N de courrier: S E U – 0 1 1 0 0 1 – 00  –  2 0 1 0 1 6   /  Le 16.VI.2021, ce recours  a été rejeté https://www.m310014.uqam.ca/refusN4.pdf  - https://www.m310014.uqam.ca/refusN4.htm  

 

mon N du dossier: 20 – 01 – 06 6  08 – E U – E Y T A :

 

https://www.m310014.uqam.ca/RECOURS2020.pdf/

https://www.m310014.uqam.ca/RECOURS2020.htm

A la Cour Nationale des Droits d’asile en France d’Alexander Vadimovitch KIRIYATSKIY citoyen d’Israël, avec sa nationalité russe et non hébraïque, par l’adresse: Alexander KIRIYATSKIY, CHEZ SPADAR N 36241, 1 RUE ERNST HEMINGWAY, 66100 PERPIGNAN.

https://www.m310014.uqam.ca/ASILE-USB.htm

Recours qui demande d’annuler  la DECISION DE REJET D’UNE DEMANDE D’ASILE POLITIQUE ET ARISTIQUE.

Alexander Kiriyatskiy: Sans nombreuses masques

 

Que mon peuple était // contre son grand pays,

L’Amérique démontrait // que les jours sont nos nuits,

Affirmais que l’idée // des communes c’est le bruit.

Son Europe l’invitait, // car l'on n’a pas détruit

 

Mon État concourant. // Pour lui rompre le dos,

Tous de nos ennemis // ont reçu leurs cadeaux

Par plusieurs prix Nobel // qui faisaient très prudes aux

Mots des vers qui ne coûtent, // aujourd’hui qu’un verre d’eau

 

Et donnaient les travaux // des meilleurs professeurs

Aux stupides soviétiques // qui n’avaient nul saveur

Par beaucoup d'ans non plains // aux écoles de soudeur:

Pour leur faire des armées // contre l’île du bonheur.

 

Qui n’avait aucune languE, // sauf le russe, était lié

Aux plus hautes sociétés, // où habitent aux palais,

Car ils ont obligé // la Russie à aller

Vers l’abîme de l’enfer. // À l’Europe, ce pas plaît.

 

Il n’y a plus mon Union // qui pouvait contredire

Aux Rois illuminés // par le Cosme bien pire,

Au diamant de la dure // hiérarchie en plaisir

Du contrôle sur chaque âme // et du gris souvenir.

 

1/ Je prie la CNDA de confirmer que mes œuvres poétiques que je produis, de telles considérations apparaissent relever des cas prévus aux articles L711-1, L712-1 et suivants du Code d l’Entré et du Séjour des Etrangers et du Droit d’Asile en France, car en français mes 60 poèmes tragiques illustrent mes souffrances pendant 21 ans et 5 mois, pour ma nationalité russe qui a ma citoyenneté israélienne du goï russe. Je prie la CNDA que CELLE-CI se retire du traité d’amitié entre Israël et l’Europe selon l’interdiction européenne de présenter l’asile politique aux israéliens malgré plusieurs persécutions de ces derniers sur le territoire d’Israël et sur celui d’Europe sous la pression israélienne. Je ne suis pas l’un des esclaves de l’Etat Américain sous le titre Israël. Je prie la Cours Nationale des Droits d’Asile d’annuler le refus de l’OFPRA et de confirmer que les documents présentés dans ce même dossier et mes 60 poèmes en français me permettent d’obtenir mon asile artistique en France. Alors que les extrémistes islamiques terrorisent l’Europe et le Canada, tous deux veulent limiter la quantité des ses refugiés reconnus et commencent à rejeter seuls les requérants russes comme moi, malgré le fait que nous ne sommes pas circoncis. 50 pour cent des israéliens russes ne sont pas circoncis comme moi et ne sont liés ni avec le judaïsme, ni avec l’islam. Depuis 1989 jusqu’à 2020 les demandeurs d’asile, qui ressemblent les statues antiques, reçoivent les refus en Europe et au Canada pour leurs prépuces longs, quasiment toujours.  La France est le quatrième pays de ma demande d’asile. En 2004 la première fois, j’ai demandé l’asile au Canada. En 2004 pour obtenir l’asile là, les requérants d’asile devaient payer la concussion en volume de vingt mil dollars canadien à travers plusieurs avocats comme Madame Venturelli. En 2005, le prix d’asile québécois a commencé à coûter cinquante mil dollars. Mon désir de manifester cette même information à tout le monde m’a aidé à de recevoir mon site à l’Université du Québec à Montréal https://www.m310014.uqam.ca/apropos.htm  Mon site québécois avait l’autre adresse qui s’est modifiée le 9 juin 2018.

 

 

2 / Depuis 2006 jusqu’à 2012, j’avis peur de recevoir la réponse négative à ma demande d’asile en France comme je l’avais reçu au Canada sans permis de démontrer la vérité au ministère de la citoyenneté et aux journalistes au Québec en 2005 et en 2006. L’absence de mon passeport, mes tumeurs de kystes et le cancer de M. Altoukhov m’ont obligé à demander l’asile en Suisse, la deuxième fois. La Suisse rejette toutes les demandes d’asile pendant une année. Depuis le 4 janvier 2012 jusqu’au 26 juin 2019, je recevais 480 euros par mois comme le requérant et recourant d’asile en Suisse. Là, je n’étais pas totalement rejeté pendant 7 ans et demi, car depuis le 5 janviers 2009 jusqu’au mois de juin 2019, l’Allemande devait payer son amende en volume de 730 000 euros pour mes détensions figuratives l 5.01.2009 et au mois de juin 2009. La Suisse voulait mettre mon argent en volume de 730 000 euros sur mon compte courant de l’une de ses banques.

 

 

3/ Au mois de juillet 2019, la Russie était le troisième pays, à l’ambassade duquel à Berne, j’ai demandé l’asile. L’absence de mon passeport israélien m’interdit de traverser les frontières de la Russie. Cette dernière est le pays de mon origine et de ma nationalité russe depuis ma naissance en URSS qui s’est datée le 11 mai 1970. Après ma traduction française de la réponse de l’ambassade russe, je vous présente son texte original. C’était mon troisième refus qui a la signature du Chef du département consulaire de la Fédération de la Russie en Suisse.

 

 

 

4/ Je prie la CNDA de confirmer l’ordre que si la France était le troisième pays de ma demande d’asile, votre Cout Nationale du Droit d’asile aurait tous vos droits d’accepter ce même recours de ma quatrième demande d’asile depuis 2004. Les pages suivantes de ce dossier décrivent les erreurs de chaque proposition du refus l’OFPRA à travers mon analyse directe de deux pages de sa réponse négative.

 

 5/ Pendant mon audience à l’OFPRA le 7 octobre 2020, je croyais que CELUI-CI avait lu attentivement tous mes dossiers et avait regardé tous mes 117 documents juridiques.  J’ai présenté ces derniers à l’OFPRA dans mes trois recours en Suisse. A mes regrets comme le SEM à Berne, l’OFPFRA avait dissimulé les persécutions de ma personne en Israël et les demandes israéliennes de me persécuter au Canada de 2004 à 2006, en France de 2006 à 2012 (pp. de ce même recours 16-33, 37-40 et 45-52, 63-69), en Allemagne en 2010, où je n’habitais jamais (pp 6-8, 9-10), en Espagne  en 2011 (pp. 94-98), en Suisse de 2012 à 2019 (pp. 8-9, 12-16 et 53-60, 93) et en Italie de 2017 à 2019 (pp. 98-108). L’OFPRA a dissimilé l’information essentiel de mes trois recours en Suisse. Je prie la CNDA de confirmer que, comme la Suisse, Israël peut attribuer l’antisémitisme à ma voix afin de me fermer dans les prisons. Là, l’on me tuera que je ne puisse pas à développer la musique de mon grand-père juif. Ma détention israélienne me menace sur le territoire de l’un des Etats Américains, sous le titre d’Israël. Le 7 octobre 2020, mon audience à L’OFPRA a ignoré l’explication de mon Recours à Saint-Gall, daté le 20 février 2019. L’OPFRA a masqué le fait qui avait été déclaré sur les pages 9 et 10 du paragraphe 14 du même recours au TAF, (14 -)  le SEM n’a pas accepté que j’habitais en Israël seulement depuis le 20 mais 1999 jusqu’au mois d’octobre 2002. Sur la page 3, les dernières phrases du premier paragraphe confirment leur ignorance de toutes mes réponses. Comme en 2002, de 1999 à 2002 partout en Israël, j’étais toujours licencié au septième jour sur toutes les places de mon travail physique sans qualification. Il y a 17 ans, j’avais ma puissance physique pour faire ce même travail. Partout, l’on m’avait licencié en Israël que je ne pouvais pas payer aux musiciens pour leurs jeux de la musique symphonique de mon grand père Benjamin (Veniamïn) Khaèt, le compositeur russe juif. La musique de mon grand père présente la concurrence à la mafia israélienne et américaine. Le SEM avait rejeté cette même explication et ne l’a pas introduit dans son texte allemand. De cette même façon, le SEM a ignoré le résultat de mon logement dans l’appartement dangereux à Perpignan en 2011. J’ai déclaré que depuis 2012 les douleurs de mon dos ne me permettent pas de travailler physiquement comme avant 2011. En 2015 et en 2018, je vous ai envoyé les textes de mes poèmes publiés en «youtube». Leurs sujets 10 n’avaient aucune «reprise» des propos «antisémites». 90 pour cent de mes affirmations manquent dans la nouvelle décision du SEM. Sa traduction allemande n’a aucune connexion avec mes réponses ignorées. Mais je les ai prononcées le 7 août 2018. Comme en 2015, sur la page 3, les phrases finales du premier paragraphe de cette même interprétation trompent: Vous auriez par ailleurs tenu à plusieurs reprises des propos antisémites en récitant vos propres poèmes. En 2015 et en 2018, j’avais envoyé au TAF ces mêmes trois poèmes afin de démontrer que ces poèmes n’ont aucun rapport avec l’antisémitisme. Le 9 mai 2018, votre Tribunal Administratif a annulé la décision du SEM selon cette même affirmation. Le SEM n’avait pas accepté l’idée essentielle de mes déclarations et j’ai souhaité enregistrer notre discours en vidéo afin de démonter: pour quelle motivation: le 7 août 2018 le SEM continue à répéter ses erreurs antérieures qui étaient rejetées par le Tribunal Administratif le 9 mai 2018?

 

6/ De cette même façon, l’OFPRA n’a pas déclaré que la Suisse a été le deuxième pays, où j’ai demandé l’asile. L’OFPRA a fermé les yeux sur le fait que le premier pays de ma demande d’asile était le Canada. Ce dernier est bien plus totalitaire que l’Etats Américain d’Israël. En Israël, la confirmation canadienne de mon deuxième cycle universitaire n’est que la poubelle sans protection oligarchique.

 

7a/ En 2002 j’ai quitté Israël, car ce dernier m’avait interdit de travailler par l’ouvrier sans qualification légalement sur son territoire. Depuis 1999 jusqu’à 2008 et depuis 2010 jusqu’à nos jours, j’étais illégal sur le territoire israélien bien pire que j’étais illégal en France, alors que j’ai étudié à l’Université de Strasbourg à l’Ecole Doctorale depuis 2007 jusqu’à 2010.  L’OPFRA a dissimulé mes trois années académiques du doctorant. Sur la page 10 le paragraphe 15, mon Recours à Saint-Gall, daté le 20 février 2019.

 

7b/ Particulièrement, l’OFPRA a ignoré la réalité que j’ai exécuté toutes les exigences doctorales pour soutenir ma thèse afin de quitter l’Europe en 2011 avec mon diplôme de Docteur en philosophie. J’étais d’accord avec ma vie dans la rue, car j’avais mon droit de travailler légalement pendant chaque jour en 2008 et en 2009 en Israël. L’OFPRA trompe, alors que CELLE-CI affirme que mais également en Allemagne, où il a rencontré des problèmes avec l’autorité. Je n’habitais jamais en Allemagne, car je ne sais pas sa langue. Je ne voulais jamais rester ni en Allemagne, ni en Angleterre. Je me servais de l’aéroport allemand afin d’arriver à Strasbourg plus beau marché pendant mes études à l’Ecole Doctorale à l’Université de Strasbourg.  L’OFPRA n’a pas lu le paragraphe 19 sur la page 11 du recours mentionné. Je n’avais aucun conflit avec l’autorité allemande. En 2010 cette dernière m’a aidé. En Allemagne dans la voix du policier russe, cette autorité m’avait donné l’adresse de mes détentions falsifiées le 5 janvier 2009 et au mois de juin 2009.

 

 

Je prie la CNDA de confirmer que, sans pression israélienne et américaine, l’Allemagne n’avait aucune motivation de m’attribuer mes détentions sur son territoire, alors je ne trouver en Israël et physiquement je ne pouvais pas être détenu en Allemagne. Sur la page 93, le seau de sa douane de Frankfort  le démontre le 05.09.09.

 

8a/ L’OFPRA ferme les yeux sur le fait que la police allemande m’a expliqué que, pour cette même falsification, l’Allemagne devait me payer l’amende en volume de 730 000 euros pendant dix ans jusqu’au mois de juin 2019. L’OPFRA a dissimulé la première page de mon Recours à Saint-Gall qui avait été daté le 6 avril 2016. L’OPFRA a masqué le fait que le Tribunal Administratif de Saint-Gall a soutenu mon recours le 9 mai 2018, car avant le 26 juin 2019 j’avais mon droit de recevoir l’amende allemande en volume de 730 000 euros. La Suisse voulait que j’ais mis ces mêmes 730 000 euros dans quelque banque suisse. C’était l’unique motivation pour laquelle, le Tribunal Administratif de Saint-Gall ne m’a pas donné son refus totale en 2013, une année plus tard après ma demande d’asile en Suisse le 4 janvier 2012.

 

 

8b/ Sur la 4e page de la Réponse du TAF à ce même recours le 25.10.2019, j’ai déclaré que j’avais analysé 117 erreurs concrètes du SEM sur 126 pages qui ont objectivement analysé le refus du SEM daté le 18 mars 2019. Ces mêmes illustrations des 117 lapsus devaient obliger M. le juge William Waeber à annuler la réponse du SEM comme le TAF l’avait fait le 9 mai 2018. En outre en 2019, M. le juge William Waeber n’a pas lu ma nouvelle analyse datée le 8.04.2019. Je n’avais pas signé les documents du SEM qui voulaient m’attribuer l’antisémitisme. Je vous prie de confronter la traduction allemande de mes réponses et l’antisémitisme qui a été attribué à moi le 18 mars 2019 comme le 20 février 2015. Le 7 août 2018, je n’ai rien dit contre Israël et contre les juifs. M. le juge William Waeber n’a pas lu mon recours qui avait démontré par plusieurs faits que je n’étais jamais antisémite.

 

8c/ Sur les 7 et 8  de la Réponse du TAF à ce même recours le 25.10.2019 j’affirme que  mon recours rejeté par ce même Tribunal Administratif était lié avec le 26 juin 2019, alors que 10 ans ont passé après ma détention falsifiée en Allemagne au mois juin 2009. Je me trouvais en Israël depuis le 30.04.2009 jusqu'au 5 septembre 2009 et je ne pouvais pas me trouver en Allemagne et en Israël en même temps aux mois de juin 2009. Déjà depuis le 26 juin 2019, l'Allemagne ne doit pas me payer 730 000 euros pour son action criminelle contre moi. Cette même coïncidence des dates m’oblige à supposer que jusqu’au 21 juin 2019, la Suisse attendait que devait passer dix ans après cette même détention falsifiée, j’avais perdu 7 ans et 7 mois sans permis d’étudier en Suisse et sans permis de travailler par ma qualification du doctorant de la dernière année universitaire. Je ne peux pas croire que la Suisse m’oblige à quitter son territoire non plus tôt que ces mêmes 10 ans aient dû passer après cette même détention falsifiée de ma personne au mois de juin 2009 en Allemagne.

 

8d/ Sur les pages 16 et 17 je dévoile que M. le juge William Waeber affirme qu’en Israël son (mon) diplôme d’Ouzbékistan n’aurait pas été reconnu et il (mon Master de Tachkent) m’aurait interdit de travailler… 3b - M. le juge William Waeber n’a pas peur d’affirmer de ma voix que «les diplômes d’Alexander Kiriyatskiy obtenus en Ouzbekistan n’auraient pas été reconnus ». Mon diplôme est reconnu par le master israélien du 2e cycle complété en Israël. En outre, M. le juge n’a pas lu que le pays Israël m’a interdit de faire tout, de m’occuper des travaux sans qualification de ces mêmes faits racontent les paragraphes 109e, 109f, 110, 111 sur la page 106 et sur celle 107 de mon recours. Comme en Afrique en non en Asie, M. le juge William Waeber n’a pas lu la plupart de mon dossier. De cette même façon, mon payement en volume de 750 francs présuppose sa lecture obligatoire de mes paragraphes 73b, 73c, 74a, 74b, 74c, 74d, 74e , 74f, 74g, 74h, 74i, 74j, 75, 76a, 76b sur les 47-63. Ces mêmes 16 pages de mon recours ont été consacré à la reconnaissance israélienne et suisse de mon seul diplôme (et non plus) d’Ouzbékistan et à l’absence de cette même reconnaissance israélienne et suisse de mon master à l’Université de Trente (Trento) qui occupe la deuxième place parmi 20 meilleures universités italiennes.

 

8e/ Je prie la CNDA de confirmer que 42 paragraphes de la Réponse du TAF à ce même recours le 25.10.2019 illustrent 42 lapsus de M. le juge William Waeber. Ses affirmations absurdes démontrent qu’il n’ouvrait jamais mon dossier. Seule ma possibilité de recevoir 730 000 euros aurait obligé M. le juge William Waeber à admettre mon recours précédent le 9 mai 2018, si ce même Monsieur le juge n’avait rien lu de mes dossiers ni en 2015, ni en 2018, ni en 2019 ???? En 2019 M. le juge William Waeber n’était pas informé que 16 pages de mon recours, daté en 2017, ont été consacré à la reconnaissance israélienne et suisse de mon seul diplôme (et non plus) d’Ouzbékistan et à l’absence de cette même reconnaissance israélienne et suisse de mon master à l’Université de Trente (Trento) qui occupe la deuxième place parmi 20 meilleures universités italiennes selon leurs ratings .

