatre lignes de son propre poème mentionné «Sire cuens, j'ai vielé» (Monsieur compte, j’ai une viole). Ce dernier a la coïncidence commune, par la thématique et par la forme de rimes, avec la poésie de Jacques Millet, alors qu’en Suisse la vie de Jacques a été évaluée bien plus meilleur marché que celles des bandits drogués sans visage et sans domicile fixe sur tout le territoire du canton Vaud.

    Colin Muset:
    SIRE CUENS

Sire cuens, j'ai vielé, (Monsieur conte, j’ai touché une viole;)
Devant vos en vostre ostél, (Devant Vous dans votre hôte)
Si ne m'avés rien doné (Si Vous ne m'avez rien donné)
Ne mes gages aquitté; (Non mes salaires obtenus;)
C'est vilenie. (C’est l’antique instrument à corde.)

Foi que doi Sainte Marie, (Alors je dois à Sainte Marie)
Ainc ne vos siervai je mie: (Jamais je ne vous persécuterai justement)
M'aumosnière est mal garnie, (Ma bourse du mendiant est remplit du mal,)
Et ma malle mal farcie. (Et mon vêtement de rue est mal farci.)
Sire cuens, car comandez (Monsieur conte, car Vous me commandez)
De moi vostre volonté. (Avec moi il est votre volonté.)
Sire, s'il vos vient à gré, (Monsieur, s’il vous vient chaque fois)
Un beau don car me donez, (Un beau don parce que vous me le donnez)
Par cortoise. (Par courtoisie.)
Car talent ai, n'en dotez mie, (J’ai le talent, vous n’en dotez le mien,)
Me raler à ma mesnie: (de m’aller à la famille:)
Quant j’i vois borse desgarnie, (Quand je vois la bourse vide,)
Ma fame ne me rit mie... (Ma faim ne me rit pas…)
Ainz me dit : «Sire Engelé» (Ainsi elle me dit «Monsieur Engelé»)
En quel terre avez esté (Quel lieu l’avez-vous été)
Qui n’avez riens conquisté? (Pour ne rien rapporter?)
Trop vos estes deporté (Vous avez trop paressé)
Aval la vile! (À travers la ville!)

Vez comme vostre male plie (Voyez comme votre besace se plie)
Et est bien devant farsie! (Elle est remplie de vent)
Honi soit qui a envie (Maleur à celle qui a envie)
D’estre en vostre compaignie! (De rester en votre compagnie!»)
Quant je vieng à mon hostel, (Or, quand je viens à mon hôte)
Et ma fame a regardé (Et ma faim a regardé)
Derrier moi le sac enflé, (Derrière moi le sac devient plaint,)
Et ge qui suis bien paré (Et le geai à qui je suis bien ressemblé)
De robe grise, (De la robe grise.)
Sachiez quele a tost jus mise, (Sachez qu’elle court vers moi,)
La quenoille sans faintise (La quenouille ; sans feintise)
Ele me rit par franchise (Elle me rit ; par franchise,)
Ses deus bras au col me lie. (Ses deux bras au col me lie.)

Ma fame va destrousser (Lors ma femme va vider)
Ma male sans demorer (Mon sac sans plus demeurer;)
Mon garçon va abuvrer (Mon fils va abreuver)
Mon cheval et conreer; (Mon cheval, et l’étriller;)
Ma pucele va tuer (Ma servante va chercher)
Deus chapons pour deporter (Deux chapons, pour me fêter)
A la janse alie. (Et les épices)
Ma fille maporte un pigne (Ma robe apporte ma fille)
En sa main par cortoisie. (En ma main par courtoisie…)

Lors sui de mon ostel sire (Lors suis de mon hôtel sire)
A moult grant joie sans ire (Et j’y puis chanter et rire,)
Plus que nuls ne porroit dire. (Plus que nul ne saurait dire.)

      Les poèmes originaux de Jacques Millet en français - Поэтические подлинники Жака Мийé на французском:

      Jacques Millet, le poète:
      1 - Armée du Salut

      Alliée des gens dans la souffrance,
      Recours que les gens pauvres lancent,
      Méritant le Christ et son amour immense,
      Espoir de ceux vivant plus que l'offense
      Élèvent par le Christ et leur besoin d'amour

      Dans différents lieux mais pour le bien toujours
      Unis dans le Christ et son désir d'amour :

      Secourir le pauvre avec ou sans détour,
      Aiment Dieu, son fils, sa royauté,
      Unis à Dieu sous son autorité,
      Travaille cette Armée pour notre Salut.

      2 - Vivre en famille et être citoyens, citoyennes

      Vous êtes tous des personnes
      Individuellement qui raisonnent
      Voir qui se façonnent
      Raisonnablement et qui donnent
      Efficacement et pardonnent.

      Enfants et autres personnes
      Ne trouvent pas, toujours, leurs places;

      Famille, société qui menacent,
      Amis qui, souvent, s'effacent
      Même s'ils sont efficaces,
      Intéressants comme l'était Horace
      Libre; c'est toujours mieux en face
      Loin des propos qui fâchent
      Et des enfants qui gâchent,

      Ensemble c'est une lourde tache
      Toujours travailler à la tache.

      Élever, mais sans être vache
      Taire les propos qui fâchent,
      Répéter de bonne façon
      En famille avec ou sans oraison;

      Ce qui compte, c'est la bonne raison.
      Intérieur ou hors de la maison
      Travailler en toutes saisons,
      Obtenir toujours de bonne façon
      Yens, roubles ou bien trésors,
      Ecouter ce qui vient du dehors,
      Notre santé pour notre corps.
      Soigner avec l'accord,

      Ceux qui sans remord
      Incitent nombreux à l'effort,
      Toutes les personnes avec amour
      Obligées de fuir toujours;
      Yangs nuisibles du Darfour
      Espérant du mieux toujours
      Ne nuisant, ni aux siens un jour,
      Ni à ceux qui font du bien ce jour
      Espoir d'un Cœur qui, par amour,
      Sera à votre service toujours.

      3 - Le Noël du Poste

      Lieu qui fait honneur
      En Christ, Notre Seigneur,

      Noël, vent vainqueur,
      Croyez avec Cœur,
      Écoute, dans la bonne humeur,
      Les gens qui font honneur.

      Dans ce lieu porteur,
      Unissent de bonheur.

      Par ceux, écoutant le Seigneur,
      Glissant en acteurs
      Secourir, sans peur,
      Toutes personnes dans le malheur,
      Espérant en un Dieu Vainqueur.

      4 - La Pastorale de la rue

      Lieu d'accueil et d'espérance,
      Avec les personnes en souffrance

      Pour vivre et faire une alliance
      Avec Dieu quel bonheur immense.
      Secours des plus malheureux
      Trouver un soutien valeureux
      Où se découvre un mieux
      Recours, qui peut rendre heureux
      Aux personnes, souffrent dans leur âme
      Le secours et l'amour d'une femme,
      En qui Dieu a mit une flamme

      De Jésus, le reflet dans une âme
      Et quelqu'un la soutient dans l'effort.

      Le soutien de ceux dans leur corps
      Auquel la souffrance du mord

      Réduit la puissance du corps
      Un endroit définit comme ami
      Espérance pour moi infinie.

      5 - De ressource de l'Armée de Salut au monde

      Lieu où nous sommes tous réunis
      Ensemble en belle harmonie.

      Recours des plus démunis.
      Espoir pour nous, infini
      Trouver un lieu accueillant
      Offert par des cœurs vaillants
      Unis dans un lieu attrayant,
      Réunion de gens bienveillants.

      Devoir de gens de tout âge
      Efficaces par leur bel ouvrage.

      Lieu nouveau méritant notre hommage.
      Animés par Dieu d'Esprit sage,

      Revenus, ici dans ce beau paysage,
      "Morges", nous accueilles. Сent vingt ans, le bel âge
      Écoutant et conseillant par de beaux langages,
      Essayant de sauver à tous âges
      Des gens dans la difficulté,
      Un geste de grande humanité.

      Salut de lieux par Jésus habités
      Avec l'aide de son Esprit facilité.
      Le langage et les mots pour aimer
      Unis, pour dû meilleur, animés
      Tant d'âmes ont pu s'y être aimées.