 

9a/ L’OFPRA trompe, alors que celle-ci déclare mais également en Allemagne, où il a rencontré des problèmes avec l’autorité, car le paragraphe 5 du recours mentionné illustre information suivante:

 

5)  Mes 75 documents sur 200 pages, regroupés dans mes 3 dossiers, confirment mes persécutions en France, en Allemagne et en Espagne. Ces 75 documents sont substitués par 11 documents sans importance sur le plan juridique à travers la Décision d’Asile N572 092 Kop N de pers. 173 245 47 de SEM. Là, mes documents confirment pour quelle raison la condamnation de mort me menace pour mes propos révoltés contre les mafias juives. Ces documents illustrent pourquoi Israël me persécutait sur son  territoire, au Canada et en Europe de 1999 à 2011. L’auteur de La Décision d’Asile N572 093 Kop N de pers. 173 245 47 du Secrétariat d’Etat aux migrations n’a rien lu de mes dossiers, car en 2009 je n’étais jamais arrêté en France et j’ai fini ma 2e année académique sans aucune pression de la Préfecture d’Alsace en 2009.  J’attire l’attention de votre tribunal de recours sur le fait que depuis le 8 mais 2008 jusqu’au 31 janvier 2009 je me trouvé en Israël. Mon document bleu d’Israël démontre que je suis revenu en France le 31 janviers 2009 et, physiquement, je ne pouvais pas être arrêté en France par mon arrêt du 5 janvier 2009 du Tribunal administratif fédéral TAF, E-3767/2006, 4. 1), car le 5 janvier 2009 je me trouvais en Israël, alors que j’avais le droit sur mon travail officiel en Israël pendant toute l’année 2009. J’affirme le fait qu’avant le 2 février 2009, je n’étais pas encore admis en 2e année académique de mon Ecole Doctoral à l’Université de Strasbourg. Le fin de la page 3 cette Décision n’est que le mensonge qui ment et humilie l’honneur du SEM à travers l’affirmation suivante: L’évaluation de la vraisemblance consiste  et une évaluation globale de tous les éléments (concordance des faits principaux, fondement et plausibilité des indications crédible de la personne, etc.) plaidant ou non en faveur du requérant. Les faits allégués ne sont vraisemblable que si les éléments positifs l’emportent. Ils ne le sont donc pas si la teneur des allégations est certes possibles, mais que des détails essentiels et prépondérant dans l’appréciation des aspects s’apposent auxdits faits (cf. arrêt du 5 janvier 2009 du Tribunal administratif fédéral TAF, E-3767/2006, 4. 1). J’ai souligné la date de mon retour en Israël le 08.05.2008 et la date de mon départ d’Israël le 31.01.2009 qui confirme le mensonge lié avec mon arrêt du 5 janvier 2009 d’aucun Tribunal administratif fédéral TAF, E-3767/2006, 4. 1. Si ce même tribunal administratif TAF, E-3767/2006, 4. 1 dénonce comme auteur d’un crime ou d’un délit ma personne que ce même cf. arrêt du 5 janvier 2009 du Tribunal administratif TAF, E-3767/2006, 4. 1 sait innocente, ce même cf. arrêt du 5 janvier 2009 du Tribunal administratif TAF, E-3767/2006, 4. 1 rend coupable de dénonciation calomnieuse au sens de l’art. 303 CP, punissable d’une peine privative de la liberté de ce même Tribunal administratif TAF, E-3767/2006, 4. 1 jusqu’à 20 ans ou d’une peine pécuniaire depuis 2009 jusqu’à 2015. Si ce même cf. arrêt du 5 janvier 2009 du Tribunal administratif TAF, E-3767/2006, 4. 1 dénonce une infraction qu’il sait que le 5 janvier 2009, moi, Alexander Kiriyatskiy, je me trouvais en Israël et n’avais pas été commis, ce même cf. arrêt du 5 janvier 2009 du Tribunal administratif TAF, E-3767/2006, 4. 1 se rend coupable d'induction de la justice en erreur au sens de l’article 304 CP, punie par une peine privative de sa liberté privilégiée jusqu’à 3 ans ou une pécuniaire. Si ce même cf. arrêt du 5 janvier 2009 du Tribunal administratif TAF, E-3767/2006, 4. 1 me soustrayait à ma poursuite pénale ou à l’exécution de ma peine pour "mon arrêt" du 5 janvier 2009 au sens de l'art. 305 CP, alors que je me trouvais en Israël, ce Tribunal administratif TAF, E-3767/2006, 4. 1 punie par une peine privative de sa liberté privilégiée jusqu’à 3 ans ou une pécuniaire.

 

9b/ L’OFPRA a dissimulé mon document suivant qui démontre que depuis le 8 mais 2008 jusqu’au 31 janvier 2009 je me trouvé en Israël. Mon document bleu d’Israël démontre que je suis revenu en France le 31 janviers 2009 et, physiquement, je ne pouvais pas être arrêté en France par mon arrêt du 5 janvier 2009 du Tribunal administratif fédéral TAF, E-3767/2006, 4. 1), car le 5 janvier 2009 je me trouvais en Israël, alors que j’avais le droit sur mon travail officiel en Israël pendant toute l’année 2009.

 

 

 

 

10/ L’OPFRA a menti que j’ai soutenu mon Master deux à l’Université du Québec à Montréal, car cette dernière n’est pas la meilleure université québécoise. En 2006 au Canada, l’UQAM m’a aidé à confirmer mon MASTER DEUX italien.  En 2004 à Trente, j’ai soutenu la Maîtrise du deuxième cycle complétée à la deuxième université en Italie par son rating. Si les Etats-Unis me m’avaient pas persécuté depuis 1999 jusqu’à nos jours, j’aurais trouvé plusieurs travaux israéliens et canadiens sur la base de mes masters de la meilleure université italienne et sur celle de mon master qui  été confirmé au Québec.

 

11/ L’OFPRA a ignoré pour quelle motivation financière en Suisse, où ma demande d’asile a fait l’objet d’un rejet après sept ans de résidence sur le territoire,… Si depuis le mois de juin 2009 jusqu’au 26 juin 2019 l’Allemande ne devait pas me payer l’amende en volume de sept cent trente mil euros, ma demande d’asile aurait fait l’objet d’un rejet après UN an de ma résidence sur le territoire de la Suisse et ne serait jamais admis le 9 mai 2018, il y a 6 ans et demi après ma demande d’asile en Suisse.

 

 

 

12/ Ce même document de ma résidence en Suisse démontre que l’OPFRA a remplacé huit ans sans deux semaines de ma carte de séjours en Suisse par sept ans de mon logement en Suisse le 4.01.2019, alors que j’étais le recourant d’asile qui n’avait pas le refus, car encore n’ont pas passé 10 après ma deuxième détention falsifiée en Allemagne au mois de juin 2009. Depuis le 4.01.2012 jusqu’au 21.12.2019 ont passé 8 ans sans deux semaine. Ce temps est bien plus long que les processus de tous les autres refus d’asile en Suisse qui sont entrés à la plupart de leurs requérants pendant une année.

 

13/ Deux détentions falsifiées obligeait l’Allemagne à me payer 730 000 euros jusqu’au 26 juin 2019, car celles-ci m’ont interdit de soutenir ma thèse à l’Université de Strasbourg, à Celle de Salamanque et à Celle de Lausanne. L’OFPRA a dissimulé les paragraphes 54-b, 54-c, 54-d et 55 sur les pages 28, 29, 30, 31, 32, 33 de mon Recours au Tribunal administratif fédéral TAF, case postale, 9023 Saint-Gall d’Alexander Vadimovitch KIRIYATSKIY le 8.04.2019.  Par 10 documents juridiques sur les pages 93-97, de ce même dossier, votre recours peut démontrer et confirmer que ces deux falsifications criminelles contre moi en Allemagne m’ont interdit de soutenir ma thèse à l’Université de Strasbourg, à Celle de Salamanque et à Celle de Lausanne. Les pages 98-107 de ce recours à la CNDA démontrent que l’action allemande contre moi en 2010 m’interdit de recevoir la copie correcte de mon MA italien et de son supplément en Italie depuis 2017 jusqu’à 2019. Je prie la Cour Nationale du Droit d’asile (CNDA) de lire attentivement chaque page de tout mon recours, car le français est votre langue maternelle. La Suisse croyait que je pouvais prendre mes 730 000 euros de l’Allemagne afin de mettre ceux sur ses comptes bancaires. C’était l’unique raison pour laquelle le Tribunal Administratif de Saint-Gall a admis ma requête le 9 mai 2018 sans sa lecture. En outre le 26 juin 2019, le TAF a rejeté ce même dossier non modifié, car depuis le mois de juin 2019, 10 ans avait passé et l’Allemagne a cessé de devoir me payer son amende. Les premiers deux pages du dernier recours s’appuyaient sur l’ordre concret:

 

14/ Je prie le monde de lire, attentivement, mon analyse de cette même décision négative qui a été datée le 18 mars 2019 et a devenu celle suivante après la première décision antérieure du SEM .

 

 

15a/ Sur la base de ma réponse au SEM en 2015, je prie le TAF de confirmer que la décision antérieure du SEM, selon mon asile, a été déclaré le 20 février 2015Selon l’ordre sur l’asile Suisse 142. 31 et la loi 44. 3 du 26.06.1998, si pendant 4 années depuis le 20 février 2015 jusqu’aux 21 février 2019 la décision négative suivante n’avait pas été formulé et celle-ci avait été signé par le TAF après le 22 février 2019, sa référence N de pers. 17324547.0 aurait perdu toute sa validité de me renvoyer.

 

 

15b/ Le Tribunal Administratif Fédéral avait eu tous ses propres droits d’annuler cette même décision suivante pour son apparition bien plus tard que le 22 février 2019. Je priais le TAF de confirmer l’évidence que cette même décision négative suivante a été formulée et signée le 18 mars 2019, 23 jours plus tard que pendant quatre années après la décision antérieure du SEM qui avait été rejeté par le TAF. Je prie la CNDA de confirmer le fait que L’OFPRA a fermé les yeux sur le fait que selon l’ordre 142. 31 j’ai eu tous mes droits de recevoir l’admission de Saint-Gall le 26 juin 2019. Je l’ai reçu le 9 mai 2018, alors que j’avais mon droit sur l’amende allemande pendant 10 ans. Ces derniers ont passé le 26 juin 2019 depuis le mois de juin 2009. L’OFPRA écrit qu’en France, où il (moi) a étudié d’abord à l’Université de Strasbourg avant de s’installer à Perpignan. Je voulais beaucoup d’étudier à Perpignan. Mais je n’étudiais jamais là. Pourquoi l’OFPRA dissimile mes études à l’Université de Picardie en 2006 et en 2007?

 

 

15c/ Pour dissimuler le fait que j’ai passé tous les épreuves aux examens de la 1re session du semestre 3 en Décembre 2006 et Janvier 2007. L’Université d’Amiens n’a reconnu ni mon master de la meilleure université italienne, ni mon master québécois pour l’amitié français et celle américaine/israélienne. C’est la raison pour laquelle, j’ai reçu la carte de séjour d’étudient en France pour l’année académique 2006-2007. C’était le résultat de la collaboration d’amitié entre la Picardie et Israël. Au contraire, alors que mon master italien avait était accepté à l’Université Marc Bloch à Strasbourg et l’Equipe d’accueil m’avait validé, conformément aux modalités de validation fixée par le conseil de l’Ecole Doctorale, Israël a obligé la France a annuler ma carte de séjours d’étudiant pour me fermer dans la prison à Strasbourg en 2008 et en 2010, car pendant 3 années académiques j’étudiais à l’Ecole Doctorale illégalement.

 

 

      

16a/ En 2007 à Amiens, je devais soutenir mon mémoire sous le titre «GUILLAUME IX DUC D'AQUITAINE (1071-1127): LES INFLUENCES SUR SES POEMES ET SES INFLUENCES» parmi les autres étudiants qui n’ont pas traduit sa poésie en français depuis 1127 jusqu’à 2006 pendant 879 ans. Mes propres traductions de ce même troubadour avaient été utilisées en Wikpedia

 

 

16b/ Je prie la CNDA d’accepter le fait que l’OFPRA a dissimulé le fait qu’en 2007 pour mes propres traductions en Youtube et pour l’utilisation de mes traductions mentionnées en Wikpedia, l’Université de Picardie m’a fermé dans l’hôpital psychiatrique que je devais téléphoner au consulat d’Israël et demander son aide afin d’obtenir ma liberté.     

 

 

En 2018 en Suisse, j’ai reçu le certificat du psychiatre fameux que je n’ai aucune maladie psychique. Je prie la CNDA de confirmer sa validité.

 

16c / Je prie la CNDA de lire, obligatoirement, les paragraphes 21 et 22 sur les pages 14, 15, 16, 17  et 18 de mon Recours au Tribunal administratif fédéral TAF, case postale, 9023 Saint-Gall d’Alexander Vadimovitch KIRIYATSKIY le 8.04.2019.  Le 7 octobre 2020, je voulais oublier mes souffrances en 2007 qui étaient liées avec la jalousie et avec son évaluation agressive de mes traductions poétique de 10 poèmes de Guillaume IX duc d’Aquitaine comme celle suivante:

 

Guillaume IX d'Aquitaine et de Poitiers la VIIe chanson

en occitan et en français

dans la traduction poétique d'Alexander Kiriyatskiy

 

VII - Pus vezem de novelh florir

 

Pus vezem de novelh florir

Pratz e vergiers reverdezir,

Rius e fontanas esclarzir

Auras e vens,

Ben deu quascus lo joy jauzir

Don es jauzens.

 

VII - Car nous voyons, de nouveau, fleurir

 

Car nous voyons, de nouveau, fleurir

Votre verger des prés verdir

Que les fontaines fassent leur plaisir,

Souffle le vent

Que la joie lui soit départie

Plus doucement.

 

D'Amor non dey dire mas be.

Quar no n'ai ni petit ni re?

Quar ben leu plus no m'en cove;

Pero leunens

Dona gran joy qui be'n mante

Los aizimens.

 

Dis bien d'Amour, et je le loue

Pourquoi je n'ai ni peu ni prou?

Puis je le chante, cave le trou

Que ma belle joie

Nous soit donné, plus aisément,

L'être des lois.

 

A totz jorns m'es pres enaissi

Qu'anc d'àquo qu'àmiey no jauzi,

Ni o faray ni anc no fi.

Qu'az esciens

Fas mantas res que 'l cor me di:

"Tot es niens."

 

Toujours je la destine ainsi

De ce que j'aime est-ce que je jouis?

Je ne fais rien puisque je fis

Comprendre très bien

Que la conscience du cœur dit:

"Qu'on n'attend rien."

 

Per tal n'ai meyns de bon saber

Quar vuelh so que no puesc aver,

E si l reproviers me ditz ver

Certanamens:

"A bon coatge bon poder,

Qui's ben suffrens."

 

Je n'ai pas mes joies de savoir

Que je n'ai nul amour chaque soir

Le vrai proverbe me fait croire

A toutes nos chances,

Au bon courage du beau pouvoir

Des belles souffrances.

 

Ja no sera nuils hom ben fis

Contr' Amor si non l'es aclis,

Et als estranhs et als vezis

Non es consens,

Et a totz sels d'aicels aizis

Obediens.

 

Le serviteur soit plus parfait,

Lorsque l'Amour lui se soumet

Que le voisin comme l'étranger

Ait sa conscience

Très attentive aux femmes aimées,

Sans différences.

 

Obediensa deu portar

A motas gens qui vol amar,

E coven li que sapcha far

Faigz avinens,

E que's gart en cort de parlar

Vilanamens.

 

Cette attention doit apporter

Les mots des gens aux volontés

Des cours qu'on sache, alors qu'on fait

L'événement

Que les vilains gardent, d'hurler,

Les mots criants.

 

Del vers vos dig que mais en vau

Qui ben l'enten ni plus l'esgau,

Que'l mot son fag tug per egau

Comonalmens,

E 'l sonet, qu'ieu mezei me 'n lau,

Bos e valens.

 

Le vers chantait, celui en vaut

Entend la mélodie des mots,

Que les plaisirs, couplets égaux,

Fassent la mesure

L'éloge est vante sans sons beaux

Des chanteurs sûrs.

 

A Narbona, mas ieu no 'i vau

Sia'l presens

Mos vers, e vuelh que d'aquest lau'

M sia guirens.

 

Et qu'à Narbonne, je n'y vais pas,

Soit désiré

Mon vers, que mon éloge là-bas

Me soit gardé.

 

Mon Esteve, mas ieu no 'i vau

Sia'l presens

Mos vers, e vuelh que d'aquest lau

Sia guirens.

 

Mon cher Esthète, mais puisque d' où

Soit présenté

Mon vers, que mon désir te loue

Me soit gardé.

 

16d/ L’OPFRA a dissimulé mes études à Amiens à cause de ma première requête en Suisse qui avait été admis par le Tribunal Administratif de Saint-Gall en 2018:

 

22 - Je remercie le SEM pour sa reconnaissance que cependant, le psychiatre de cet hôpital a confirmé que je suis normal. En outre, sa peur de la vérité a ignoré mes tourments en France comme au pays du troisième monde. 3) Les différentes provocations et les menaces de brûler mon cerveau: Le 22 janvier 2007 une dame du service social de l'Université a dit qu'on m'avait trouvé une chambre vide dans la résidence et que l'Université payait mon logement. Elle m'a fait prendre dans sa voiture, m'a conduit non à la résidence mais à l'hôpital psychiatrique et là m'a laissé pour désinfecter mon corps. Je ne devais pas contredire. Je devais être d'accord avec toutes les conditions et ne pas montrer de l'inquiétude pour mon futur. L’on m'a fait mettre un pyjama. Je suis resté dans les chaussettes spéciales de marle sans souliers. L’on m'avait enfermé dans une chambre, où j'ai attendu sur une chaise pendant 5-6 heures la commission 17 médicale. Plus tard, l’on m'a amené sans souliers sur la neige du même bâtiment à une voiture. Je savais parfaitement que je ne devais pas montrer ma douleur dû au chemin couvert de neige, qui comme le feu, m'a brûlé les pieds. La voiture m'a conduit au bâtiment avec l'isolateur dans lequel, comme je l'ai pensé, j'aurai pu reposer et passer la stérilisation de mon corps. L'acide "Ascarbiol" aidait à me débarrasser de la Gale de chien. L’on a brûlé mon corps 5 fois et pendant les 4 premières séances, puis on a changé tout le linge, les draps et le pyjama. Mais après chaque désinfection l’on a laissé une couverture infectée. L'on n'avait pas provoqué de mon inquiétude et on ne m'a pas fait prendre les traitements neuroleptiques. J'ai essayé de dire que je me suis servi de la même couverture avant ma stérilisation et qu'elle m'aura réinfecté. Après la première séance, je savais que l’on avait attendu la même réaction afin que je ne subisse pas de nouveau ces mêmes souffrances. J'ai pris immédiatement conscience que ma protestation de coucher sous la couverture infectée devait être considérée comme ma "psychopathie" afin de me faire boire les drogues neuroleptiques, pour motiver mon hospitalisation et pour arrêter mes études. J'ai choisi la souffrance pour ne pas être drogué de leurs traitements, bien que je sois tranquillement couvert de la couverture infectée. J'ai étonné les femmes qui avaient brûlé mon corps. Chaque processus de la désinfection avait deux étapes. L’on avait brûlé toute ma peau la première fois et dix minutes après on a répété le tourment. Je n'ai pas senti la douleur de la première stérilisation. Mais mes organes génitaux et ma peau sur le dos et sur la tête ont connu une douleur horrible après ce même deuxième tourment. Je devais ne pas laver mon corps couvert de l'"Ascarbiol" pendant 24 heures. L’on a répété quatre fois ces souffrances pendant toutes les 48 heures, alors que l’on est arrivé chez moi afin d' "analyser": si je m’étais débarrassé de la gale ou non? Mais après la quatrième violence sur mon corps, le médecin a vu les traits brûlés sur ma peau de la tête entre les cheveux et sur le dos. Alors tout de suite, l’on m'a conduit à l'Hôpital du Sur d'Amiens pour me manifester au dermatologue. Il a changé officiellement le numéro de l' "Ascarbiol". Ainsi, l’on a menti qu'on avait utilisé le numéro incorrect et on n'a pas pu immédiatement me débarrasser de la Gale. Mais quatre tentations inutiles m'ont laissé des traces sur ma peau. Si l’on le désirait, je pourrais dévoiler les mêmes traits sur le dos et sur la tête sous les cheveux. Ils sont restés avec moi pour toujours après les mêmes tourments à Amiens en 2007 mais n'avaient pas pu provoquer le stress. Lorsque j'avais passé la cinquième désinfection, l’on m'a permis de substituer la couverture infectée à la nouvelle et on a établi 48 heures après que je ne suis pas malade de la gale. Le service social m'a apporté un document, où on m'invitait le 17 février 2007 au tribunal qui devait déterminer la condamnation de Michel Plûquet. J'ai demandé la permission de quitter l'hôpital, dans lequel je me suis trouvé sans mon accord comme un prisonnier, car je n'étais pas déjà infecté de la même gale. Mon premier médecin, une jeune femme avec lunettes, âgée de 26 ans en hiver 2007, j'ai oublié son nom, m'a dit qu'elle voulait observer, pendant une semaine, mes relations dans la société avec les autres malades. La semaine passe pendant notre rendez-vous, elle avait essayé de m'obliger à boire les traitements neuroleptiques. Je lui ai répondu que je n'avais aucune dépression, je m'endormais immédiatement, donc je n'avais aucun besoin de traitement. J'ai dit, que si quelqu'un des infirmiers m'avait ouvert la bouche avec violence, serait venue la date de ma déportation en Israël de son hôpital prison et j'aurais déposé une plainte contre ce médecin. J'ai demandé la permission de téléphoner à l'Université ou à l'Ambassade d'Israël, car je n'ai pas demandé l'asile politique en France. Ce médecin m'a interdit de quitter l'hôpital prison, de témoigner à la cour contre Michel Plûquet, de téléphoner à l'Université, à 18 l'Ambassade d'Israël à Paris ou à quelqu'un d'autre et d'utiliser internet. Trois jours plus tard, elle m'a menacé de brûler mon cerveau. Je n'ai eu aucune réaction. Je l'ai trompé que j'avais éprouvé la morphine et qu'aucune drogue n'a jamais influencé sur ma conscience claire. Je lui ai dit que quand j'aurai quitté l'hôpital prison ma plainte l'obligera à me dédommager à hauteur de 30 000 euros pour violence. Je me heurtais cependant à son indifférence à tous mes mots. Je me suis adressé à une autre femme médecin Mademoiselle Corniers. Elle paraissait étrange. Sa mimique se muait spontanément comme la mimique de mon camarade à Tachkent. Il était psychiatre. Il ne prenait pas ses drogues neuroleptiques, alors qu’il étudiait à l’université. Pendant ses études, son visage était tranquille. Lorsqu'il avait débuté à expérimenter les traitements sur son corps, les mouvements de sa mimique commencèrent à ressembler à la mimique de Me. Corniers. Trois années plus tard, ce même camarade m'a dit qu'il était dépendant des traitements neuroleptiques comme des drogues. J'ai compris que je risquais beaucoup dans cet hôpital psychiatrique. J'ai dit à mon médecin que son amie médecin Me Corniers prenait les traitements neuroleptiques et dépendait des mêmes drogues. Si elle m'avait prolongé dans la dépendance comme Me Corniers, j'aurais demandé dans ma plainte qu'on l'interne afin d'examiner combien de temps Me Corniers pourrait supporter d’être privée de ses traitements neuroleptiques. Le même jour, l’on m'a présenté au nouveau médecin, Mme Masai. Elle a indiqué que ma santé psychique était stable. Je l'ai remercié. Elle m'a permis de quitter l'hôpital. Je n'ai passé que des nuits sur son territoire avant la réception de la chambre dans la résidence. Un de mes amis a envoyé mon message à l'Ambassade d'Israël, dans lequel j'ai demandé que l’on m'envoie en Israël comme l’on me déportera de Strasbourg le 8 mai 2008. La Croix Rouge m'a trouvé et m'a dis qu'on m'avait acheté un billet d'avion de Paris à Tel-Aviv. J'étais fatigué à causes des violences subies à Amiens. J'ai voulu revenir en Israël malgré le fait que je n'ais pas mon droit de travailler et de poursuivre mes études là-bas. L’on m'a expliqué que le même billet serait daté du dimanche 3 mars 2007, qu'une voiture spéciale viendrait me prendre de l'hôpital et que je devrais apporter là toutes mes valises de la Cathédrale. Vendredi soir, tous mes bagages se trouvaient avec moi à l'hôpital d’Amiens. J'ai signé le document, dans lequel il s'agissait que du dimanche matin le 3 mars 2007, donc j'aurais quitté l'hôpital sans droit de revenir. Samedi soir, l’on m'a dit qu'il n'y avait pas billet ni de voiture pour me conduire à l'aéroport comme l’on l'aura fait contre mon grès le 8 mai 2008. Le 2 mars 2007, l’on m'avait expliqué que si j'étais parti de l'hôpital afin de transporter de nouveau mes valises à la Cathédrale, l’on m'aurait obligé à le quitter le même 2 mars et de dormir dans la rue pendant 2 nuits. Il s’agissait là d’une dernière tentation de provoquer mon stress. La distance à parcourir à pied de mon bâtiment de l'hôpital à l'autobus était 800 mètres samedi, alors que l'autobus spécial arrivait là. Celle-ci était de 3 kilomètres dimanche, car il n'y avait pas ce même autobus. Il était impossible de marcher avec 80 kg de bagages. J'ai compris que je devais passer 2 nuits dans la rue. M. le prêtre Du Prêt est arrivé immédiatement à l'hôpital dans sa voiture et, de nouveau, il a repris toutes mes valises dans son bureau. J'ai rencontré en même temps une femme russe. Son fils était l’un des patients de cet hôpital. Elle m'a permis de dormir pendant deux nuits dans son appartement. Le 5 mars 2007 l'Université de Picardie m'a présenté un logement gratuit. Le vice président de l'Université m'a laissé croire que l’on me permettrait d'habiter là jusqu'au mois d'août 2007. C’était son mensonge…