      Avec ces lieux aujourd'hui estimés,
      "Morges" permet cette demeure
      Organisé par vous tous en ces heures,
      Réunis en ce jour de bonheur,
      Gardiens de l'Esprit et des mœurs,
      Épanouissant nos cœurs avec affection
      Sera ce beau jour d'inauguration...

      6 - Nous vous aimons Josiane et Philippe en ce jour

      Ne craignez pas ce jour de bel amour,
      Offert à vous et pour toujours.
      Unis vous allez être au nom de l'amour
      Serviteur de Dieu sans détours.

      Vous partagerez les battements de vos cœurs;
      Ou que vous soyez dans la bonne humeur
      Utile l'un à l'autre, l'amour vainqueur
      Selon votre foi, la bonne rumeur.

      Accompagnant votre foi, votre cœur plein d'émoi
      Inspirez vous futes de vous voir plusieurs fois
      Mais heureux au total cette fois.
      Ouvrez vos cœurs, vous fîtes cents fois.
      Nous vous accompagnons ce jour
      Sûrs, pour nous, de votre amour;
      Je l'assure, il vous fit la cours
      Offrant votre cœur pour amour,
      Sentant battre le sien pour vous,
      Inspiré par plusieurs rendez-vous.
      Aimée par lui comme il est pour vous,
      Nous sommes heureux ce jour, je vous l'avoue
      Être ensemble avec vous pour ce bête événement

      Et sous nous tous un enchantement
      Trouver deux cœurs qui s'aiment tendrement,

      Pour l'amour présentent élégamment
      Heureux que vous vous fûtes trouvés;
      Instant joyeux n'a jamais gravé
      Le lien précieux songez à présenter
      Insigne du bonheur vous est réservé.
      Philippe, nous t'accompagnons dans ce merveilleux moment
      Pour que du bonheur vous louchiez seulement
      Épris l'un de l'autre vous êtes au firmament

      Ensemble réunis, nous sommes joyeusement.
      N'éloigniez pas ces flammes qui ont brulement
      Certain que Dieu vous protège vaillamment
      Et Philippe espérer seulement
      Josiane, vous aimer tendrement,

      Obtenir votre main, était son ambition.
      Unis vous l'êtes heureuse constatation
      Réunie nous, voilà en seule l'admiration
      Sera ce beau jour d'inauguration.

      Millet Jacques M. J.


    Le 3 novembre 2017, M. Jacques Millet, le poète francophone a fini son existence dans ce monde matériel à travers le suicide en Suisse. Pendant les derniers 2 ans, il habitait dans la chambre d’une femme. Pour ce logement, Jacques Millet travaillait gratuitement dans le jardin du propriétaire. En outre, cette femme avait obligé Jacques à quitter son logement sans cause. Sous la peur de décéder longtemps sous la pluie dans la rue, Jacques s’est pendu. Il a devenu le gibet sans dernier espoir à l’âge de 60 ans. En France, son beau-père le tenait dans hôpital psychiatrique depuis l’enfance de Jacques Millet malheureux. Sous la pression de son beau-père puissant en France, l’ordre français a interdit Jacques d’étudier et de travailler officiellement. Alors que il voulait contredire à cette même décision des psychiatres, sans aucun droit de l’homme, l’on fermait ce poète dans les prisons des malades mentaux pendant toute la vie de M. Millet. Chaque fois, il quittait ces hôpitaux en état de légume. En 2012, il est venu en Suisse afin de demander le statut de réfugié comme moi.