 

Je suis très heureux qu’en France je me suis débarrassé des persécutions des psychiatres pour mes traductions poétiques et pour ma poésie francophone.

 

Le 3 novembre 2017, M. Jacques Millet, le poète francophone a fini son existence dans ce monde matériel à travers le suicide en Suisse. Pendant les derniers 2 ans, il habitait dans la chambre d’une femme. Pour ce logement, Jacques Millet travaillait gratuitement dans le jardin du propriétaire. En outre, cette femme avait obligé Jacques à quitter son logement sans cause. Sous la peur de décéder longtemps sous la pluie dans la rue, Jacques s’est pendu comme le gibet sans dernier espoir à l’âge de 60 ans. En France, son beau-père le tenait dans hôpital psychiatrique depuis l’enfance de Jacques Millet malheureux. Sous la pression de son beau-père puissant en France, l’ordre français a interdit Jacques Millet d’étudier et de travailler officiellement. Alors que Jacques voulait contredire à cette même décision des psychiatres, sans aucun droit de l’homme l’on fermait ce poète dans les prisons des malades mentaux pendant toute la vie de Jacques Millet. Chaque fois, il quittait ces hôpitaux en état de légume. En 2012, il est venu en Suisse afin de demander le statut de réfugié comme moi.

 

 

 

Au canton Valais, j’ai obtenu le droit de devenir le requérant d’asile et de recevoir 480 francs pendant chaque mois depuis le 4 janvier 2012 jusqu’au 21 décembre 2019, car j’ai le passeport israélien et Israël n’entre pas dans la Communauté Européenne. Au contraire, M. Jacques Millet n’avait que le passeport français et sa patrie était considérée comme le pays “démocratique”. Seuls les pays “totalitaires” ne doivent pas persécuter leurs citoyens sans motivation. Au contraire, tous les pays “démocratiques” peuvent faire n’import quoi avec leurs hommes qui n’ont aucun droit sur la défense politique en Europe et en Amérique. Par la soutenance du gouvernement du monde, les pays “démocratiques” peuvent transformer, en enfer, les vies de leurs citoyens comme Jacques Millet. Seulement pour le fait que mon passeport n’est ni européen, ni canadien, ni américain, le bureau des requérants d’asile m’a présenté assistance sociale et le logement en Suisse, où j’ai habité pendant 8 ans sans deux semaines depuis le 4 janvier 2012 jusqu’au 19 décembre. Au contraire, Jacques Millet n’a rien obtenu en Suisse, car il avait passé toutes ses souffrances horribles depuis 1967 en France, sur le territoire de la zone «démocratique». Jacques Millet appartenait à la nationalité française. Il n’était ni musulman, ni réfugié. Pour cette même raison, la France ne lui a présenté aucun logement sans son ami garant qui travaillait stablement. De 2012 à 2014 au canton Vaud de la Suisse, l’Armée de Salut lui a donné une petite chambre pour notre poète misère. Jacques Millet avait le passeport du pays “démocratique”. C’est la raison pour laquelle à Vevey, l’Armée de Salut avait tous les droits d’obliger Jacques Millet à quitter sa résidence en 2014. Si Jacques Millet n’avait pas voulu distribuer gratuitement la nourriture pour les hommes pauvres (qui, comme moi, étaient bien plus riches que Jacques). Si M. Millet n’avait pas commencé à travailler dans son rôle du jardinier gratuit, il aurait dû finir de vivre par ce même suicide ou de l'autre façon en 2015. Au mois de novembre 2017 sans avertissement, les pires ennemis de la nationalité française ont obligé Jacques Millet à abandonner le jardin, où il avait été d’accord de travailler toujours gratuitement par l’esclave afin de ne pas mourir lentement sous les averses dans les rues de Vevey en Suisse. En 2013, j’ai téléchargé 5 poèmes de Jacques Millet et l’histoire de sa vie. Sur YouTube, M. Jacques Millet a décrit son destin misère en France. En Internet il y 7 ans, Jacques avait raconté de quelle façon la France a moqué de son âme et l’Europe “démocratique” n’a pas vu les larmes de Joseph Brotsky en France, car ce même poète Jacques Millet n’était pas notre stupide soviétique Brodsky avec 7 années de l’école secondaire à cause de sa propre maladie mentale par la nature. Si, comme le stupide Joseph Brodsky https://fr.wikipedia.org/wiki/Joseph_Brodsky , Jacques Millet avait été le requérant d’asile de l’URSS en 1973, il aurait devenu le professeur post.doctorant à 6 meilleures universités anglophones et aurait reçu le prix Nobel pour sa propre poésie. En dehors de la politique, les poèmes de Brodsky étaient formulés sur la base de ses 7 classes de l’école secondaire et sur le fond de sa maladie mentale qui était bien pire que celle du poète Jacques Millet qui m’a rappelé beaucoup Joseph Brodsky réel avant 1973 en URSS.

 

Lésbió primúm // moduláte cívi

quí feróx belló, // tamen ínter árma

síve jáctatám // religárat údo

     lítore návim,

 

(À Lesbos, premier  // citoyen, respecte

notre guerre pour l’île. // Entre beaucoup d’armes,

ce bateau nageait // dans le port étrange,

plage sous l’averse.1)

 

(Quinte Horace Flacce)

 

Strophe d’Alexander Kiriyatskiy

Consécration de Joseph Brodsky

 

Un homme russe obtient // sa reconnaissance!

L’on tue chaque talent, // garde son absence…

Tombe ma Russie. // Pour l’intelligence,

Donne plusieurs chances

 

À ses favorites // que puissent appartre

Nos personnes fameuses // des médiocres Lettres,

Car votre Pouvoir // ouvre sa fenêtre

Pour seuls Ses mtres.

 

Sans sa Protection, // tout est impossible,

Leur médiocrité // deviendra horrible.

C’est son Diable qui // interprète la Bible

Aux murs sensibles.

 

L’on ne t’oblige pas // à caver nos plantes

Ou couper chaque pierre // qui est éprouvante.

Sans aucun diplôme, // ta carrre brillante

Mort exigeante.

 

Ton école secondaire // est plus importante

Que mon master deux, // «astre» enseignante!

À tes étudiants, // Amérique Méchante,

Que l’être mente.

 

Qui n’avait nul voix, // de ta scène te chante,

Que, vieux écolier // «professeur», tu tentes

D’ignorer l’idée, // tes paroles prudentes

Sont différentes

 

Dans ta poésie // qui formule leurs ordres

De ton prix Nobel. // Mélodie de cordes,

À Venise décède, // hirondelle plus forte,

Tu dois te tordre.

 

Tes persécutions // soviétiques s’estompent

Sous mes vingt un ans // en Europe qui trompe,

je suis sans droit. // Excellence, rompe

L’hiver des ombres!

____________

 

1 - c'est la traduction poétique d'Horace en français d'Alexander Kiriyatskiy

 

Sans protection et sans consécration des dieux du gouvernement du monde, la plupart des poètes aura le destin de Jacques Millet sans futur. Je prie la CNDA que tous les français, comme le poète décédé Jacques Millet, et les requérants d’asile des pays «démocratiques» en France, que nous ayons tous les droits de l’homme comme les ont seuls les représentants des pays «totalitaires» en Europe. Toujours, alors que les réfugié admis, parmi les terroristes, la bureaucratie essaie de piquer les droits des hommes malheureux comme Jacques Millet parmi les européens et comme moi parmi les russes. Nous ne sommes pas terroristes ni comme Piotr Pavlenski, ni le tchétchène qui a coupé la tête de l’enseignant. A Moscou de la manière islamique, Pavlenski voulait couper son prépuce comme il a coupé un morceau de son oreille. Peut-être, ce même désir a popularisé son satanisme. Je prie une centième partie de l’admission de ce même pornographe que je puisse à obtenir mon droit sur l’asile en France. Je ne peux pas croire que ma mort et celle-ci de Jacques Millet conduisent les pays «démocratiques» vers leur bonheur.     

 

Jacques Millet, le poète: Armée du Salut

 

Alliée des gens dans la souffrance,

Recours que les gens pauvre lancent,

Méritant le Christ et son amour immense,

Espoir de ceux vivant plus que l'offense

 

Elèvent par le Christ et leur besoin d'amour

Dans différents lieux mais pour le bien toujours

Unis dans le Christ et son désir d'amour :

 

Secourir le pauvre avec ou sans détour,

Aiment Dieu, son fils, sa royauté

Unis à Dieu sous son autorité,

Travaille cette Armée pour notre Salut.

 

Jacques Millet, le poète:

Le Noël du Poste

Lieu qui fait honneur
En Christ, Notre Seigneur,

Noël, vent vainqueur,
Croyez avec Cœur,
Ecoute, dans la bonne humeur,
L es gens qui font honneur.

Dans ce lieu porteur,
Unissent de bonheur.

Par ceux, écoutant le Seigneur,
Glissant en acteurs
Secourir sans peur
Toutes personnes dans le malheur,
Espérant en un Dieu Vainqueur.

 

Si je n’avais pas demandé l’Asile politique en Suisse, je serais décédé en 2012, car en 2012 la Russie n’était opposée au totalitarisme du régime draconien en Europe. Ce totalitarisme masqué soutient l’antisémitisme réel en France dans les quartiers arabes. Ces derniers peuvent légalement tuer les juifs pour leur chapeau religieux. Maintenant, l’Europe manifeste le fait que les néofascistes estoniens dansent sur les ruines du camp de concentration. La Communauté Européenne dévoile le concours du meilleur néofasciste plus fort en Estonie, car, parmi tous les pays du monde, l’Estonie est bien plus opposée aux russes, pire que la Lettonie fasciste de cette même façon. Au contraire seulement contre moi, car je suis un russe stressé par les sacrifices de l’impérialisme israélien,  du reste, rien n’indique qu’une éventuelle condamnation pour les propos que vous avez tenu en public vous exposerait, en Israël, à de sérieux préjudices au sens de l’article 3 LAsi. Je n’étais jamais contre les juifs pauvres. J’affirme que M. le responsable et l’auteur de cette même Décision d’Asile N572 093 Kop N de pers. 173 245 47 n’avaient aucune connexion par correspondance, car, le 3 novembre 2014, M. le responsable pour mon audition avait constaté en allemand, à travers son ordinateur, le fait que je n’étais jamais contre les rabbins et contre les autre juifs civils qui ne me faisaient jamais le mal pour moi. Je suis le résultat du programme du Shabak et de l’Association de la Sécurité des Etats-Unis contre les russes dans tous les pays du monde.  La Décision d’Asile N572 093 Kop N de pers. 173 245 47 affirme que «le 15 février 2010, vous auriez déposé plainte contre la France et le Canada  auprès de la Cour européenne des droits de l’homme.  Cette plainte serait encore pendante». J’ai dit beaucoup de fois à M. le responsable pour mon audition le 3 novembre 2014 qu’il y avait mon dossier 7170/10 à la Cour des «Droit» de l’homme depuis 2008. Cette cour a registré que ce même dossier de Kiriyatskiy était renouvelé pendant 4 fois: en 2008,

 

 

 

 

en 2009, en 2010

 

 

 

et en 2011. En outre sans explication, tous ces mêmes quatre dossiers étaient perdus par la Cour des «droits» de l’homme à Strasbourg.  La  décision d’asile N 572 093 Kop n de pers. 173 245 47  ne veut pas comprendre le fait QUE MES DOSSIERS PERDUS NE POURONT JAMAIS ÊTRE ANALYSÉS PAR LA COUR DES «DROITS» DE L’HOMME NI EN 2015, NI EN 2025, NI EN 2035, CAR MON DOSSIER 7170/10  N’EXISTE PAS À STRASBOURG DEPUIS 2011. C’est la raison pour laquelle, je dois demander l’aide de la Russie. Celle-ci ne me permet pas de revenir en Russie sans passeport. Mais la Russie peut aider à obliger la Cour des Droits de l’Homme à renouveler mon dossier de quelle façon il est possible de trouver mon affaire qui avait été accepté le 18 février 2010 à Strasbourg.

 

17a/ Le 7 octobre 2020 pendant mon audience, j’ai répété nombreuses fois que la France est l’unique pays qui présente l’asile aux artistes et aux poètes francophones.  L’OFPRA écrit qu’il (moi) a rédigé plusieurs recueils de poésie dans diverses langues. CELLE-CI ne souligne pas particulièrement que la plupart de ma poésie présente mes poèmes épiques en français sur 82 pages de mon livre qui comprend 126 pages de mes vers narratifs en français, en italien et en espagnol. Pourquoi l’OFPRA n’a pas rejeté la demande d’asile de Piort Pavlenski? Ce dernier n’avait pas été fermé dans la prison pour le fait qu’il même avait mis feu au bâtiment central de la Sécurité Fédérale à Moscou. Et en même temps, l’OFPRA a rejeté les persécutions de ma personne pendant 21 ans et 5 mois, car les États-Unis et son État d’Israël sont considérés les pays «démocratiques».

 

 

17b/ Pavlenski «peintre» n’a pas dévoilé ses propres dessins et ses propres numéros artistiques en Youtube afin d’obtenir l’asile artistique en France pendant 2 mois et 23 jours après sa demande d’asile sans motivation. Il luttait contre la Russie, où il n’y avait rien été menacé à son banditisme, à la peinture par son couteau sur les visages des jeunes femmes russes. La police russe n’a pas détenu Pavlenski pour les violences contre beaucoup de jeunes femmes en Russie. Je ne luttais contre aucun pays, alors que j’ai expliqué poétiquement pour quelle motivation je n’ai pas demandé l’asile en France depuis 2006 jusqu’à 2012?

 

Alexander Kiriyatskiy:

 

Stábat máter dólorósa
Jacopóne da Tódi


Le statut de «réfugié»
Présuppose nos étrangers
Qui coupent leurs chrétiens âgés
    Dans les guerres civiles.

Nos esclaves européens
S’abaissèrent aux gales de chiens,
Ils grattèrent la peau, pour rien,
    Par cette vie tranquille.

L’on enchantera chaque mot
Des persécutés «normaux»
Qu’ils soient forts par quels trumeaux
    Des beautés habiles!

Qui n’était jamais malade,
Lave vos culs pour tous ses grades,
Il n’est pas le camarade
    Des stupides de Nil.

Seules ces bêtes reçoivent l’argent,
Comme vos supérieurs des gens,
Elles obtiennent l’or, en bougeant
    Par leurs pipes si viles.

Camp de nos concentrations,
Tu as, pour une expression
De la civilisation,
    Ton futur péril.

La raison s’est déchirée.
À genoux, l’âme perd son gré.
De l’asile, elle apparait
    Comme un bon AcheteuR

De NombreuX JugeS qui t’ont dit
Que les cieux soient interdits,
Que vivent leurs drogués bandits
    Comme leur Grand Voleur!

Car l’Europe est leur rencontre
Comme le cul qui nous démontre
Que ces vers seront gluants contre
    L’ombre du bonheur.

La Russie les intitule
Ses Dieux, mais ceux-ci la brûlent
L’ordre bat, comme les crapules,
    L’infinie douleur.

Les vieux sont dans le marasme,
L’on les lave par l’enthousiasme
Des savants russes, car l’orgasme
    Pisse sur leurs MeilleurS.

Reconnus sont les tchétchènes
Qui voient, en Russie, l’arène
Des batailles, où nous amènent
    Aux antiques vendeurs

Des esclaves… Les autres peuvent
Endormir parmi les fleuves
Dans la rue pour les épreuves
    De vos Droits de l’Homme,

Où se cache la Cour énorme.
Sa réponse a telle forme:
Attendez-moi sous vos ormes,
    Tous conduisent à Rome.