   Au canton Valais, j’ai obtenu le droit de devenir le requérant d’asile et de recevoir 480 francs pendant chaque mois depuis le 4 janvier 2012 jusqu’au 21 décembre 2019, car j’ai le passeport israélien et Israël n’entre pas dans la Communauté Européenne. Au contraire, Jacques Millet n’avait que le passeport français et sa patrie était considérée le pays “démocratique”. Seuls les pays “totalitaires” ne doivent pas persécuter leurs citoyens sans motivation. Au contraire, tous les états “démocratiques” peuvent faire n’import quoi avec leurs hommes qui n’ont aucun droit sur la défense politique en Europe et en Amérique. Par la soutenance du gouvernement du monde, les pays “démocratiques” peuvent transformer, en enfer, les vies de leurs citoyens comme Jacques Millet. Seulement pour le fait que mon passeport n’est ni européen, ni canadien, ni américain, le bureau des requérants d’asile m’a présenté assistance sociale et le logement en Suisse, où j’ai habité pendant 8 ans sans deux semaines depuis le 4 janvier 2012 jusqu’au 19 décembre. Au contraire, Jacques Millet n’a rien obtenu en Suisse, car il avait passé toutes ses souffrances horribles depuis 1967 en France, sur le territoire de la zone «démocratique». Jacques Millet appartenait à la nationalité française. Il n’était ni musulman, ni réfugié. Pour cette même raison, la France ne lui a présenté aucun logement sans son ami garant qui travaillait stablement. De 2012 à 2014 au canton Vaud de la Suisse, l’Armée de Salut lui a donné une petite chambre pour notre poète misère. Jacques Millet avait le passeport du pays “démocratique”. C’est la raison pour laquelle à Vevey, l’Armée de Salut avait tous les droits d’obliger Jacques Millet à quitter sa résidence en 2014. Si Jacques Millet n’avait pas voulu distribuer, gratuitement, la nourriture pour les hommes pauvres (qui, comme moi, étaient bien plus riches que Jacques) et si M. Millet n’avait pas commencé à travailler dans son rôle du jardinier gratuit, il aurait dû finir de vivre par ce même suicide ou de l'autre façon en 2015. Au mois de novembre 2017 sans avertissement, les pires ennemis de la nationalité française ont obligé Jacques Millet à abandonner le jardin, où il avait été d’accord de travailler toujours gratuitement par l’esclave afin de ne pas mourir lentement sous les averses dans les rues de Vevey en Suisse. En 2013, j’ai téléchargé 6 poèmes de Jacques Millet et l’histoire de sa vie. Sur YouTube, M. Jacques Millet a décrit son destin misère en France. En Internet il y 7 ans et demi, Jacques avait raconté de quelle façon la France a moqué de son âme et l’Europe “démocratique” n’a pas vu les larmes de Joseph Brotsky https://fr.wikipedia.org/wiki/Joseph_Brodsky en France, car ce même poète Jacques Millet n’était pas notre stupide soviétique Brodsky avec 7 années de l’école secondaire à cause de sa propre maladie mentale par la nature soviétique. Si, comme le stupide Joseph Brodsky, Jacques Millet avait été le requérant d’asile de l’URSS en 1973, il aurait devenu le professeur post.doctorant à 6 meilleures universités anglophones et il aurait reçu le prix Nobel pour sa propre poésie. En dehors de la politique, les poèmes de Brodsky étaient formulés sur la base de ses 7 classes de l’école secondaire et sur le fond de sa maladie mentale qui était bien pire que celle du poète Jacques Millet qui m’a rappelé beaucoup Joseph Brodsky réel avant 1973 en URSS. Sans protection et sans consécration des dieux du gouvernement du monde, la plupart des poètes aura le destin de Jacques Millet sans futur. Je voudrais que tous les français, comme le poète décédé Jacques Millet, et les requérants d’asile des pays «démocratiques» aient tous les droits de l’homme comme les ont seuls les représentants des pays «totalitaires» en Europe. Toujours, alors que plusieurs réfugiés avait été admis, parmi les terroristes, la bureaucratie a essayée de piquer les droits des hommes malheureux comme Jacques Millet.

En automne 2017 après le décès de Jacques Millet, j’ai rédigé mon meilleur vers en français. J'ai consacre celui à la brièveté de ce même espace cosmique. Peut-être, de l'autre monde c'était le cadeau de l’âme de Jacques.


    Alexander Kiriyatskiy:
    ORIGINE DE TOUT NOTRE COSME

    L’idée des mondes plus parfaits est préférée par Dieu,
    Leurs dix sept courtes dimensions sont connectées bien mieux
    Que trois métriques des maux cosmiques au temps pour être vieux
    Et l'on décède dans ce futur sans connexion des lieux.