Votre illusion vient vide.
Sous celle, souffre l’invalide.
Par le front, il a quelles rides:
     «L’âme n’est pas en gomme!»
Qui tuait tous ses fascistes,
Est, par cette Cour, dans la liste
Des tirants, comme l’extrémiste,
    En enfer, nous sommes,


Murmurez par ses bleues lèvres:
«Ce vieux perd la vue, en fièvre
Pleure, en fou malade énerve,
    Il cherchait sa pomme.»

Qui passait cette vie très pure,
N’est pas liée à la piqûre
Des drogués, car sa blessure
    A plusieurs diplômes.

Mais vous plaisent seuls les mensonges,
Car, par eux, vos pouvoirs prolongent
À manipuler nos Songes,
    L’Être à genoux.

Leurs robots règnent sur la France,
Car séparent, sans différence,
L’eau de leur Reconnaissance
    Et la Mort pour nous.

L’Univers n’a rien et grève
Mais sa déception est brève,
Tous les êtres ont leur rêve,
    La lumière des trous.

Dans l’obscurité sans chance,
Ce feu a la voix d’enfance,
Lorsque l’autre vie commence,
    Dieu se trouve partout:

«Stábat máter dólorósa
Júxta crúcem lácrimósa»
Víta brévis ést, curiósa,
    Práti frigidú

Mère, tu as la douloureuse
Larme, ta croix amoureuse,
Donne la vie brève et curieuse
    Le vent froid est doux.

 

18/ Depuis 2006 jusqu’à 2012, la France a présenté l’asile politique à plusieurs satanistes voleurs comme Piotr Pavlenski et aux extrémistes tchetchenes qui n’étaient jamais persécutés dans leurs pays que ces derniers incendiaient les banques et que leurs fils coupaient les têtes des enseignants et des chrétiens qui parlent avec Dieu dans les églises. L’OFPRA remplace mes études à Amiens par ceux à Perpignan. De cette même façon, l’OFPRA popularise ses Protections aux «peintres» et «artistes» comme Piotr Pavlenski. Ma poésie présente la concurrence aux protectionnistes. C’est la raison pour laquelle, les pays «démocratiques» ne me légalisent pas pendant 21 ans et demi que je ne pouvais pas gagner l’argent et payer ceux pour la deuxième moitié de la musique de mon grand-père. Seulement de cette même façon, l’OFPRA déclare: Il explique avoir rencontré des problèmes en Israël en raison des talents de musicien de son grand-père faisant concurrence à la mafia américaine qui dirige la réalité de son pays. J’ai expliqué particulièrement que mon grand père était le grand compositeur comme Stravinsky et non seul le musicien qui jouait la musique des autres compositeurs. Il m’a laissé 8000 pages de son héritage qui menaçait aux concourants, alors que ses notes et sa musique n’étaient pas encore présenté en Internet. C’était la motivation que je sois décédé dans les rues et que j’oublie tout dans ma vie. C’est la raison pour laquelle la mafia m’a interdit de gagner sur ma vie. En Israël non juif me menace la prison pour l’ «antisémitisme». Ni Israël, ni Ukraine, ni Pologne n’était jamais mes pays malgré le fait que mon grand-père est né en Pologne. Depuis 1913 jusqu’à 1918, M. Benjamin (Veniamïn) Khaèt a étudié au Conservatoire d’Odessa en français. Mais le totalitarisme des pays «démocratiques» n’a aucun droit de me persuader que l’Ukraine est mon pays. Ni Israël, ni Pologne, ni Ukraine ne seront jamais mes pays et leurs bandits ne m’ont pas acheté au marché de leurs esclaves. Les protectionnistes d’Israël, de Pologne et d’Ukraine sont toujours opposés à mon grand-père compositeur sans protection. Tous trois m’ont maudis  pour sa musique pendant 5 heures et 48 minutes en Internet sur mon site à l’UQAM. Depuis 2006 ce site a devenu la contradiction pacifique à la mafia. Son Israël, sa Pologne et son Ukraine n’étaient jamais mes pays. Je prie la CNDA de confirmer que l’OFPRA a remplacé leur danger qui menaçait à ma vie par les petits problèmes en Israël en raison des talents de musicien de son grand-père faisant concurrence à la mafia américaine qui «seulement ne veut pas écouter la musique des autres compositeurs qui étaient jouée par mon grand-père compositeur». De cette même façon trompait le service de la migration du Canada en 2005. C’était la raison pour la quelle, j’ai reçu mon site de l’UQAM pour toujours. Le Québec n’a pas oublié les circoncisions obligatoires de tous les québécois depuis le fin du XIXe siècle jusqu’à 1972, alors que seuls trois Etas Américains: Québec, Israël et Californie ont obtenu leur droit de choisir: circoncire leurs pipes et ceux de leurs enfants ou non. L’OFPRA trompe, alors que celle-ci affirme qu’il (moi) n’a pas été en mesure de travailler légalement et a vécu sans logement pendant un certain temps. Craignant pour sa sécurité, il a ainsi déposé une demande d’asile en France. En France en 2007, j’ai vécu sans logement depuis 2006 jusqu’au mois de septembre 2007 avant mon rencontre de M. Vladimir Ivanovitch Altoukhov. Il a devenu mon deuxième père à Strasbourg. Cet ange humain avait compris que me menaçait ma mort dans la rue en 2007. C’est pourquoi, il m’a permis d’habiter dans l’une des chambres de son logement à Strasbourg et à Perpignan.

 

 

19/ En 2020, j’avais voulu ne pas décrire la période de mon logement dans la rue en France depuis l’automne 2006 jusqu’à ma connaissance avec M. Vladimir Ivanovitch Altoukhov en 2007. Car les Etats-Unis et son Etat d’Israël ont été considérés les pays «démocratiques», de nouveau je ne devrai pas patienter tout que j’ai passé à mon âge de 36 ans. Je n’ai aucune puissance de répéter ces mêmes humiliations et souffrance inutiles, alors que j’ai 50 ans et 5 mois:

 

J'ai dû dormir sur les lits du foyer "Passerelle" sur lesquels j'ai été infecté de la Gale de chien. Déjà dès le mois d'octobre tout mon corps me grattait toujours et ne me permettait pas de dormir tranquillement. La majorité les hommes habitant là, étaient infectés de la Gale de chien, de l'Aïds (Sida) et de la tuberculose. Les drogués ne sentaient aucune douleur. L'absence de cette dernière et l'extase narcotique les stimulaient aux batailles inconscientes. Auprès des mêmes français, les arabes et les africains semblaient des hommes civilisés entre des animaux sauvages qui ont perdu tous traits humains. Les derniers jours d'octobre, l'un des drogués les plus agressifs a cassé une assiette sur ma tête. Il s'appelait Jean Philipe Breneux. Il a su que je n'avais aucune expérience à combattre. Puis le même soir, il a commencé à me terroriser chaque jour, alors qu'il me rencontrait près du Foyer "Passerelle". Un jour, il m'a blessé et m'a laissé beaucoup de traces sur mon visage et sur mon corps. L'Hôpital du Nord à Amiens, m'a établi les documents juridiques afin de porter plainte contre lui à la police d'Amiens. Il y avait beaucoup d'hommes qui ont témoigné du même fait de violence. La police d'Amiens a porté plainte contre Jean Philipe Breneux. Mais elle n'a rien fait pour éviter les violences suivantes. La police ou le service social pouvaient lui parler et le persuader de cesser de me battre. Les arabes marocains, qui me défendaient chaque fois, m'ont dit que si la police n'avait pas présenté à Jean Philipe Breneux la nourriture gratuite une seule fois en raison de son banditisme, il aurait immédiatement cessé ses violences. Jean Philipe Breneux et les autres bandits de "Passerelle" ont reconnu que la police ne m'avait jamais défendu. Le 10 novembre 2006, David, le chef de "Passerelle", voulait que je nettoie les W. C. (toiles) en dehors de mon tour étant donné qu'on pouvait me persécuter sans peine. Je n'ai pas exécuté son exigence de nettoyer la merde. Je l'ai lavé il y a quelques jours. David avait obligé Rafic, un arabe drogué de la nationalité française de se prendre à moi agressé, car je suis israélien. Rafic m'a fait une cicatrice sous mon œil gauche et David a agressé quelques fois ma tête. Après cette agressivité déjà à l'intérieur du foyer "Passerelle" le témoignage médical de la violence gratuite était bien davantage sérieux. Mais la police n'a rien fait contre la violence de David comme le représentant officiel du service social à Amiens. Au contraire, lorsque je passais les examens à l'Université de Picardie, un bandit plus dangereux, Michel Plûquet, m'a jeté comme un chien au centre de la rue Wanmark sous la caméra vidéo de la police. Il m'a battu dans le dos et dans le ventre avec ses pieds chaussés de bottes. Il répétait : "Des arabes, des arabes, des arabes". Seuls les arabes m'ont défendu et m'ont sauvé la vie. Un jour s'est écoulé après cette violence horrible et je l'ai décrite dans mon message à l'Ambassade d'Israël à Paris par courriel électronique. Mais elle ne m'a pas répondu. Le même fait m'a persuadé  d'accepter qu'en Israël seule la mort m'attendait dans les rues et que je prenne un grand prêt à la banque centrale. La police m'a procuré le document, dans lequel se décrivait le fait suivant. Si la police avait parlé avec Michel Plûquet, il m'aurait tout de suite tué. J'ai montré à la synagogue d'Amiens toutes mes plaintes contre Jean Philipe Breneux, contre David et contre Michel Plûquet. La troisième plainte contre Plûquet avait l'explication mentionnée avec le seau de la Police. Le rabbin d'Amiens, les a envoyées au Procureur de la République. Quelques jours plus tard, la police a arrêté Plûquet. On l'a en fermé dans la prison et en même temps on m'a interdit d'habiter dans le foyer "Passerelle", alors que David m'a menacé: "Attend, je te pousserai dans l'hôpital psychiatrique". Je ne l'ai pas crû et je n'ai pas prévu sa violence. Le 6 janvier, j'ai reçu le permis de séjour en France. Le même jour Amite, la même étudiante de Sénégal, m'a dit qu'on l'oblige à l'Université que mes valises ne se trouvent plus dans sa chambre. Je suis resté dans la rue avec 80 kg de bagages sans logement et sans nourriture, car j'ai eu peur de manger avec des bandits. La synagogue n'a pas voulu les réduire à l'intérieur de son sous-sol. Le prêtre catholique M. Du Prêt les a pris. L'abbé les a gardés au troisième étage de son bureau. Il a dit: "Notre relation est égale pour tous". Du 6 au 22 janvier, j'ai passé les nuits sur les tables qui se trouvaient dans les cuisines de la résidence, dans laquelle avait habité Amite. Je couchais sur les tables dures et froides. Je dormais avec trois pantalons, un manteau et un chapeau, car je n'avais aucune couverture afin de me couvrir du froid. Chaque fois à 6 heures du matin, je devais me baigner, que l'on ne me voyait pas, et quitter le bâtiment. J'ai passé chaque jour, du mois d'octobre au fin de janvier, dans la bibliothèque universitaire, chaque samedi de ces mois dans la bibliothèque municipale au centre ville. Mais chaque dimanche se transformait en cauchemar. Toutes les organisations étaient fermées et je devais aller à pieds dans les rues, alors qu'il pleuvait ou neigeait. (Le paragraphe 1 sous le titre « Le mensonge criminel à ne pas reconnaître ma Maîtrise interactionnelle du Canada», LES DROITS DE L’HOMME EN FRANCE, EN ISRAEL ET AU CANADA).

  

20/ L’OFPRA a dissimulé  les paragraphes  84a, 84b, 84c, 84d et 84e sur la page 73 de mon Recours au Tribunal administratif fédéral TAF, case postale, 9023 Saint-Gall d’Alexander Vadimovitch KIRIYATSKIY daté le 8.04.2019:

 

84a – Sur la page 9, le quatrième paragraphe a totalement produit plusieurs rapports entre ses allégations et ma réalité. Israël n’est pas le pays de mon origine. En Israël, j n’ai vécu que pendant 4 ans 8 mois et 4 jours: 1) de puis le 20 mais 1999 jusqu’au 18 octobre 2002 – 3 ans et 5 mois, 2) depuis le 23 décembre 2002 jusqu’au 7 janvier 2003 – 14 jours, 3) depuis le 13 juillet 2004 jusqu’à 24 septembre 2004 – 1 mois et 12 jours, 4) depuis le 18 octobre 2007 jusqu’au 10 novembre 2007 – 22 jours, 5) depuis le 8 mai 2008 jusqu’au 31 janvier 2008 – 8 mois et 23 jours, 6) depuis le 30 avril 2009 jusqu’au 5 septembre 2009 – 4 mois et 6 jours, 7) depuis le 1 mai 2010 jusqu’au 5 septembre 2010 – 4 mois et 4 jours.

3 ans 5 mois + 14 jours + 1 mois et 12 jours + 22 jours + 8 mois et 23 jours + 4 mois et 6 jours + 4 mois et 4 jours = 4 ans 8 mois et 4 jours.

84b – En Italie, j’ai vécu depuis le 18 octobre 2002 jusqu’au 20 novembre 2004, pendant 2 ans et 1 mois.

84c – Au Canada, j’ai vécu depuis le 22 novembre 2004 jusqu’au mois octobre 2006, pendant 1 année et 11 mois.

84d – En France sans permis de séjours et sans légalisation, j’ai habité depuis le mois d’octobre 2006 jusqu’au 4 janvier 2012 pendant 4 ans et 3 mois. + 11 mois depuis le 19 décembre 2019 jusqu’au 7 novembre 2020. Ensemble, j’ai vécu en France pendant 5 ans et 2 mois.

84e – En Suisse, j’ai vécu depuis le 4 janvier 2012 jusqu’au 18 décembre 2019 pendant 7 ans et 11 mois. Depuis le 20 mai 1999, j’ai vécu pendant la quantité maximale du temps en Suisse, où j’ai été légalisé bien plus qu’en Israël. En Suisse, j’ai habité pendant le temps plus long dans une fois et demie qu’en Israël. La Suisse a devenu le pays de mon logement plus long que celui dans tous les autres pays depuis le 20 mai 1999.

 

21/ Je prie la CNDA d’analyser l’affirmation suivante de l’OFPRA: il (moi) craint d’être persécuté par les autorités israéliennes en raison des opinions politiques qui lui sont imputé. Je prie d’accepter le fait que mes opinions n’intéressent pas la mafia américaine en Israël. Contre mon installation de 4034 pages des notes de mon grand-père, le compositeur Benjamin Khaèt juif, la mafia m’a attribué l’antisémitisme en 2015 et en 2018. En France et en Israël pour l’antisémitisme, l’on ferme dans la prison pendant 5 ans. La motivation des ma détention finale ne sera que l’opposition de la mafia à ma concurrence et à la concurrence de mon grand-père.

 

 

 

 

Je prie la CNDA de lire les paragraphes 91a, 91b, 92a, 92b sur les pages 81, 82, 83, 84 de mon Recours à Saint-Gall daté le 8.04.2019.

91a - Je prie le TAF de rejeter cette même affirmation, car celle-ci ignore mes réponses en 2014, en 2015 et en 2018. Celles-ci ont confirmé l’absence de l’antisémitisme dans mes poèmes en youtube. Je prie le TAF de confirmer que mes deux analyses antérieures 1) http://www.m310014.uqam.ca/RESUME.htm et 2) http://www.m310014.uqam.ca/SEM.htm (numéros 2 et 6) ont investigué et réexaminé ce mensonge. Ce dernier se répète trois fois. Je prie le TAF d’annuler cette même décision. La troisième répétition de ce mensonge démontre que son auteur n’a lu aucune de ces mêmes analyses motionnées. J’ai peur de la quatrième répétition de ce mensonge en Israël. Je prie TAF de me présenter l’asile politique en Suisse sans participations du SEM. 91b – J’ai l’ami parmi les russes juifs orthodoxes. Son mon est Stanislav BISNOVATY. Par l’e-mail bisnov@hotmail.com , il est d’accord de confirmer officiellement que ma poésie et ma vie n’ont aucun rapport avec l’antisémitisme. Stanislav BISNOVATY est né en Ukraine occidentale dans la famille russophone des juifs. Il a eu le passeport de la Nouvelle Zélande. Sur son territoire avant 2014, M. Stanislav BISNOVATY a été persécuté par plusieurs ukrainiens pour l’activité de sa langue russe et pour sa nationalité russe malgré son judaïsme d’orthodoxe et malgré son passeport de la Novelle Zélande. Sous la pression des fascistes ukrainiens, Stanislav BISNOVATY a dû émigrer en Israël. Pendant dix ans, il a vécu en 82 Israël. Par sa correspondance avec votre TAF, ce même M. Stanislav BISNOVATY peut confirmer qu’en Israël il même a été persécuté sans motivation pour sa nationalité russe. Le Shabak a ignoré que la mère de sa mère était juive. Au TAF avec son grand plaisir, M. Stanislav BISNOVATY expliquera qu’en Israël nombreux harcèlements ciblés l’ont limité par seuls ses amis juifs russophones. Son savoir magnifique de l’hébreu et de l’anglais n’a rien modifié. M. Stanislav BISNOVATY est circoncis. Il exécute toutes les exigences du judaïsme. Sa croyance en Dieu l’a attiré et attaché vers la terre israélienne. Il ne souhaite pas quitter ses amis russes juifs en Israël. Et il n’a aucun désir d’émigrer. En outre, M. Stanislav BISNOVATY peut manifester au TAF son évidence triste. Celle-ci est directement liée à sa nationalité russe et à plusieurs persécutions liées à celle sur le territoire d’Israël. La, ses deux passeports et sa religion juive d’orthodoxe, qui est confirmée par tous les rabbins, ne peuvent pas diminuer ses harcèlements ciblés pour son origine russe et pour sa langue russe. M. Stanislav BISNOVATY m’a permis d’installer sa photo dans mon recours.  

 

La réponse du SEM répète l'accusation qui m’a attribué l’antisémitisme en 2015, en 2018 et en 2019.

 

 

Le paragraphe 6, les pages 23, 24, 25, La réponse du TAF à ce même recours le 25.10.2019, dix ans ont passé :

 

M. le juge William Waeber n’a pas lu mon petit paragraphe 92b sur la page 85 de mon recours le 8.04.2019: 92b – Je prie le TAF de confirmer le troisième mensonge du SEM dans ce  même 24e paragraphe. Pendant 4 500 années de l’histoire humaine, tous les poèmes lyriques n’ont porté aucun sujet et n’ont décrit aucun événement. De cette même façon, le «Carré noir» de Malevitch n’avait reflété aucune image et a obtenu sa gloire immortelle par seule la protection. Le SEM ment que mes vers étaient lyriques. Au contraire, ma poésie est épique. Celle-ci décrit précisément quel type des requérants d’asile devait être accepté par le SEM. Si M. le juge William Waeber avait lu ce même petit paragraphe, il n’aurait jamais affirmé que mes vers pouvaient être «lyriques». De cette même façon M. le juge n’a pas lu les paragraphes 91a et 91b sur les pages 83 et 84.

 

Ce même M. Stanislav Bisnovaty m’a permis de constater officiellement que sa propre religion juive d’orthodoxe oblige celui à excuser les offenses et humiliations de son honneur par plusieurs russophobes. Ces derniers ont persuadé tout le monde à croire qu’en Israël notre nationalité d’origine russe et la religion juive ou quelque autre n’ont aucun rapport entre tous deux. Il y a nombreux israéliens russes des différentes religions qui se sont réunis contre la russophobie sur le territoire d’Israël depuis 1946. Pendant 63 ans, les nationalistes israéliens traversent beaucoup de frontières entre notre nationalité russe et nos religions différentes: juive, chrétienne (comme de ma mère), cosmopolitique (comme la mienne), musulmane, etc., Nos croyances n’ont aucun rapport avec notre nationalité russe d’une seule origine soviétique ou post. soviétique.