    Car dans cinquante milliards tours d’années, viendra la mort,
    Vite se perdront nos molécules, il ne sera nul corps:
    Dont les distances entre eux vaincront le sens plus fort
    Des Trous Noirs qui se cacheront par nos derniers rapports.

    La perfection de leurs parties se trouve dans toutes les sphères
    Nos évidences se pratiquent dans chaque point pour les faire
    Cette paix réelle des contredits, tiennent une lumière sans guerres,
    Il est possible d’ajourner la fin de l’univers.

    Ses Trous Noirs n’ont aucune distance
    Entre nos particules fidèles,
    Qui ont, à l’ordre, la puissance
    De leur donner l’union partielle

    Avec ses mondes d’Absolu…
    Années, quatorze milliards! Dans
    L’une de ces sphères, aviez voulu
    Dire l’infini à un mutant

    De nul espace. Par aucun temps,
    La belle vitesse du haut salut
    A fait unir l’ordre présent
    Passé pour son prochain non lu.

    Nos galaxies sont temporelles,
    Elles naissent du minimum... L’enfance
    Du diable explosait leur ciel
    Aux six milliard d’années, aux chances:

    Avant cette explosion des rames pour notre crise d’espace,
    L’autre présent n’a nul passé, car il n’a rien qui passe,
    Où il n’existe pas danger de l'êtres qui menace
    À l’harmonie, là-bas sa place domine surtout en face.

    Alors dix sept mesures plus dures ont figuré le fond
    Plus grand que ce même univers dans son petit neutron…
    Ses opposés ne se battent pas, où tous ensembles n’ont
    Rien impossible de ce règne à nulle frontière du Bon.

    Milliard de fois, les quantités des forces dominaient
    Sur notre nombre de matières perdues par leurs années.
    À l’intérieur, tous nos atomes sont vides. Ceux-ci sont nés
    Sous l’énergie noire de nulle couche qui tente d’éloigner

    Ses électrons et nos protons.
    Par la faiblesse des formes,
    Les galaxies disparaîtront.
    L’obscurité énorme

    Fera éteindre nos étoiles
    Dans le futur. Leur but
    Élargira l’abîme spatial
    Qui nous approche des chutes,

    Où nos gravitations grosses luttent
    Que l’unité soit maximale.
    Son signe «minus» casse toutes leurs routes
    Qui le conduisent à l’un idéal

    Que notre astre dorme
    Des cinq milliards d’années au trône
    De l’homme. Encore, comme l’orme,
    Que se grandisse l’humaine personne.

            La tradution de la chanson de Colin Muset en russe - Перевод песни Колена Мюзé на русский язык:

              Колен Мюзé:
              CИР ГРАФ

            Сир граф, моя виола
            Перед Вами склонится до пола,
            От Вас – ничего. Моя школа
            Без злат заслуженных гола,
            Древние ноты.

            Марии должен в Святейшем,
            Вас не преследую в дальнейшем,
            Сумка пуста моя в злейшем
            Горе, в рванье полнейшем,
            Граф, верен приказу,
            Я Вашей воле, и к сглазу,
            Сир, приду к Вам я сразу,
            Ваш дар положу я в вазу,
            Учтивы заботы.

            Строфе поддержка живая,
            От Вас иду, где семья, я,
            Как вижу, пачка пустая,
            Не смеюсь голодая,
            Смех в ней: «Сир, Ангелок,
            Куда твой ступал сапог?
            Ничего связать не мог,
            Вы бездельник, мой дружок,
            В граде зевоты.»

            Как Вашу слóжите суму,
            Что ветра полнá, потому
            Горюшка жаждущему
            Пасть с Вами вместе ко дну.
            С талантом прихожу в мой дом,
            Голод, ты глянь под окном,
            Полная сумка с вином,
            И я схож с сойкой в одном:
            Серой одеждой птиц.
            Знай, бегство ко мне девиц
            Без притворства их роговиц,
            Смех чист любящих лиц,
            На шеях руки заботы.

            Быть женщине пустой,
            Сумке не стать не худой,
            Сын мой напоет водой,
            Кем конь тут обнят гнедой,
            Служанке искать младой,
            Колтуна два, вон, стой,
            Приправы добыты.
            Ризу мне даст моя дочь,
            Рукой прилежной помочь.