 

 

Depuis 2014, cette dernière nous unit bien plus dure contre nos pires ennemis parmi les fascistes ukrainiens chrétiens et juifs comme leur président Piotr Porochenko (Zisman), leur vice-président actuel, etc. 7a - M. le juge William Waeber a annulé la décision du Tribunal 2015, où j’ai essayé de confirmer que ma poésie n’était jamais antisémitique. Si M. le juge avait lu mes paragraphes 93a et 94b, sur mes pages 86 et 87, il n’aurait jamais intitulé mes propos antisémites: 93a – Mon conflit avec le grand rabbin de Strasbourg a provoqué mon exclamation de stress en 2011. Le SEM l’a transformé dans mes propos antisémites à plusieurs reprises au cours des dernières années. J’avais accepté cette même relation stalinienne du SEM avec moi et le 7 août je n’ai prononcé aucun mot contre Israël et contre les juifs que mes réponses n’attribuaient donc jamais les déclarations «antisémites» à ma personne et que mes publications n’exposaient pas à une procédure pénale. Le SEM a dissimulé mon opinion que le pays Israël est bien plus démocratique que les États-Unis, car en Israël l’on n’oblige pas à circoncire tous hors les désirs des clients. Au contraire des désirs des américains et des canadiens, l’on circoncit tous leurs deux peuples obligatoirement. Au SEM, j’ai souligné la réalité que seulement en Californie, au Québec et en Israël, il existe le choix de circoncire nous-mêmes et nos enfants ou non. J’avais compris trop tard que je ne devais rien dire à Strasbourg en 2011 sous le stress et mon retour en Israël a devenu dangereux. Si le SEM n’avait pas pu oublier de mon exclamation de stress, Israël ne l’aurait jamais d’oublier bien pire que le SEM. 94b – Je prie le TAF de constater que le SEM continue à persuader le monde que mes propos étaient «antisémites » toujours et non seulement en 2011 pendant mon logement dans l’appartement radioactif. Le SEM affirme que je suis antisémite pendant toutes les dernières années. Pendant notre audience, je n’avais rien dit contre Israël et c’est la raison pour laquelle toute mon audience a dû être enregistrée en vidéo et mise en youtube que le SEM n’ait pas pu m’attribuer son mensonge comme en URSS en 1937 sous la pression de Staline. En même temps, les États Unis obligent l’Europe à justifier les pirates islamiques. Le 28 mars 2019, l’on a soutenu le génocide contre les serbes et contre les russes. En même temps, l’on a justifié la conquête du bateau en Méditerranée par les pirates, car par leurs violences, seuls les terroristes réfugiées peuvent obliger à circoncire les peuples faibles (???) d’Europe comme aux États Unis et au Canada. Je ne crois que la Suisse soutient cette même violence. 7b - Je ne suis pas circoncis.

 

22/ Depuis 1989, les pays «démocratiques» ont modifié leurs relation avec les demandeurs d’asile qui ont l’origine russe comme moi.

 

Alexander Kiriyatskiy :

 

Nouvelle chanson Mur cas /Mypкa/

Il y a quarante-huit ans,
L'Europe était plus pauvre
Qu'à cet aveugle siècle maintenant.
Elle estimait ses ordres,
Car ne voulait pas mordre
Nos russes parmi vos autres immigrants.

Lors l'URSS pensait
Que cette "justice" énorme
Régnait sur vos pays pour nous laisser
Ici pour nos bonnes œuvres
Des soviétiques concombres
Qu'ils s'opposaient à nos régimes passés.

Vous invitez nos gens
Et vos acteurs rencontrent,
Par leurs triomphes, notre dissident,
Car celui-ci est contre
Ton expérience, montre
Comme mon état "décède", car tu descends,

Partout, au prix Nobel
Pour tes poèmes très tristes
Qu'à l'illusion stupide tu sois fidèle.
Tu bats tes communistes,
Tes spectateurs existent
Et tu vois que ta gloire est éternelle.

Tu chantes, 
Tokarev,
Et tu crois que tu portes
Tes belles chansons aux âmes par l'autre rêve,
Où l'URSS est morte.
L'on ferme toutes nos portes,
Dont cette consécration s'illustre brève.

L'on ouvre vos foyers
D'asile pour l'ignorance
De nos meilleurs 
diplômes. Vos ouvriers
Sont tous les russes en transe,
Nous sommes ta concurrence
Au monde qui nous fait ses mecs derniers.

 

23/ Le sujet de ce même poème explique pour quelle motivation j’avais peur de demander l’asile en France depuis 2006 jusqu’à 2019. J’avais demandé l’asile en Suisse, car l'avidité suisse devait me garantir mon logement stable pendant 7 ans et demi jusqu’au mois de juin 2019. Je croyais que ma vie coute bien plus chère que la place dans  notre escalier féodale au XXIe siècle. J’ai demandé l’asile en France pour deux motivations suivantes: 1) La France est l’unique pays qui présente l’asile artistique et 2) qu’en France n’est pas décédé mon ange Vladimir Ivanovitch Altoukhov qui m’a loué le studio à Perpignan afin de ne pas habiter ensemble pour éviter la condamnation de la mafia comme sur la Place 3 ESPLANDE Édouard le ROY des Touts Barrandes.

 

24/ Je prie la CNDA de confirmer que l’OFPRA a ignoré le paragraphe 19 de mon Recours au Tribunal administratif fédéral TAF, case postale, 
9023 Saint-Gall d’Alexander Vadimovitch KIRIYATSKIY________
(Nombreuses pages renouvelées le 31.03.2015 et le 04.06.2016)
. Le 9 mai 2018, Celui-ci a annulé le refus de mon asile en Suisse.

 

19)         Sous la pression de son propre Staline en Amérique, cette même réponse négative du SEM en Suisse avait peur d’analyser le fait que pendant mes études à l’Ecole Doctorale à Strasbourg, je n’avais aucune source pour la vie (3 euros de Caritas pendant un mois et rien plus). C’est la raison pour laquelle, le réfugié russe M. Vladimir Altoukhov m’a présenté son hébergement gratuit (de 2007 à 2012). En outre, comme ces mêmes 6 professeurs mentionnés, au mois de janvier 2011 M. Vladimir ALTOUKHOV a laissé son appartement à Strasbourg, où l’état de son corps était magnifique et n’avait aucune maladie. A Perpignan, nous avons commencé à habiter dans l’appartement très mal, où au mois de novembre 2011 M. Vladimir ALTOUKHOV végétarien, qui ne mangeait jamais de la viande, a eu le cancer oncologique de son estomac. Ce dernier était enlevé dans l’hôpital à Perpignan, où  M. Vladimir Altoukhov a passé la chimiothérapie. Car j’avais habité dans ce même appartement, j’ai reçu 4 boutons avec la tumeur. Les premiers 3 boutons oncologiques sur mon pied gauche étaient enlevés à l’hôpital de Perpignan, car ceux-ci présentaient le danger pour mon organisme. Le 4e bouton, reçu par moi à Perpignan, se trouve sur mon œuf gauche. Ce dernier sent la douleur parfois. Mais ce bouton ne présente pas le danger oncologique selon ses derniers examens à l’hôpital de Lausanne.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

25/ Sur la deuxième page du refus de l’OFPRA, son deuxième paragraphe affirme: A l’appui de ses déclaration, il produit la copie de son passeport israélien délivré le 31 août 2010 et valable jusqu’au 31 août 2020, un récépissé de déclaration de main courante relatif au vol de son passeport daté du 25 août 2011,… Comme le service de migration canadienne en 2005 et celui suisse en 2015 et en 2018, L’OFPRA unit plusieurs informations qui n’ont aucun rapport dans une frase. De cette même manière, L’OFPRA dissimule l’idée essentielle pour quelle motivation j’ai donné chaque document isolé. Ses propositions n’avaient aucun rapport avec les informations inutiles qui passent après chaque virgule. Le 7 octobre 2020 nombreuses fois, j’ai dis que, dans l’hôpital de Perpignan, le bureau d’accueil avait pris mon passeport pour hospitaliser M. Vladimir Ivanovitch Altoukhov afin d’enlever le cancer de son estomac. Ce dernier n’existait pas dans son ventre au mois de mars 2011, alors que M. Vladimir Altoukhov habitait sur la Route Schirmeck 241 à Strasbourg. J’ai déclaré le fait que l’on ne m’a pas rendu mon passeport au bureau d’accueil mentionné au mois  d’août 2011. Quelqu’un avait volé mon passeport.

 

 

 

         

26/ Pendant mon audience, Mme qui me posait les questions m’a demandé: «Qui nous avait présenté l’appartement radioactif à Perpignan sur la place 3 Esplanade Éduard LE ROI au premier étage  et a volé mon passeport?» J’ai répondu à cette dame que je suppose que c’était le truc du service secret des Etats-Unis.

 

Je prie la CNDA de déclarer que je n’ai rien dit contre la France pendant mon audience à l’intérieur du bâtiment de l’OFPRA le 7 octobre 2020. En outre, l’OFPRA a dissimulé la raison pour quelle motivation j’avais présenté la copie de mon passeport? Pour obtenir mon asile politique et artistique en France, j’ai présenté ces mêmes photos de l’appartement radioactif que M. V. Altoukhov a loué en 2011.

 

27/ Pour confondre mon passeport volé en hôpital de Perpignan, l’OFPRA unit l’information mentionnée avec la motivation de ma demande de l’asile artistique en France: .., divers travaux universitaires sont opposés à l’absence de ma possibilité de soutenir ceux à Amiens et à Strasbourg. J’ai passé tous mes épreuves d’examens et l’on me préparait à la soutenance de mon mémoire de master français en 2007 et de ma thèse doctorale en 2010 ou en 2011. Je prie la CNDA de confirmer que l’OFPRA a ignoré les paragraphes 85-b et 85-c sur les pages 74, 75, 76, 77 du Recours au Tribunal administratif fédéral TAF, case postale, 9023 Saint-Gall d’Alexander Vadimovitch KIRIYATSKIY le 8.04.2019.

 

85b - Mon appartenance au groupe social déterminé par la liste noire a condamné M. le Professeur Dominique Beyer vers la perdition de sa place du directeur d’équipe en histoire pour son désir de m’inscrire en son doctorat en 2010. De cette même façon, M. le Professeur 75 Frédérique de Buzon, mon directeur de thèse à l’Université de Strasbourg, a perdu cette même place en philosophie.

 

 

85c - Pendant l’année académique 2010-2011, le KGB européenne a envoyé M. le Professeur Frédérique de Buzon aux vacances sabbatiques hors son désir en 2010 pour sa direction de mes études doctorales depuis 2007 jusqu’à 2010. De cette même façon, le décan de la faculté en philosophie à l’Université de Salamanque Pablo García Castillo a perdu son année académique 2011-2012 à travers ces mêmes vacances sabbatiques inutiles. Son allégation suivante a devenu la motivation de sa condamnation « pénale »:

Finalmente, quiero expresarle también mi disposición favorable para que la tesis
(En fin, je veux vous exprimer ma disposition favorable que votre thèse)
pueda llevarse a cabo en colaboración con la Universidad francesa o italiana que
(puisse à être effectuée en collaboration avec l’Université française ou italienne que)
Usted prefiera, siendo para ello conveniente la elección de su tutor de tesis.
(vous préfériez, en étant adapté pour le choix de votre directeur de thèse convenant)
Ello permitirá que Usted obtenga, además del título de Doctor por nuestra
(Celui-ci permettra que vous obteniez complètement le titre de Docteur par notre)
Universidad, la acreditación del doctorado europeo.
(Université, l’accréditation du doctorat européen.)
Lo que firmo y sello en Salamanca, a veinte de julio de 2011
(Ce que je signe et scelle à Salamanque, le vingt juillet 2011)
El director de tesis
(Le directeur de thèse)
Profesor Doctor Pablo García Castillo
(Professeur Docteur Pablo García Castillo)
Decano de la Facultad de Filosofía.
Universidad de Salamanca.
(Décant/Doyen de la Faculté en Philosophie.
Université de Salamanque.)


85d - Je prie le TAF de confirmer que je ne critiquais jamais les pouvoirs européens et américains/israéliens. Je n’ai fait aucune action criminelle afin de devenir 
le membre du groupe social déterminé par la liste noire depuis le 25 avril 2010. Avant cette même date, il n’y avait aucun professeur européen qui avait été condamné pour mon inscription en son école doctorale, pour sa reconnaissance de mon master de Trente ou pour l’équivalence de la validité de mon diplôme de Trente au vingtième université d’Ouzbékistan. Je prie le TAF de fixer que sans pression de la mafia le Conseiller d’État du Valais n’avait jamais affirmé le mensonge sauvage que M. Alexander Kiriyatskiy était titulaire d’un Master en philosopheen ignorant qu’en éthique et en religion de cette même façon comme en philosophie, soit uniquement en branche, selon son deuxième titre rejeté avec ses 300 crédits soutenus par la Commission Européenne, par le Conseil d’Europe, par UNESCO/CEPESne disposait pas de 120 crédits ECTS dans les matières de cultures religieuses. Pour cette raison, le titre de recourant ne remplit pas les conditions légales d’admission à la HEP-VS en formation professionnelle des enseignants du secondaire I et II. Par contre, le seconde titre obtenu par M. Alexander Kiriyatskiy, a savoir son Diploma Philologist, Teacher of French Language and Literature délivré sans aucun crédit par la Tashkent State University, serait susceptible de lui permettre d’accéder à la formation mono disciplinaire Français langue secondaire. Il convient de relever que le recourant a refusé la proposition de la HEP-VS visant à modifier son inscription en ce sens. Sans pression des «dieux» humains, il est impossible de déclarer officiellement qu’en Suisse les diplômes des pires universités d’Afghanistan, de Pakistan et mon Ouzbékistan sont susceptible de les permettre d’accéder à la formation mono disciplinaire et en même temps sur le territoire de la Suisse les masters des meilleures universités italiennes ne remplissent pas les conditions légales d’admission à la HEP-VS en formation professionnelle des enseignants du secondaire I et II, alors que la quantité de 300 est moins que celle de 120 crédits.

86 – Ces mêmes allégations sont notamment considérées comme de sérieux préjudices à tous les concepts de l’héritage européen qui s’est formulé pendant nos derniers 2 500 ans. À travers 107 pages de mon recours, je prie le TAF de confirmer que l’information, qui a été dissimulée par SEM, démontre la mise en danger de ma vie sous la pluie sans permis de me sécher dans les rues israéliennes. En Israël, l’on peut m’attribuer n’importe quelle action criminelle afin de me fermer dans la prison pendant beaucoup d’années. De cette même façon en Israël, par les documents falsifiés, j’avais acheté quelque voiture en 1993 sur le territoire israélien, malgré le fait évident que, la première fois, je suis arrivé en Israël en 1999. En Israël, il était possible d’affirmer le 3 et le 4 mai 2009 qu’en 1993 je me trouvais sur deux places en Ouzbékistan et en Israël en même temps. De cette même façon en 2010, l’on a manifesté qu’au mois juin 2009 je travaillais en Israël afin de payer pour cette voiture et j’ai été détenu en Allemagne en même temps, au mois juin 2009. Ce même mensonge «allemand» m’a interdit d’étudier aux écoles doctorales et aux cours pédagogiques en Europe. En 2015, ces «dieux» humains ont compris que leur «divinité » avait pu remplacer ma détention «allemande» au 5 janvier 2009. En 2017, leur jouissance des droits civils a obligé Mme Monique Albrecht (Vice - chancelière) et M. Christophe Darbellay (Conseiller d’État) à faire leur allégation officiel que dans les mains russes les pires diplômes d’Afghanistan, de Pakistan, d’Iran et de mon Ouzbékistan, qui occupent les vingtièmes places dans leurs pays, sont bien plus valables en Suisse que les Masters des meilleures Universités italiennes. En Israël sans motivation, cette même jouissance des droits civils des «dieux» humains peut produire leur mise en danger de ma liberté, de même que leurs mesures «divines» qui entraînent LEUR pression physique insupportable

 

 

 

28/ Je prie la CNDA de confirmer que seule la dictature absolue peut déclarer officiellement à Amiens en 2006, à Tel-Aviv en 2009 et en Suisse en 2017 que mon master de l’Université Etatique de Tachkent, qui occupe la 20e place de rating parmi toutes les Université d’Ouzbékistan, est bien plus valable que mon Master de la 2e Université italienne par son rating des meilleures Université de l’Italie.

 

 

 

 

29/ Je prie la CNDA de confirmer que mon passeport perdu au mois d’août 2011 à Perpignan, mes travaux scientifiques sans permis de soutenir ceux, mes diplômes et mes poèmes littéraires n’ont aucun rapport dans le deuxième paragraphe de la 2e page du refus. L’article de presse avait été rédigé par le membre de 5000 fameuses personnalités mondiales. Son nom est Mme Dora Shtourman. Par les paragraphes 77 et 78 sur les  pages 62, 63, 64, 65, mon Recours au TAF daté le 8 avril 2019 démontre que j’ai mon droit sur mon asile artistique en France.

 

77b – Pendant 19 ans et 10 mois, j’ai été fatigué des standards doubles de nos bourreaux. Ces derniers m’interdisent de vivre comme ils ont fermé toutes leurs portes à Mme Dora Shturman. En 1993, celle-ci a devenu l’un des premiers sacrifices de la guerre froide contre les meilleures personnalités russophones. Mme Dora Shturman avait reçu le titre «Femme de l’année» 1991-1992, 1992-1993 selon les décisions des comités correspondants des Universités de Cambridge et de Peston. Pour la mafia mentionnée, ces deux faits ont obligé Mme Dora Shturman à finir de travailler à toutes les Universités du monde entier depuis 1993 jusqu’à sa mort le 4 janvier 2012 https://ru.wikipedia.org/wiki/%D0%A8%D1%82%D1%83%D1%80%D0%BC%D0%B0%D 0%BD,_%D0%94%D0%BE%D1%80%D0%B0_%D0%9C%D0%BE%D0%B8%D1%81%D 0%B5%D0%B5%D0%B2%D0%BD%D0%B0  (La date de son décès est publiée en russe en fin de sa biographie. C’est le 4 janvier 2012). Pendant 19 ans, Mme Dora Shturman avait le droit sur seul son travail physique sans qualification. En 2002, elle a été informée que depuis 2000 la mafia m’avait interdit de travailler pour la publication de mon live. Le 30 mai 2002, ma tragédie avait stimulé Mme Dora Shturman à publier son article qui a analysé mon livre. Au TAF, je présente sa traduction française. Celle-ci a été confirmée au Canada le 4 avril 2005:

 

 

78 - Sur la page 8, deux premières phrases ont dissimulé mon affirmation que je n’avais pas souhaité répéter le destin de M. Dora Shturman. Elle n’avait pas appartenu à l’hiérarchie israélienne. Aux États-Unis, sa carrière académique a menacé nombreuses places privilégiées sans aucun diplôme. La mafia a eu peur de son titre «Femme de l’année» 1991-1992, 1992- 1993 selon les décisions des comités correspondants des Universités de Cambridge et Peston. Le SEM a dissimulé mon affirmation que depuis 1993 jusqu’au 2012, Mme Dora Shturman https://www.wikidata.org/wiki/Q4527035 n’avait eu aucun droit sur son activité universitaire et sur son travail gratuit par sa spécialisation académique. Le SEM a rejeté mon explication que l’appartenance au livre «5000 personnalités du monde» et son titre «Femme de l’année» 65 1991-1992, 1992-1993 ont devenu la motivation des persécutions de Mme Dora Shturman pendant 19 ans, de 1993 à 2012. Je prie le TAF de confirmer que les persécutions de ma personne depuis 2000 jusqu’à 2002 ont obligé Mme Dora Shturman à rappeler ses propres souffrances depuis 1993. Mes harcèlements ciblés l’ont stimulé à rédiger sa notice de mon livre sous le titre «Au coucher du soleil de l’époque». À l’Université de Jérusalem en 2002 au département de la littérature russe, travaillait un médiocre professeur qui était né en 1913, alors que depuis 1993 Mme Dora Shturman a perdu ce même travail payant et gratuit partout à son âge de 70 ans. 19 ans des harcèlements de Mme Dora Shturman démontrent mon affirmation que si j’avais soutenu ma thèse, j’aurais présenté la concurrence dangereuse à la «mafia sans titre». Son activité contre moi a stimulé Mme Dora Shturman à analyser mon premier livre très positivement. Je prie le TAF que, depuis le 30 mais 2002 jusqu’au 7 août 2018, j’avais été en mesure de décrire précisément mon danger particulier. Ce dernier a été expliqué par dernières 19 années tristes de Mme Dora Shturman et à travers ses propres persécutions ciblées depuis 1993 jusqu’à 2012. Je prie le TAF de soutenir mon droit de ne pas répéter le destin de Mme Dora Shturman depuis 1993 jusqu’à 2012. Je vous prie d’annuler ces mêmes dissimilations de mes explications et de me présenter l’asile sans participation du SEM.