            Тогда у дома я, Сир,
            Спел смехом на весь мир,
            Лучше не сказать у лир.

    Жак Мийé не получил аттестат средней школы и он мог не читать поэзию трубадуров и труверов в течении постоянных поисков еды и ночлега во Франции, а особенно в период своих последних лет жизни на территории Швейцарии. Только внутренний голос Жака мог диктовать строфам его поэзии рифму восьми ста летней давности и её средневековую манеру выражения мыслей. Я предполагаю, что в своей предыдущей жизни, почти восемьсот лет назад, Жак Мийé прошёл те же страдания гордым трувером, который оказался очень похожим на Колена Мюзé, французского поэта второй четверти тринадцатого столетия. Нарочитой реинкарнацией - силы, которые руководят нашим миром, друг другу показывают ничтожность протекционизма пластмассовой современности. Судьба современного поэта Жака Мийе доказывает, что наша реальность ценит культы, а не поэтов прошлого. Живые «боги» нашей продажной номенклатурной действительности опускают реальное классическое наследие Европы во французском гражданине, Жаке Мийé с вероятной душой трувера, может быть, даже самого Колена Мюзé, до уровня полу животных наркоманов, до опущенных бандитов, страшных алкоголиков Франции и франкоязычной Швейцарии, чьим душам одна дорога - в ад. Я перевёл на русский язык одну знаменитую песню Колена Мюзé под названием «Сир граф, моя виола» потому, что в ней описание нищеты развило общие средневековые моно рифмы, они - общие для каждой группы четырёх строф. То же самое делал и Жак Мийе, который не читал почти ничего в течении всей жизни. Жак Мийе повесился так, как во Франции и в Швейцарии французский гражданин не причисляется к беженцам, выходцам из стран дикого третьего мира. Поэтому Жак не обладал права продолжать жить с 3 ноября 2017 года не на мокрых, грязных, холодных улицах Европы в свои шестьдесят лет. Жак Мийе боялся медленной смерти под проливным дождём поздней осенью. Поэтому на моих видео Жак Мийе пытается обмануть, что он – родственник какого то мусульманского монарха. В Швейцарии и во Франции, в этих, может быть, самых богатых странах мира без личного согласия лечь в сумасшедший дом по своему собственному желанию, Жаку в мире не нашлось места, чтобы обсохнуть и согреться. Именно этот факт и объединяет судьбы Жака Мийе и Колена Мюзе. У средневекового трувера в тексте едина моно рифма первых четырёх строф выше упомянутого его стихотворения «Сир граф, моя виола» с уникальным случайным совпадением по тематике и по форме с поэзией Жака Мийé, чья жизнь в Швейцарии ценилась ниже самых последних безликих бомжей всего франкоязычного кантона Во (Vaux).


              Les tradutions des poèmes de Jacques Millet en russe - Переводы стихотворений Жака Мийé на русский:

    Жак Мийé:
    1 - Армия Здоровья

    Алея к страданьям людей,
    Обжалуй, что нет бедным вестей,
    Заслужи Христа да любовь у друзей,
    Надежду, не обиду из новостей.
    Учат Христом, нужна любовь, не беда

    В разных местах, ну и за добро всегда
    Едина жажд любви Христа – вода.

    Растёшь не быком из телят,
    Смолкнуть темам, что вас злят,
    К добру повторять обряд,
    При семье с молитвой или без, я рад»

    Шла без.. иль с тропой в обход помощь года,
    Любят царство Бога, где Сын; уйди беда,
    Единство властью чей, спасений череда.
    Работе Армии здоровья вечно: «Да!»

    2 - Жить в женщине, чтоб быть гражданами да гражданками

    У вас, людей, тетрадь,
    Вам персонально всем рассуждать,
    Видеть: кем создавать,
    Разумно кто смог давать,
    По результату – тому прощать

    Мальцам и другим, как знать.
    Не найти век мест, мир мал
    В семье обществ: кто угрожал,
    Друзей часто предавал,
    Успех чей под вал.
    Интересно, Гораций как стал
    Свободным, лучше в лоб шквал.
    В дали темы, кем злят
    Из детей, что вредят.