 

30/ Je prie la CNDA de confirmer que des articles de presse rédigés par Mme Dora Shturman. Ses articles ont été présentés le 7 octobre 2020 au bâtiment de l’OFPRA. Leurs textes n’étaient pas liés  avec un courrier reçu par le département consulaire de la Fédération de Russie en Suisse le 31 août 2019. En outre,  ce même courrier reçu par le département consulaire de la Fédération de Russie en Suisse est directement lié avec la copie de son passeport israélien délivré le 31 août 2010 et valable jusqu’au 31 août 2020, un récépissé de déclaration de main courante relatif au vol de son passeport daté du 25 août 2011. Sur la page 34 de ce même recours, j’ai expliqué le 7 octobre à l’OFPRA que la Russie ne me permet pas de revenir en Russie sans passeport. Mais la Russie peut m’aider de quelle façon il est possible de trouver et renouveler mon dossier à la Cour des Droits de l’Homme qui avait accepté mon dossier là le 18 février 2010. (pp. 31-32 de ce même recours). Je prie la CNDA de souligner un seule rapport entre plusieurs concepts chaotique du deuxième paragraphe de la deuxième page du refus de l’OFPRA qui est dissimulé et masqué afin de confondre les lecteurs de sa réponse négatives. L’OFPRA a dissimulé le fait que si j’avais eu mon droit d’arriver en Russie, je n’aurais pas demandé mon asile en France. Je souligne le fait que l’OFPRA n’a pas voulu expliqué pour quelle motivation M. Vladimir Ivanovitch Altoukhov m’a laissé  une procuration devant notaire réalisé par sa volonté le 22 juin 2020.

 

 

 

31a/ Je prie la CNDA de confirmer le fait qu’à son âge de 76 ans, maintenant 77 ans, le vieillard Vladimir Altoukhov, qui était né le 26 août 1943, a quitté la France pendant la pandémie de Covid 19 sous la pression de son inquiétude. Il  ne m’a laissé ni son adresse en Espagne, ni son téléphone. Je suppose qu’il avait peur que le pouvoir mondiale pouvait condamner celui pour son désir de m’aider depuis le 19 décembre 2019. De cette même façon, il m’a présenté son hébergement depuis le mois de septembre 2007 jusqu’au 3 janvier 2012. Nous n’avions aucune tumeur avant notre déménagement très étrange de Strasbourg à Perpignan pour habiter dans l’appartement radioactif sur la place 3 Esplanade, Edouard LE ROY. M. V. Altoukhov devait revenir le 1 novembre 2020. Le 13 novembre 2020, je n’ai reçu aucune information qui soit liée avec ses actions en futur. Je prie la CNDA de confirmer le fait que l’OFPRA a ignoré le départ très étrange du vieillard. Il a plusieurs maladies qui sont dangereuses pendant la pandémie. L’état psychique de M. Vladimir Ivanovitch Altoukhov était normal et égal toujours en 2007, en 2012, alors qu’il attendait sa mort après la chimiothérapie dans l’appartement radioactive. De cette même manière, M. V. Altoukhov était également neutre et raisonnable pendant son départ triste pour habiter  en Espagne depuis le 24 juin 2020. Il aime la France. M. Vladimir Ivanovitch Altoukhov rêvait revenir à Perpignan le 1 novembre 2020. L’OFPRA a dissimulé le fait que j’ai présenté mes photographies très importantes. Celles-ci démontrent que depuis 2011 jusqu’à 2014 mon organisme a devenu très jeune afin d’éviter mon cancer du foie, celui de testicule et celui de mon cerveau. Sans mon désir, l’on m’a admis dans le groupe des jeunes hommes entre 15 et 18 ans pour ma jeunesse irréelle, où par la copie de mon passeport j’ai déclaré qu’en 2013 j’avais 43 ans et non entre 15 et 18 ans.

 

 

31b/ A la Cour Nationale du Droit d’asile, je présente les photos des récitations de mes poèmes. Je les ai installé en Youtube depuis 2013 jusqu’à 2014. Mes photos n’étaient pas inutiles le 7 octobre 2020 pendant mon audience. Ceux-ci démontrent qu’en 2011 Vladimir Ivanovitch Altoukhov et moi, Alexander Kiriyatskiy, nous étions les sacrifices réels et nous sommes opposés aux mensonges de M. le trompeur Navaly. Je suis né le 11 mai 1970. La date de la naissance de M. le menteur Navalnyj est le 4 juin 1976. Sur la photo suivante Alexej Navalnyj a 44 ans. Il est bien vu que M. Navalnyj boit l’alcool. Ce dernier assassine son organisme bien pire que tous les vélins.  

 

 

J’avais 44 ans en 2014 sur mes photos antérieurs, alors que je me trouvais sur la frontière entre mon cancer  et la rénovation manifestée de tout mon organisme sans tumeur oncologique. Je l’ai vaincu en 2015. Les kystes ne sont pas cancer.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

32a/ L’OPFRA a ignoré que sur l’USB, les photocopies des notes de mon grand-père compositeur ont été confirmées en PDF par le notaire du site MUSICANEO. Cette entreprise protège 12 000 meilleurs compositeurs classiques depuis le VIe  jusqu’au XXe siècle.

 

 

 

32b/ Entre eux, sont présentés 4034 pages des notes de mon grand-père juif en allemand, en anglais, en portugais et en russe. Je croyais que l’héritage musical de Benjamin Khaèt et ma propre poésie cosmique peuvent m’aider à obtenir mon droit sur l’asile artistique en France. Mon asile admis sera bien plus valable que celui pour les incendies et pour les violences de Piotr Pavlensky.

 

Alexander Kiriyatskiy:

 

(29 - 30) Des Atlantes qui ont rapide quitté leur terre:
De la création de l’Univers

Hors nos temps, Tout de Dieu et l'enfer enchaîné
    Y dormaient par dix-sept dimensions.
Lors la séparation a chassé leur but né
    Pour produire la fin à l’explosion.

Tout ce monde naîtra moins que son Positron,
    Où alors qu’il n’y avait nul malheur,
Dans un point, tous nos lieux sans concept d’autre «NON»
    S’illustraient magnifiques ou meilleures.

Par les rythmes de l’infinité, chaque ficelle
    Supérieure et égale collectait
Toutes ses formes sans fond et n’avait nulle partielle
    Difficile à travers l’Unité.

Sa Puissance pouvait unifier tous les signes.
    Dont, la couple du pas sans clarté
A jeté l’ombre charge hors chances divines:
    Trois temps pour leur diversité,

Il n’est pas paradis infini de matière.
    L’être rapidité dépassait
La lumière quatre fois, où grandit l’Univers,
    Le présent rappelait son passé.

Un million deux cents mils en seconde, vitesse,
    Tu as fait élargir l’extension,
Où ses points opposés s’approchent qu’ils disparaissent
    À travers leurs annihilations.

Là se sont dissociés des pouvoirs primordiaux
    Qui conduisent à la lutte cependant.
Sans divine harmonie, quittent leurs dons initiaux.
    Par les larmes, séparent ses océans.

Toutes nos forces amènent à la source unique.
    Microcosme d’abîme étendu,
Absolu a laissé l’île du filtre cosmique.
    Au futur, l’inutile est fendu.

Dieu restait dans une seule milliardième de la masse
    Explosé par le mal sous le temps.
S’élargie ce même cercle partout. Il nous chasse
    Des morceaux qui construisent notre champ.

Mais la noire énergie a ouvert ses frontières
    Qui conduisent à sa futilité,
Où les Trous Noires s’opposent aux places vides de l’enfer
    Pour suspendre ce cosme voûté.

Chaque période de la vie éloignait nos grises morts
    Des microns aux amas galactiques.
Les cadastres de branches dirigent leurs flux forts,
    Et inventent une arme physique:

Les Neutrons lourds s'emboîtent à travers les Protons
    Afin de formuler nous divers.
Entre nos centres et les orbites d’Électrons,
    Les distances séparent l’Univers.

Entre les galaxies et dans tous les atomes
    Par ce temps, la sphère creuse s'élargie.
Ses rapports trompent que pour leur offre nous sommes
    Tout s’éloigne de cette noire énergie,

Où son feu qui embrasse le passage disparu,
    Est vaincu à travers nos Trous Noirs,
Leur conscience invite toutes les âmes, où nos rues
    Se souviennent par l’énorme mémoire.

Dans les Trous Noirs, il n’y a que des cordes sans fin,
    Les images en raison de leurs notes.
Par nos treize dimensions s’ouvrent tous les chemins,
    La lumière intérieure n’a nulle faute.
Contre les énergies noires, nous crée Absolu,
    Sauve nos contradictions et remplace
Le passé restauré. Son futur est son glu
    Entre tous nos objets en espace.

ORIGINE DE TOUT NOTRE COSME

L’idée des mondes plus parfaits est préférée par Dieu,
Leurs dix sept courtes dimensions sont connectées bien mieux
Que trois métriques du mal cosmique: au temps pour être vieux
Et décéder dans leur futur sans connexion des lieux.
Car dans cinquante milliards tours d’années, viendra la mort,
Vite se perdront nos molécules, il ne sera nul corps:
Dont les distances entre eux vaincront ce sens plus fort
Des Trous Noirs qui se cacheront par les derniers rapports.

La perfection de leurs parties se trouve dans toutes les sphères,
Leurs évidences se pratiquent dans chaque point pour les faire
Cette paix réelle des contredits, tiennent une lumière sans guerres,
Il est possible d’ajourner la fin de l’univers.

Ses Trous Noirs n’ont aucune distance
Entre nos particules fidèles,
Qui ont, à l’ordre, la puissance
De leur donner l’union partielle

Avec ses mondes d’Absolu…
Années, quatorze milliards! Dans
L’une de ces sphères, aviez voulu
Dire l’infini à un mutant

De nul espace. Par aucun temps,
La belle vitesse du haut salut
A fait unir l’ordre présent
Passé pour son prochain non lu.

Nos galaxies sont temporelles,
Elles naissent du minimum... L’enfance
Du diable explosait leur ciel
Aux six milliard d’années, aux chances:

Avant cette explosion des rames pour notre crise d’espace,
L’autre présent n’a nul passé, car il n’a rien qui passe,
Où il n’existe pas danger des êtres qui menacent
À l’harmonie et chaque sa place domine surtout en face.

Alors dix sept mesures très dures ont figuré ce fond
Plus grand que notre univers dans un petit neutron…
Les opposés ne se battent pas, où tous ensembles n’ont
Rien impossible de ce règne à nulle frontière du Bon.

Milliard de fois, sa quantité des forces dominait
Sur notre nombre de matières perdues par leurs années.
À l’intérieur, tous nos atomes sont vides. Ceux-ci sont nés
Sous l’énergie noire de ses souches qui tentent d’éloigner

Ses électrons et nos protons.
Par la faiblesse des formes,
Leurs galaxies disparaîtront.
L’obscurité énorme

Fera éteindre les étoiles
Dans le futur. Leur but
Élargira l’abîme spatial
Qui nous approche des chutes,

Où nos gravitations grosses luttent
Que l’unité soit maximale.
Son signe «minus» casse toutes leurs routes
Qui le conduisent à l’un idéal

Que notre astre dorme
Des cinq milliards d’années au trône
De l’homme. Encore, comme l’orme,
Que grandissait l’humaine personne.

 

33a/ L’OFPRA trompe que son service ne comprend pas pourquoi Israël ne veut pas délivrer un nouveau passeport au citoyen d’Israël avec la nationalité russe! Israël crache sur les religions des ses citoyens. La religion juive ne pouvait jamais substituer la nationalité russe par celle hébraïque à travers les traditions et les vêtements juifs, car la religion n’était jamais identifiée avec le concept de nationalité en Israël. Les russes juifs ont téléchargé en vidéo de quelle façon par les bottes la police hébraïque bat les jeunes russes juifs malgré leur religion évidente.

 

 

Les photos suivants expliquent pour quelle motivation je me revendique russe. A droite de photos il est marqué en russe НОВОСТИ (NOTICES).

 

33b/ Les adultes ne savent pas aider à leurs enfants. Je prie la CNDA de confirmer de quelle agression par la botte droite le soldat israélien bat les russes juifs qui sont plus blancs et sans barbes parmi tous les autres jeunes garçons. Leurs sacrifices ont l’âge entre 13 et 17 ans.

 

 

En Russie l’on ne persécute jamais les adolescents juifs de cette même manière. Seuls les pays «démocratiques» permettent d’humilier leurs enfants et leurs adolescents de cette même façon en Israël, au Canada et au Etats-Unis. Seules les vies des noires comptent. Pour l’affirmation que les vies de tous comptent de cette même façon, la police des «démocrates» commence à battre comme sur 12 photos des notices russes qui essayent de soutenir et de défendre les russophones.

 

Plus bas, il est vu que le soldat israélien terrorise l’enfant qui a 13 ans.

Pour ces mêmes soldats, SEULES LES VIES DES NOIRS COMPTENT.

34/ Après ces mêmes persécutions inutiles, plusieurs israéliens russes juifs, chrétiens, musulmans et cosmopolites demandent l’asile en Russie. C’est la raison pour laquelle moi, Alexander Kiriyatskiy au regard de ses déclarations selon lesquelles j’ai déposé une demande d’asile auprès de la Fédération de Russie et considérant le courrier reçu par le département consulaire de la Fédération de Russie en Suisse. Je ne vois pas l’analyse de sa réponse négative qui était liée avec mon asile en Russie sans passeport israélien. Je prie la CNDA de fixer l’absence de la déclaration du refus du département consulaire de la Fédération de Russie en Suisse.

 

 

35a/ L’OFPRA répète les chablons du SEM suisse. CELUI-CI remplace les raisons des sujets par la tautologie des compléments indirects: … l’intéressé ayant pu faire délivrer aux cours de sa vie plusieurs passeports de la part des autorités israéliennes… L’idée est finie. La partie suivante de cette même phrase n’a aucun rapport avec cette même proposition «terminée». Je prie la CNDA de constater que je n’avais que deux passeports et non plus en NON PLUSIEURS. En 2010, j’ai reçu le document israélien qui constate en hébreu que 2 seaux de CANCELLID annulent la validité de mon passeport qui avait été délivré pour l’argent le 29-7-2019.

 

 

 

 

35b/ Car ce même passeport avait été détérioré dans l’Ambassade d’Allemagne à Tel-Aviv, gratuitement j’ai reçu mon nouveau passeport le 31-8-2010. L’on m’a notifié en russe que le passeport de CANCELLID a deux seaux de la douane allemande. Ceux-ci démontrent que mes détentions irréelles n’existaient pas dans les ordinateurs de la police allemande en 2009.

 

 

36a/ Seulement en Espagne et en Suisse, ce même passeport annulé avait sa propre validité, alors que je n’ai eu aucun autre document qui pouvait identifier ma personne. L’OFPRA trompe, alors que celui-ci affirme que le pays d’Israël, où j’étais bien plus illégal qu’en France depuis 2006 jusqu’à 2012, avait ma résidence avant mon arrivé en Europe après la mort de ma mère depuis 2004. Je pouvais habiter dans l’appartement qui était loué par ma mère Nina Veniaminovna Khaèt. Ni au Canada, ni en Suisse, ni en France il ne faut pas tromper que depuis 1999 Israël, avait ma résidence avant mon arrivé en Europe. L’OFPRA a dissimulé le paragraphe 36 du Recours au Tribunal administratif fédéral TAF, case postale, 
9023 Saint-Gall d’Alexander Vadimovitch KIRIYATSKIY________
(Nombreuses pages renouvelées le 31.03.2015 et le 04.06.2016)

Ce même recours est admis par la Cour Administratif de Saint-Gall le 9 mai 2018.

36) Si la police française (du pays démocratique) avait eu le droit de ne pas me présenter le document vérifié cette même violence opposée à la décision de M. le juge Pierre Wagner, aucun pays : ni Israël, ni tous les pays africains et asiatiques n’auraient jamais présenté aucun document vérifié leur persécutions pour aucune sacrifice réelle. En outre, seuls les rois obligent leurs esclaves en police à présenter, pour ces mêmes rois, certains documents falsifiés qui témoignent les persécutions falsifiées pour les menteurs riches et non pour les sacrifices aux pays du troisième monde. Je n’ai que la vidéo qui illustre le fait qu’en 2009, alors que j’avais le droit sur le travail en Israël, la police a obligé à dormir dans la rue en été 2009 sans motivation, car la police israélienne m’avait obligé illégalement à quitter ma petite chambre qui était indiquée dans mon passeport jusqu’à 2010. https://www.youtube.com/watch?v=wEU9J4ucvto

 

 

 

 

 

 

36b/ J’ai habité dans cette même «résidence» pendant un mois en 2009. J’ai obtenu le droit légal sur mon travail sans qualification en 2008 et en 2009, alors que j’étudiais à l’Ecole Doctorale de Strasbourg. Ma pièce d’identité avait l’adresse de ce même studio jusqu’au mois de juillet 2009. Alors, la police avait cassé mon serrure. Celle-ci m’a obligé à quitter cette chambre. Pour les studios plus chers, je ne pouvais pas gagner l’argent et j’habitais dans la rue en 2009 et en 2010. A  Strasbourg, j’habitais tranquillement à l’appartement de M. Vladimir Ivanovitch Altoukhov. Depuis 2004 en Israël il n’y avait jamais ma résidence avant mon arrivé en Europe.

 

 

36c/ Je prie la CNDA de constater la répétition française du mensonge suisse du SEM. Celui-ci a été annulé le 9 mai 2018 par le recours de Saint-Gall. Seulement pour démontrer la puissance des standards doubles en Suisse en 2015, l’OFPRA trompe en 2020 que concernant ses craintes en Israël, l’intéressé a essentiellement évoqué son obtenir un emploi légalement déclaré et ses conditions de vie précaire, qui l’ont notamment conduit à vivre dans la rue sans logement. Seulement en 2008 et en 2009, alors que j’avais mon droit sur mon travail légal, j’avais mes  conditions de vie précaire, qui l’ont notamment conduit à vivre dans la rue sans logement. Alors que je n’avais pas eu ce même droit essentiellement évoqué son obtenir un emploi légalement, chaque instant je pouvais être battu par la police israélienne sans motivation de 1999 à 2008 et de 2010 jusqu’à nos jours comme cet enfant russe à l’âge de 13 ans, malgré sa religion juive qui ne modifie pas notre nationalité russe en Israël.

 

 

36d/ De quelle façon l’enfant avec les cheveux rousses menace au policier qui le bat pour sa nationalité russe et pour sa religion juive en même temps? Cette photo explique le calque suisse de l’affirmation suivante du SEM en 2015 et de celle de  l’OPFRA en 2020: Toutefois, les motifs qu’il évoque comme l’étant à l’origine des mauvais traitements reçus se sont révélé peu convaincant. Les bleuissures des femmes russes sous le couteau de Piort Pavlensky, son organisation de l’incendie du bâtiment essentiel de la Sécurité Nationale de Russie n'étaient pas convaincus de détenir Piotr Pavlensky sur le territoire de la Russie. Malgré l’absence de quelque danger de Piotr Pavlensky sur le territoire de la Russie, l’OPFRA a présenté l’asile politique au bandit et pornographe Piotr Pavlenskiy, car la police russe n’avait aucun droit d’obliger Piotr Pavlensky à payer son amende pour ses violences en Russie qui se sont révélées convaincant de lui présenter son asile artistique en France comme au peintre qui n’a rien dessiné pendant toutes sa vie. Je prie la CNDA de constater que selon ces mêmes ordres draconiens si j’avais demandé l’asile en France depuis 2006 jusqu’à 2012, j’aurais reçu ce même refus et je n’aurais pas pu prolonger ma vie en Suisse pendant 8 ans sans deux semaines sur la base de l’avarice suisse qui voulait mettre, dans ses banques, l’amende allemande en volume de mes 730 000 euros.

Alexander Kiriyatski: Staline en Europe
Et en Europe, il n’y a aucune démocratie,
Comme à l’époque du stalinisme en Russie.
Mon nom est dans la liste noire, secrète … - «Merci»,
Crie mon poème aux yeux des démocrates aussi.

Je suis Sacha, le personnage des «Fils d’Arbate»
De Ribakov… L’on nous sépare des masses en boîte;
Mais ne jette pas dans les prisons, les ordres battent
Pour chaque désir de nous lever parmi les rates.

Nos stalinistes d’occident persécutaient
Les professeurs, partout, aux Universités
Qui essayaient de nous inscrire, l’on leur dictait
De retirer leurs lettres par leur volonté.

Que l’on ne nous permette jamais de travailler
Sous nos officieux noms parmi les ouvriers!!!
Car sous l’averse, l’on oblige à nous mouiller
Que, comme plusieurs drogués, nous nous mangions derniers.

Que nos espoirs soient décédés dans la souffrance
Que nous perdions, comme les ivrognes, l’indépendance
Des démocrates d’Europe pour son Staline. En France,
Nous les prions, par ses esclaves, leurs indulgences.

Mais si nous soutenions nos thèses, et nous aurions
L’argent des clans pour l'air des gestes sans crayon,
Les rois perdraient leurs responsables des rayons
Illuminés la vérité que nous verrions.

Car toutes mes nuits passaient // dans les foyers des pauvres
Pendant ma vie sans fleurs // en règne d’obscurité,
Que cet enfer produise, // par les douleurs, mes œuvres
Comme ma syllabe en vers // tentait de refléter

Que je n’ai pas mes droits // de travailler par l’ordre,
Et rédiger ma thèse, // je prie l’aide à Genève,
Or, ma recherche en // Europe oblige à mordre
Mon âme pour mes études, // absence de mon rêve. 

 

37/ Je ne suis ni terroriste religieux, ni «peintre» pornographe comme Piotr Pavlenski. Ce dernier «peintre» accepté n’a rien dessiné. C’est la raison pour laquelle, l’OFPRA a inverti ma réponse à la question: «Pourquoi mon grand-père, le compositeur avait peur de migrer en Israël avant son âge de pension?» J’ai répondu à cette même question honnêtement que depuis 1954 le dossier de mon grand-père Veniamïn Khaèt avait été placé dans la liste noire de MACARTISME américain et israélien. Si Veniamïn (Benjamin) Arnoldovitch Khaèt était venu en Israël, l’aurait attendu le destin de mon ami russe israélien Itskhak. Il est né en 1920. Ce même russe juif a commencé à habiter légalement à Tel-Aviv depuis 1941, 5 ans avant l’apparition du pays Israël. Itskhak était le grand chanteur. En 2000, il n’a pas perdu sa voix d’opéra à son âge de 80 ans. Mais malgré sa religion juive, Israël de MACARTISME a placé Itskhak dans la liste noire pour sa nationalité russe sans droit de chanter pour l’argent. Cette règle a obligé Itskhak, le chanteur d’opéra à travailler dans les constructions par l’ouvrier sans qualification depuis 1946 jusqu’à 1985 sur le territoire d’Israël. Pour sa nationalité russe, la mafia n’a pas permis Itskhak d’accumuler son argent pour sa pension de vieillesse. C’est pourquoi pour sa nationalité russe, Itskhak continuait à travailler sans qualification en 2000 à son âge de 80 ans. La religion juive d’Itskhak RUSSE n’intéressait personne sauf les autres russes depuis 1941 jusqu’à 2000. De cette même façon pour sa nationalité russe et malgré sa religion juive, la mère de mon autre ami Alexandre Dijour n’a gagné aucune pension de stage depuis 1978 jusqu’à 2000. De 1954 à 1975, les amis de mon grand-père juif nous ont décrit nombreux destins horrible comme celui d’Itskhak. Nos amis israéliens nous ont informé par correspondance que M. le compositeur Veniamïn (Benjamin) Arnoldovitch Khaèt se trouve dans la liste noire de macartisme américain/israélien depuis 1954 et qu’il ne devait pas migrer en Israël pour ne pas répéter leurs destins. Comme le Service Etatique de Migration à Berne par son calque particulièrement, l’OFPRA a interprété cette même réponse à la question mentionnée sans rapport. Par ses chablons, l’OFPRA a uni plusieurs concepts sans raison: En effet, s’il peut être admis, au regard des divers documents produits, que le grand-père de l’intéressé a fait,  Veniamïn Khaèt, était un compositeur d’opéra et de musique classique russe de confession juive, les circonstances dans lesquelles il aurait été placé depuis 1954 sur la «liste noire» de la part des autorités israéliennes en raison de son talent musical sont apparues confuses et peu compréhensibles. Dans tous les pays du monde, seuls les bourreaux de toute la nationalité russe mentent qu’ils ne comprennent pas pour quelles motivations plusieurs russes israéliens, comme Itskhak grand chanteur d’opéra, n’a pas accumulé son argent pour sa vieillesse depuis 1946 jusqu’à 2000 pour son travail sans qualification. De cette même façon, la mère d’Alexandre Dijours n’a pas gagné sa pension minimal depuis 1978 jusqu’à 2000. Seuls les protecteurs des pornographes comme Piotr Pavlenski ne peuvent pas comprendre que mon grand-père compositeur n’a pas voulu répéter les souffrances des esclaves comme Itskhak. J’ai dis pendant mon audience le 7 octobre 2020 que, pour les compositeurs comme Piotr Pavlenski, 8000 pages des notes de mon grand-père présentaient le grand danger malgré le fait que ces notes ne se trouvaient pas en Internet et il était impossible d’écouter la musique de leur cinquante pourcent. Maintenant, alors que 5 heures et 48 minutes de leur musique ont été présentées sur mon site à l’UQAM, les protecteurs américain/israéliens des compositeurs, comme Pavlenski, veulent m’attribuer l’antisémitisme et me fermer dans la prison pour me tuer là. En 2008 et en 2009, je n’avais eu aucune possibilité de payer l’argent aux musiciens pour jouer en ordinateur la musique de mon grand père Benjamin /Veniamïn/ Khaèt. Sa nationalité était hébraïque cent pour cent et, sur 8000 pages, 12 heures de leurs compositions musicales présentent le grand danger pour la mafia israélienne. C’est la motivation pour laquelle, Israël m’avait interdit de gagner l’argent, alors que j’avais ma possibilité de payer pour le jeu en ordinateur des notes de B./V.Khaèt. Sur la flèche USB, je présente 4034 pages des notes de mon grand père en PDF confirmés par le notaire, 5 heures 48 minutes de leur musique jouée en ordinateur et la copie de son site qui menace la mafia. Au Canada et en Suisse, j’avais pu accumuler l’argent nécessaire et payer celui pour la publication professionnelle de mon héritage musical en Internet. De cette même façon en anglais, j’ai la confirmé ces mêmes notes sous le nom Benjamin /Veniamïn/ Khaèt 1896-1975. L’a confirmé le notaire du site https://veniaminkhaet.musicaneo.com. La CNDA peut constater que la musique de Khaèt correspond au niveau professionnel de Stravinsky et de Prokofiev. Je prie de fixer que l’OFPRA a dissimulé mon explication que, depuis 1999, la peur de l’héritage de mon grand père est la motivation de persécuter tous qui pouvaient me présenter quelque travail légal et illégal depuis 1999 jusqu’à 2008 et depuis 2010 jusqu’à nos jours. Je prie la CNDA de lire mon explication suivante. Il y avait un Monsieur qui m’avait permis de gagner un peu d’argent illégalement en 2010. En Israël, ce même Monsieur russe m’a dit que si j’avais payé mon assurance médicale ou si j’avais seulement apparu à son bureau, le Shabak aurait contrôlé mon chef dans la ville et j’aurais perdu ma dernière possibilité d’accumuler l’argent afin de quitter Israël en 2010. À Tel-Aviv, mon chef russe a risqué par son destin, car il m’avait aidé à quitter Israël à travers mon argent gagné illégalement. Aux pays totalitaires, les hommes, qui ne critiquent pas leur pouvoir, ont tous les droits humains. Au contraire sans motivation, les pays «démocratiques» persécutent leurs citoyens et il est impossible de démontrer leurs harcèlements.L’OFPRA a dissimulé cette information de ma demande d’asile.

 

 

55 - Ce paragraphe oblige son lecteur à fermer ses yeux sur les persécutions américaines de Mademoiselle Maria Boutina sans motivation. Le 7 août 2018 et selon mes messages suivants en 2018, le SEM n’a pas accepté mes démonstrations que Marie Boutina était l’étudiante russe au États-Unis. Son niveau académique était bien plus bas que le mien à l’École Doctorale de Strasbourg. Sans motivation, Marie Boutina a été fermée dans la prison américaine comme moi à Strasbourg. Je me trouve dans la liste noire à travers ma détention falsifiée en Allemagne sans droit sur la reconnaissance de mon alibi. Si je me trouvais à Strasbourg au mois juin 2009 et le 5 janvier 2009, l’Europe, l’Amérique du Nord et Israël auraient pu m’attribuer n’import quel mensonge afin de me fermer dans leurs prisons pendant plusieurs années. Depuis 2015 sans aucune difficulté, la mafia a remplacé ma détention falsifiée au 5 janvier 2009. Le SEM a rejeté mes trois documents israéliens. Ceux-ci démontrent que le 3 mai 2009 et le 4 mai 2009 Israël m’avait obligé à payer les amandes et non impôts pour quelque voiture israélienne (les véhicules par cette décision du SEM). Officiellement, ce même véhicule avait été «acheté par moi en 1993» selon trois documents falsifiés. La justice israélienne n’a pas reconnu mon alibi. Celui-ci démontre que la première fois je suis arrivé en Israël le 20 mai 1999. Je n’ai pas souhaité continuer notre discours à 16 heures 45 à Berne, car le SEM avait rejeté ces mêmes trois documents israéliens. Trois pages suivantes les illustrent au TAF. Par leur existence, je prie le TAF d’annuler cette même décision qui m’oblige à quitter la Suisse. Le SEM répète les mensonges infantiles de la décision antérieure. Cette dernière a été annulée le 9 mai 2018. Je n’avais pu acheter cette même voiture sur le territoire d’Israël en 1993, car en 1993 j’habitais à Tachkent en Ouzbékistan. En 1993 physiquement, je ne pouvais pas me trouver sur deux places en même temps. De cette même façon, Maria Boutina (non MarGia Butina) ne peut pas démontrer l’absurdité de sa détention au États-Unis. Je n’ai aucun désir de revenir au pays, dans le quel me menacent la mort lente et nombreuses persécutions sans motivation.

 

Je prie la CNDA d’annuler la décision de rejet de ma demande d’asile, car la fin du quatrième paragraphe de la deuxième page de ce refus dissimule particulièrement tous les faits qui sont bien illustrés sur les pages 73, 74, 75 et 76 de cette même requête.

 

 

38/ A l’Université de Sorbonne, les conférences de Piotr Pavlenski démontrent le lien entre l’Etat (France par) Israël et la mafia américaine visant à promouvoir des artistes fallacieux comme Piotr Pavlenski. Ce dernier n’était pas détenu par la police de la Russie pour le fait qu’il a incendié de l’entrée historique dans le bâtiment central de la  sécurité russe. Sa porte était bien plus chère et bien plus importante que celle de l’une des branches des banques françaises sur la Place de Bastille. Pavlenski a obtenu l’asile artistique en France, car la Russie a permis Piotr Pavlenski de ne pas payer son amende pour l’incendie organisé par celui dans le bâtiment historique de Moscou! Ce pornographe a dirigé nombreuses conférences à Sorbonne pour la «peinture» de son couteau sur le visage d’une jeune femme russe à Moscou. La police russe n’a pas détenu Piotr Pavlenski pour nombreuses blessures laissées par son couteau sur le visage de cette même jeune femme.

 

 

Seuls les standards doubles obligent l’OFPRA à «douter» que la mafia n’anéantit pas toute forme de concurrence en terme sibyllins et peu réaliste. Ma réalité oblige les protecteurs de Piotr Pavlenski à présenter ses arts réels comme j’illustre mes propres 60 poèmes différents en français. Je les ai présentés en Youtube et sur 82 pages de mon livre en trois langues qui comprend 126 pages.

 

 

 

Poésie d'Alexander KIRIYATSKIY: Pavlenski

 

Sur la place de Bastille,

Votre banque vous brille

Par la consécration de l’artiste

Qui ne joue aucun rôle

Et ne sait nulle parole

En français, car l’absurde bien triste

 

Fait détruire ma Russie,

Au barbare vous dîtes: «Si

Tu blessais tes femmes russes, sataniste,

Tu serais, Pierre génial,

Notre peintre du mal,

Qu’à Paris l’art du diable existe.»

 

L’homme n’a rien dessiné.

Mais l’Europe l’amenait

Au triomphe parfait des violences.

L’on coupe l’art de peinture

Par le feu des blessures

Pour monter à sa reconnaissance.

 

La Russie l’a permis

De trouver ses amis

Entre les journalistes qui dansent

À côté du bandit.

Pour Poutine, l’âne rôtit

Ses palais pour quelle indépendance?

 

L’âme attend la police.

À Moscou, celle-ci puisse

À conduire vers le dur héroïsme.

Pierre répète cette action

Pour la révolution

À Paris, l’on l’appelle l’extrémisme

 

Par dix ans de prison…

À Moscou nous disons

Qu’en Russie l’on cultive l’égoïsme,

D’où l’Europe sans trésor

Nous approche de nos morts

À travers son «naïf» daltonisme.

 

39/ Je prie la CNDA de confirmer cinq licenciements de mes professeurs. Leurs condamnations ont été directement liés avec le fait qu’en 2010 et non en 2009 la police allemande m’avait attribué deux détentions absurdes le 5 janvier 2009 et au mois de juin de 2009 sans droit sur mon alibi malgré le fait que depuis le 8 mais 2008 jusqu’au 31 janvier 2009 je me trouvé en Israël. Mon document bleu d’Israël démontre que je suis revenu en France le 31 janviers 2009 et, physiquement, je ne pouvais pas être arrêté en France par mon arrêt du 5 janvier 2009. Officiellement, l’Allemagne m’a interdis de traverser son territoire depuis le 5 janvier 2009 jusqu’au 26 juin 2019. Pour toujours, ces mêmes détentions m’ont interdis d’étudier à toutes les Universités de la Communauté Européenne en France, en Espagne, en Suisse, etc. Si cette même déclaration existait en 2009, l’aéroport allemand ne m’aurait jamais mis le seau de sa douane dans mon passeport israélien le 5.09.09

 

 

50) du fait que M. le Professeur Eckart WIRBELAUER n’a pas modifié son appréciation positive de mon projet de l’automne 2007 au 25 décembre 2010. En outre, sous la pression de la mafia ou du pays totalitaire comme l’URSS de 1928 à 1954, M. le Professeur Eckart WIRBELAUER modifie son opinion pendant quatre jours du 25 au 28 novembre 2010. Comme à l’époque du stalinisme en URSS, en France M. le Professeur Eckart WIRBELAUER perd son désir de suivre ma thèse sous la peur de perdre le travail comme M. le Professeur Frédéric DE BUZON et Dominique BEYER l’on perdu pendant l’année académique 2010-2011.

 

51) du fait que M. le Professeur Dominique BEYER était le directeur d’équipe des doctorants en histoire antique de 2007 au 25 novembre 2010. Le 24 mars 2011, j’ai reçu l’information que M. le Professeur Dominique BEYER a perdu ce post, car il a essayé de m’admettre en son École Doctorale en histoire du 23 novembre au 25 novembre 2010.

 

52) de la lettre composée le 20 novembre 2010 par M. Alain Bertz président de l’Université di Strasbourg, où il présente les lois qui m’interdisent d’arriver à l’Université de Strasbourg pour chercher les nouveaux directeurs de thèse.

 

54b - Si je ne m’étais pas trouvé dans la liste noire, 1) par correspondance à Salamanque j’aurais rédigé ma thèse sous la direction de M. Pablo García Castillo, le décan du département en philosophie. En 2011, M. Pablo García Castillo ne serait pas imprévisiblement envoyé aux vacances sabbatiques comme Frédérique de Buzon à Strasbourg en 2010, si le doyen de la meilleure Université espagnole avait rejeté ma thèse et il n’aurait jamais écrit son propre message chez moi. Ce document concret démontre son désir de suivre ma thèse.

 

 

S. D. Alexander Kiriyazskiy
(
M. Docteur Alexander Kiriyatskiy)
Estimado Señor
(
Estimé Monsieur)
A la vista de su amplio currículo, en el que destacan sus estudios de Postgrado
la vue de votre large description de vie dans lequel se démarquent vos études de troisième cycle)
en diversas Universidades, me es grato comunicarle que acepto la dirección de su
(
aux Universités différentes, je suis heureux de vous informer que jaccepte la direction de votre)
tesis doctoral, cuyo título provisional esNICOLÁS DE CUSA EN EL LIBRO
(
thèse doctorale, dont le titre provisoire estNICOLAS DE CUES DANS LE LIVRE)
INDIVIDUO Y COSMOSde ERNST CASSIRER Y EL ORIGEN DE SUS
(“
INDIVIDUS ET COSMOS dERNST CASSIRER ET LORIGINE DE SES)
CUATRO CATEGORÍAS FOLOSÓFICAS (mito, lengua, lógica y realidad
(
QUATRE CATHÉGORIES PHILOSOPHIQUES (mythe, langue, logique et réalité)
creativa).(créative)).Quedo a su entera disposición para realizar los trámites administrativos
(
Je reste à votre disposition éternelle afin de réaliser les paperasseries administratives)
necesarios para su inscripción como doctorando en la Universidad de Salamanca
(
nécessaires pour votre inscription comme doctorant à lUniversité de Salamanque)
y para que pueda utilizar todos los medios necesarios para llevar a cabo su
(
et que vous pouviez utiliser tous les médias pour effectuer votre)
trabajo de investigación en nuestra Facultad de Filosofía.
(
travail de recherche dans notre Département/Faculté en Philosophie.)
Una vez matriculado en el Programa de Doctorado, podrá hacer uso de la
(
Une fois inscrit en Programme de Doctorat, vous pourrez faire usage de la)
Biblioteca General y de las Bibliotecas especializadas de los recursos
(
Bibliothèque Générale et des Bibliothèques spécialisées des ressources)
teológicos de investigación de los que dispone nuestra Universidad, con el fin
(
théologiques de recherche disponible à notre Université, à la fin)
de que pueda realizar satisfactoriamente su tesis doctoral.
(
que vous pouviez réaliser satisfaisant votre thèse doctorale.)
Finalmente, quiero expresarle también mi disposición favorable para que la tesis
(
En fin, je veux vous exprimer ma disposition favorable que votre thèse)
pueda llevarse a cabo en colaboración con la Universidad francesa o italiana que
(
puisse à être effectuée en collaboration avec lUniversité française ou italienne que)
Usted prefiera, siendo para ello conveniente la elección de su tutor de tesis.
(vous préfériez, en étant adapté pour le choix de votre directeur de thèse convenant)
Ello permitirá que Usted obtenga, además del título de Doctor por nuestra
(Celui-ci permettra que vous obteniez complètement le titre de Docteur par notre)
Universidad, la acreditación del doctorado europeo.