    Вместе – тяжесть задач, им спад,
    Трудись над ней все дни подряд.

    Важен повод, нужно потому,
    Без, аль внутри, на дому
    Трудится год одному,
    У добра добиваться всему

    В енах, в рублях, лучше клад -
    Слушать то, что из вне; пусть парят
    Здравие в нас и тела уклад,
    Лечит в согласьи пат.

    Без стыда велят
    Век угождать подряд
    Всем людям любовью, хмуро
    Бежать должна чья натура,
    Злобные янки с Дафура
    Ждут у лучших гламура,
    Смыслом дня не вредит их шкура,
    Творимым добром, чья фигура
    Любовью сердца для тура,
    К вашим услугам фура.

    3 - Пост к Рождеству

    Место, что творит честь
    В Христе Господня весть.
    Верь, ветер, победи спесь,
    С сердцем рождён, как есть.
    Слушай, радостей не счесть
    Люду, что творит дар весь.

    В том месте прочесть
    Единств прелесть.

    Скользит Господня весть,
    В актёрах совесть,
    Тем без страхов сесть
    К горю, нам помощь несть,
    Победой с Богом поесть.

    4 - Оформленье улицы

    Место встреч надежд вдоль зданий
    С личностями из страданий,

    Творить, жить в единствах желаний
    Какое счастье божьих дланей,
    Помощь для самых несчастных:
    Найти им поддержку властных,
    Лучший придёт из прекрасных –
    Вернёт счастье в судах напрасных.
    Личностям боль душ не тронь
    Жалобой, любви Марии конь,
    В нём, Господь, зажги огонь.

    Отрази Христа в душе, гармонь.
    Поддержал её кто-то в стараньях.

    За поддержку телом в желаньях,
    Потом, после укуса, в страданьях

    Уменьшит силу плоти в признаньях.
    Местность определяет, как друга,
    Без края надежду досуга.

    5 - Из средства «Армии Здоровья» миру

    Место встреч наших агоний
    Всех вместе: средь благих гармоний.

    Суд самых бедных зловоний
    Вечной надежде симфоний:
    Нашёл место, где хлебосол,
    Из сердца к добру глагол
    Заманчиво к дому привёл,
    Собрал людей сесть за стол.

    Долг люда всех поколений,
    Успехи красот откровений –
    Новой точке наших почтений.
    С Духом мудрым – Бог оживлений.

    В чудесный пейзаж прейдя вновь с молений,
    «Морж», в нас чти сто двадцать твоих дней рождений,
    Слушай, советуй с двух языков изречений,
    Спаси жизненность всех поколений
    У людей с тяжёлым их дном
    Великого человека трудом.

    Мест здравие у живущих с Христом,
    Помощь Духа его простоты с добром,
    Полюбить речь да слова в одном
    Лучшем долге ожившем, благом.
    Столько душ век любимы в другом,

    Почётном, на сегодня, месте том.
    «Морж» дал жильё жизнь для нас,
    Его создали вы все в данный час,
    Тем днём счастья, о жилье указ,
    Хранитель Духа да нравов спас,
    Наши сердца наполнит любви огнём,
    Инаугурацией красот тем днём.

    6 - Мы любим Жозеану да Филиппа в их день

    Не страшитесь дня прелестной любви,
    Предлог на страсть, всегда яви,
    Едиными станьте, имя чувством зови,
    Божий раб, измену дави.
    Сердец биенья распределяйте в крови,
    Страсть в прекрасном настроеньи жива,
    Друг в дружке победит любовь сперва,
    По Вашей вере, чуда молва.

    Веру ведём вашу, где в сердце переполох,
    Все видят: хитрость нёс вам каждый вздох
    Счастьем в тот раз, чем зелен мох,
    Откройте сердца верой крох.

    Провожаем вас этим днём,
    Верим вашей любви с огнём.
    Уверен, урок ваш учтём,
    Для сердец с любовью вам в нём
    Чувства биений сберечь,
    Вдохновляющих множество встреч.
    Им возлюбленной я скажу речь,
    Счастье отныне должна ты беречь,
    С вами я вместе с данных событий век буду.

    Пир под нами, верь одному чуду:
    Вот два сердца: любовных сил – всюду,
    Одинаково пылких на благо люду.
    Весёлые друг друга нашли,
    Не угаснет миг радости вдали,
    Представь связку, драгоценность в пыли,
    Знак счастья, хранимый в груди, им шли.
    Филипп, тебя провожаем в удивительный миг,
    Окосейте, блаженство жених постиг,
    Влюблённым друг в дружку небосвод сколь велик.
    Едины вместе мы, ребёнок да старик.
    Не отдаляй огонь, жесток предшественник,
    Защити, Бог, и доблесть, ваш родник.
    Ждать Филиппу, один он проник
    В Жозеану, вам спой, любви язык:

    У амбиции добиться вашей руки,
    Един на счастье вывод вдоль реки,
    Нас собрав, восхитил, чувства крепки
    Днём коронаций они велики.

(Переводы с новофранцузского и средневекового старофранцузского сделаны и представлены Александром Кирияцким - Du français en russe, les traductions poétiques des poèmes antérieures ont été rédiées et présentées par Alexander Kiriyatskiy)

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После самоубийства Жака Мийе, в 2017 году я написал своё лучшее стихотворение на французском, посвящённое смертности Вселенной, может то был подарок души Жака с того света. Собственный данный стих рифма в рифму, как и ударение в ударение, так почти слово в слово я перевёл на русский язык поэтически.


    Александр Кирияцкий:
    ПРОИСХОЖДЕНИЕ НАШЕЙ ВСЕЙ ВСЕЛЕННОЙ

    Миров идею с совершенством Бог предпочитал,
    Семнадцать кратких измерений, вне времён накал…
    Взрыв к метрикам трём – Космоса, что Стариться устал,
    Грядущий крах сплетенья мест расширил, вмиг, овал.

    Чрез миллиардов пятьдесят – кругов к ним смерть придёт,
    Раздроблены молекулы, масс нет, зри мрак пустот,
    Победы расстояний жди над сущностью.., разброд
    Из Чёрных Дыр, что спрячутся с последней вязью нот.

    Хвостов галактик правильность к находкам всяких вер,
    Их вероятность видится на каждой точке мер.
    Противоречья плотностью свет держат без войн сфер,
    Возможно, отодвинули конец вселенских эр.

    Внутри Дыр Чёрных: расстояний
    Нет у им преданных частиц,
    Закон могущества влияний
    Связал частично и цариц

    С мирами Абсолюта в теле …
    Тринадцать миллиардов лет,
    С одной из сфер Вы захотели
    Мутанту в Вечность дать совет,

    Там нет пространств до их времён,
    Грядущих в прошлых не прочти:
    То, что сцепить даёт закон
    Со скоростью, как луч почти.

    Галактик всех не вечен лес,
    Их Минимум создал ... Дитя
    Из первых звёзд взрывает бес,
    Шесть миллиардов лет спустя.

    Раздвинешь ими жар на кризисе, единств урон:
    Ты будишь настоящее, а прошлое, прочь, вон!
    Нет совершенств! Опасности у граней от сторон,
    Ещё – анти материи – у бездн мерил заслон.

    Семнадцать измерений цельно пали у основ
    Мощнее, чем Вселенная, нейтрон без берегов.
    У противоположности нет войн её врагов,
    И кажется: реальное у царства «благ» оков.

    Раз в миллиард: начальное над нами превзошло,
    Коль пустотелы атомы, их отдалять могло:
    Материей потерями делилось мира зло,
    Невидимо, исчезло чтоб последнее число.

    Протоны с нами, электрон
    Слаб формой, упорхнуть ему
    Галактики исчезнут. Фон
    Пронзит уже без края тьму,

    Заставит каждую звезду
    Угаснуть в будущем. Чтоб пал
    Мир расширенья, гиб в аду,
    Пусты зияния, развал,

    Сил гравитаций Плюс спасти,
    Единствами бой собирал.
    Знак «минус» разрушал пути,
    Куда вёл свыше идеал,

    Грей дрёму, солнце, сразу
    Пять миллиардов лет, но трон
    Людей подобен вязу,
    Росла чтоб личность у персон.