(
Université, laccréditation du doctorat européen.)
Lo que firmo y sello en Salamanca, a veinte de julio de 2011
(
Ce que je signe et scelle à Salamanque, le vingt juillet 2011)
El director de tesis
(
Le directeur de thèse)
Profesor Doctor Pablo García Castillo
(
Professeur Docteur Pablo García Castillo)
Decano de la Facultad de Filosofía. Universidad de Salamanca.
(Décant/Doyen de la Faculté en Philosophie. Université de Salamanque.)

 

Le SEM oblige à fermer les yeux sur l’évidence que M. le Décan de la Faculté en Philosophie à l’Université de Salamanque n’est pas l’enfant à l’âge de 13 ans pour écrire cette même évaluation de mes études doctorales à Strasbourg afin de rejeter celle immédiatement. Le 20 juillet 2011, Pablo García Castillo accepte ma thèse, car il pense qu’il ne se trouve pas sous la pression du KGB de la mafia mondiale au début du XXIe siècle. Cette même notice du Décan de la Faculté en Philosophie à Salamanque démontre que le SEM trompe, alors que sur le niveau officiel celui-ci affirme que je «figure», selon moi, sur la liste noire…

 

54c - Je m’étais trouvé dans la liste noire et 2), par la coïncidence accidentelle, selon laquelle Frédéric de Buzon et Pablo García Castillo ont imprévisiblement été envoyé aux vacances sabbatiques pour leur soutenance de ma thèse. La mafia leur a interdit de suivre ma thèse par correspondance. 3) Sans tous deux, je pouvais rédiger ma thèse sous la direction de M. Ángel Poncelo González. Il était le plus jeune professeur de la Faculté en Philosophie à l’Université de Salamanque. Pendant 20 ans sans motivation, la persécution de ma personne a été démontrée à travers le message officiel de M. Ángel Poncelo González vers l’École Doctorale à l’Université de Trente. M. Ángel Poncelo González avait souhaité que j’aie rédigé ma cotutelle en espagnol et en italien. De cette même façon, M. Ángel Poncelo González a soutenu la disposition favorable de M. le Décan Pablo García Castillo.

 

 

Mi chiamo il Professore Dottore Don Ángel Poncelo González.
(Je m’appelle le Professeur Docteur M. Ángel Poncelo González.)
Appartengo al dipartamento di Filosofia, Logica e Estetica
(J’appartiens au département de Philosophie, Logique et Esthétique)
dell’Università di Salamanca. Sono direttore di tesi di Alexander
(de l’Université de Salamanque. Je suis directeur de thèse d’Alexander)
Kiriyatskiy sotto il titolo “Nicolò Cusano nel lavoro “Individuo e
(Kiriyatskiy sous le titre “Nicola de Cues dans le travail “Individu et)
cosmo” di Ernst Cassirer e l’origine di quattro carregorie
(cosmos” d’Ernst Cassirer et l’origine de quatre catégories)
filosofiche (mito, logica, lingua e reltà creativa).
Ho accetato
(philosophie (mythe, logique, langue et réalité créative). J’ai accepté
per Don Alexander Kiriyatskiy, la memoria del suo progetto di
(pour M. Alexander Kiriyatskiy, le mémoire de son projet de)
tesi dottorale.
La(thèse doctorale. Sa)
sua matricola dimostra che i suoi diplomi corrispondono
(matriculé démontre que ses diplômes correspondent)
all’esigenza della nostra Università affinché il nostro dottorando
(à l’exigence de notre Université que notre doctorant)
Don Alexander Kiriyatskiy scriva la sua cotutela fra la nostra
(M. Alexander Kiriyatskiy rédige sa cotutelle entre notre)
Università e quella degli studi di Trento.
Sulla base della
(Université et celle des études de Trente. Sur la base de)
petizione dell’interessato, chiedo affinché il S. Professore
(la pétition de l’intéressé, je prie que M. le Professeur)
Dottore Don Giuseppe Beschìn dell’Università degli Studi di
(Docteur M. Giuseppe Beschìn de l’Université des Études de)
Trento accetti il compromisso della nostra cotutela e le
(Trente accepte le compromis de notre cotutelle et les)
obbligationi che si derrivano per la tesi del Don Alexander
(obligations que celles-ci se dérivaient pour la thèse de M. Alexander)
Kiriyatskiy in spagnolo e in italiano. Ugualmente chiedo la Sua
(Kiriyatskiy en espagnol et en italien. Également, je demande votre)
accetazione del progetto di questa tesi in italiano affinché la
(acceptation du projet de cette thèse en italien que la)
cotutela del Don Alexander Kiriyatskiy possa essere accetata
(cotutelle de M. Alevander Kiriyatskiy pouvait être acceptée)
amministrativamente nell’Università di Salamanca.
(administrativement à l’Université de Salamanque.)
Aspettando affinché questa mia domanda ottenga l’effetto per il
(En attendant que cette ma demande obtienne l’effet pour)
nostro dottorando Alexander Kiriyatskiy dedicato la sua tesi
(notre doctorant Alexander Kiriyatskiy consacré sa thèse)
alla filosofia italiana.
(à la philosophie italienne.)
Cordialmente, Don Ángel Poncelo González Professore della
(Cordialement, M. Ángel Poncelo González Professeur de la)
Filosofia teoretica e della sua storia.
(Philosophie théorique de son histoire.)
Aspettiamo l’approvazione della sua tesi per il nostro dipartamento.
(Nous attendons l’approbation de sa thèse par notre département).

Je prie le TAF d’annuler le mensonge du SEM et de reconnaître mon asile politique en Suisse, car sans pression de la mafia M. le Professeur Ángel Poncelo González n’aurait jamais envoyé ce même message de la meilleure Université espagnole à celle meilleure italienne, si ce même professeur n’avait pas examiné positivement ma thèse.


54d – Je prie le TAF de confirmer ma réalité que l’on a refusé mon droit d’écrire ma thèse de doctorat en Europe avant ma demande d’asile en Suisse. Et ici selon ce même refus, pour son désir de suivre ma thèse en 2015, M. le Professeur Christophe Erismann avait quitté l’Université de Lausanne au mois octobre 2016. En 2015 l’a remplacé Gian-Franco Soldati qui a commencé à arriver à Lausanne de Freiburg afin de suivre les cours de M. le Professeur Christophe Erismann.  En Autriche dans trois fois, le salaire de M. Christophe Erismann a devenu plus bas à l’Université de Vienne qu’à celle de Lausanne. Sous la pression israélienne, l’Université de Lausanne ne signera pas le document lié avec ma thèse avant la reconnaissance de mon statut de réfugié en Suisse. Votre pays devra garantir que je ne reviendrai jamais en Israël et je ne présenterai aucune concurrence à la société supérieure de la mafia israélienne

 

 

40a/ En 2017, l’Ecole Pédagogique du Valais a pris l’original de mon MASTER italien et de son supplément afin de confirmer sa validité qui ne correspond pas aux niveaux des diplômes valables pour l’admission en cours pédagogiques de la  Suisse. Pendant l’analyse de mon diplôme de Trente, l’on a perdu celui et son supplément. En Italie, j’ai commandé les copies de tous deux. En 2019, j’ai reçu la nouvelle variante de ce même master sans seau UNIVERSITAS ATE(NEO) à droite. Son Doublon n’a pas la signature du Recteur et n’a pas celle du Président de la faculté, à gauche et au centre de mon diplôme renouvelé. J’ai laissé les copies de mon master qui avait été confirmé par le notaire en 2004.    

Je prie la CNDA de comparer l’original avec le seau rond  UNIVERSITAS ATE et leur absence sur son doublon. Je prie de constater l’absence des deux signatures mentionnées.

 

40b/ Je prie la CNDA de confronter la liste de mes examens du supplément original,  qui a tous les crédits des exigences européennes, et les examens du doublon du nouveau supplément qui n’ont pas les numéros et chiffres de l’original particulièrement. Je vous présente 5 pages plus importantes de l’original

 

 

 

 

 

 

40c/ Je prie la CNDA de confirmer que seules 3 pages du doublon sans information obligatoire ont remplacé 5 pages du supplément original avec l’information nécessaire qui manque sur 3 pages du doublon sans seaux ronds et sans signatures de cette même façon.

 

 

 

 

 

40d/ Toutes mes demandes et prière, de mettre les seaux avec les signatures absentes pour 500 euros, étaient inutiles. Pour 500 euros, l’Université de Trente n’a voulu ni publier les numéros de mes examens sur les pages du supplément, ni mettre les seaux UNIVERSITAS ATE, ni faire les signatures obligatoires sur mon diplôme et sur mon nouveau supplément. En Suisse, j’ai manifesté le doublon sans seaux du diplôme perdu et celui de mes examens sans numéros obligatoire. Je remercie l’Ecole Pédagogique du Valais que non officiellement l’un de ses représentants m’a rendu l’original du supplément de mes examens avec leurs numéros, avec leurs seaux et avec leurs signatures qui manquaient dans mon nouveau doublon du supplément en 2019. En outre, l’on n’a pas pu trouver l’original de mon diplôme qui avait tous trois signatures et le seau UNIVERSITAS ATE. Si j’avais su recevoir le doublon de mon master italien avec le seau mentionné et avec toutes ses trois signatures, j’aurais demandé mon asile en Italie le 4 janvier 2020. Je prie la CNDA de confirmer les mutations illégales du doublon de mon diplôme italien et de son nouveau supplément qui ne sont pas valables sans seaux, sans signatures et sans numéros de me examens. Sans ces mêmes trois aspects, mon MA de Trente perd sa validité en Russie et en Israël. J’ai mon droit d’accepter ces mutations italiennes de mon MA de Trente par leurs persécutions qui m’interdisent de trouver mon travail par mon MA de Trente en dehors de l’Europe en Russie et en Israël.  Sans pression israélienne et américaine en Italie, ces mêmes mutations étranges étaient impossibles et inutiles. Sans copie confirmée par le notaire en 2004 pour ces mêmes mutations en Russie, l’on pouvait me condamner dans la falsification de mon master soutenu par moi le 20 octobre 2004 à l’Université de Trente. L’Italie a annulé la validité de mon MA de Trente par l’absence du seau UNIVERSITAS ATE, par l’absence de la signature du Recteur et de celle du Président de la Faculté. Le nouveau contrat d’amitié entre Israël et l’Europe et mes détentions falsifiées en Allemagne ont obligé l’Italie à me donner les doublons de mon master et de son supplément sans seaux, sans signatures et sans numéros obligatoires de mes examens.

41/ De cette même façon, je prie la CNDA de constater que pour mes détentions falsifiées en Allemagne, M. Frédéric de BUZON et M. Dominique BEYER ont perdu leurs places des directeurs d’équipe en philosophie et en histoire à l’Université de Strasbourg en 2010. De cette même, M. le décan du département en philosophie Pablo García Castillo a été envoyé aux vacances sabbatique pendant l’année académique 2011-2012. Pour les intérêts à ma thèse, M. Cerilo Florez Miguel a été envoyé à la pension en 2011. Le jeune professeur Ángel Poncelo González ne travaille plus à l’Université de Salamanque pour son désir de suivre ma cotutelle en espagnol et en italien. De cette même façon pour le désir de suivre ma thèse à l’Université de Lausanne, M. le Professeur Christoph Erismann a été remplacé par Gian-Franco Soldati en 2015 pour suivre les étudiants de M. Erismann à Lausanne et partout en Suisse. En Autriche dans trois fois, le salaire de M. Christophe Erismann a devenu plus bas à l’Université de Vienne qu’à celle de Lausanne. Je prie la CNDA d’annuler la décision de l’OPFRA qui ne reconnaît pas mes problèmes de santé que j’aurais développés suite à la radioactivité de mon domicile à Perpignan en 2011. Je prie la CNDA de confirmer le fait que mes problèmes de santé ont devenu peu substantiels  seulement en 2015 et depuis 2015 jusqu’à nos jours ne se modifient pas comme ceux de Vladimir Ivanovitch Altoukhov qui n’avait aucun tumeur à Strasbourg. Seulement sur la Place 3 ESPLANADE Edouard LE ROY, M. V. Altoukhov a développé le cancer de son estomac et nombreuses kystes ont apparu dans mon foie. A Perpignan en 2011, l’on a enlevé trois kystes dans mes pieds. Ma kyste sur mon œuf des testicules n’existait pas à Strasbourg en 2011 avant notre déménagement à Perpignan. Regardez les pages 47-49. En 2020, M. Vladimir Altoukhov a peur de louer un seul appartement avec moi que celui-ci ne soit pas radioactif  comme au premier étage des Tour Barrandes sur la la Place 3 ESPLANADE Edouard LE ROY. J’espère que M. V. Altoukhove puisse à vaincre sa crainte et revienne à Perpignan. Seule sa peur a obligé M. Vladimir Ivanovitch Altoukhov de ne pas me laisser son téléphone en dehors de la France, sa nouvelle adresse, son nouveau skype et son e-mail. Je prie la CNDA de me présenter l’asile politique que je ne répte pas le destin horrible de M. Serguei Alexandrovitch Choumilov capitaine de l’énorme bateau russe qui n’a pas reçu l’asile à Strasbourg en 2008. Pour M. le Capitaine Sergueï Alexandrovitch Choumilov / Alexander Kiriyatskiy, le poète

 

Aujourd'hui et en France, Galitch est la bête,

Téléphone au cent quinze, l'on bat mes poètes.

Réfugié, par ton front, un drogué rompt l'assiette,

Mange comme ces français sans raison et sans tête

Ta Russie se rappelle dans mon cœur

Tienne ton sac sous ta main, ce destin nous rejette,

Dors sans pied! Réveilles-toi à six heures

Hors des fêtes!

 

Les bandits volent, nous mentent: ils cessent de sentir

Leur douleur pour quelle drogue! Car obtiennent le plaisir.

L'âme sauvage voudrait tuer l'autre forme pour rire,

Trouve la cause claire afin d'obliger à souffrir,

Un vieillard, requérant de l'asile

Au passé, celui-ci dirigeait son navire

Commercial, voyageait vers les îles

Pour dormir

 

Dans une salle avec ses animaux, dans les nuages,

Qui ne sont plus les hommes, car ils n'ont que leur rage,

Portent l'ère des souffrances dures à tous nos âges.

L'un de ses diables vifs te dévoile son visage.

Il menace notre vieux capitaine

À Strasbourg, l'Homme ne perd pas l'honneur et ses sages,

Où il ne s'abaisse pas jusqu'aux chiens,

En dommage.

 

Toute la nuit avec soi, les ivrognes parlent. Crient,

Et, parfois, ces stupides pissent dans leurs literies.

Au matin, l'on donne la nourriture, l'ordre rit.

À sept heures, l'homme quitte ce bâtiment triste, gris...

Le malade très âgé est à pieds

Tout le jour. Pour cette vie en Europe, c'est son prix.

Dans douze heures, il revient au foyer

De souris.

 

L'on dit qu'il n'est pas le réfugié. Ce statut

Conduit le capitaine aux drogués qui nous tuent.

Dont il prie l'aide trop tard, ce vieillard a perdu

Le printemps, car, il y a vingt ans, il avait dû

Embarquer son bateau à New-York

Et l'asile politique pouvait être vendu.

À l'océan, il rattrape l'os de l'orque

Dépendu.

 

42/ Je prie la CNDA de confirmer que mes œuvres poétiques que je produis, de telles considérations apparaissent relever des cas prévus aux articles L711-1, L712-1 et suivants du Code d l’Entré et du Séjour des Etrangers et du Droit d’Asile en France. Je n’irai jamais en Israël. Ce dernier est le féodal qui avait acheté les russes juifs. Il bat les adolescents et humilie ses enfants par la police des russophobes. Israël n’était jamais mon pays. Je ne suis pas l’un des esclaves de cet Etat Américain sous le titre Israël. Je prie la Cours Nationale des Droits d’Asile d’annuler le refus de l’OFPRA et de confirmer que mes plusieurs documents et mes 60 poèmes épiques en français me permettent d’obtenir mon asile artistique en France.

 

 

Vers cette tente très froide d'une souris / Poésie d'Alexander Kiriyatskiy

 

Un Homme avait, en Sibérie,

Une chambre. Des bandits l'ont pris...

Nos clans russes dictent aux Mairies

Qui doit quitter 

Vite quel appartement gratuit,

Leur propriété?

 

À leurs patrons, l'on ne dit rien.

Auprès du clan, l'Homme est le chien,

Laisse sa maison. Il prend le train,

Va à Moscou,

Où l'on lui ferme ses chemins:

«Comme toi, beaucoup

 

De peuples pauvres prient des droits!

Oublie des journalistes. Crois

À nos journaux, où seuls leurs rois

Sont populaires

Sur chaque Fortune. Mec, c'est pourquoi,

Vis sous ta terre.

 

Ami, avec ton corps très géant

Va vers l'Europe. Là, passe un an,

Au champ trouve le travail comme l'âne

De nombreux genres.

Mec, donne tes pieds aux hauts paysans

Pour te surprendre...»

 

Un peu plus tard, ce Sibérien,

Est le touriste au Jardin

Du Luxembourg, l'Etat du Bien

Quel riche t'invite.

Vers l'Angleterre va son copain,

Par l'or d'Aspide.

 

Dévoile au Russe un beau village,

Des belges pour gagner le stage.

L'Homme ramassait, à son jeune âge,

Comme un glaneur,

Plusieurs maïs, son grand courage

Aime tous les mœurs,

 

 

Avait voulu passer une nuit,

Au champ, où l'œil s'est endormi...

À l'aube, il n'a pas peur des bruits

De son moteur...

Coupait son pied, comme du coq cuit,

L'agriculteur

 

Flamand qui n'a pas arrêté,

Tout de suite, sa machine. Broutait

Dans ce champ, où l'Homme russe goûtait

L'image du ciel.

Ses pantalons étaient jetés

Dans les poubelles

 

Comme les morceaux de son passeport

Sanglant. À l'hôpital, son corps

Passait deux jours, car un loup fort

D'un ministère

Criait que l'Homme aura la mort

Dans cet enfer,

 

Comme les malades "Mentaux". Leurs murs

Ont rappelé toutes les blessures.

Ce diable de la Préfecture,

Qui parle russe,

Lui a menti que son futur

Lui donne des puces.

 

Il expliquait: «Mec, ta gangrène

Infectera, par toutes les veines,

Ton sang et tu voudras tes chaines

Qui sont bien mieux

Que ta mort lente des hyènes,

Verras ton Dieu!»

 

Nombreux journaux ont publié

Cinq phrases que ce sang était lié

Avec l'homme qui avait brûlé

Toute sa conscience,

Qu'il ne pouvait bien calculer

Aucune distance

 

 

 

 

Entre l'esprit malade mental

Et leurs hommes qui ont vu ce mal,

Que ce blessé est l'animal.

L'on l'avait su,

Mais l'a fermé dans l'hôpital

Des aperçus,

 

D'où l'Homme sans pied s'est réfugié

Un jour plus tard, car il neigeait.

Aux journalistes, il bougeait

Par son jaune pus.

Sa jambe bleue fait opérer

Ce pied rompu.

 

Au Nouvel An, l'arme l'a fait

Quitter cet hôpital d'un prêt,

L'Homme sans prothèse a immigré

Dans le Pays-Bas.

À Amsterdam, malgré son gré,

L'ordre le bat,

 

A fait tomber sur son plancher,

Dans sa prison pour lui cacher

Toutes nos fiertés. Dans leurs clichés,

Montrait ces grèves

Sur l'invalide. Mais il cherchait

Les fruits des rêves.

 

Lorsqu'il arrive en Allemagne,

Sans cause, son existence gagne

Ce même carcel. L'on coule ce sang

À Offenburg.

Sans noire peur, l'homme s'approche des bagnes

Seul à Strasbourg.

 

Sous un chemin se trouve sa tente,

Grace à ce rare bonheur, l'âme chante.

Aux pauvretés très différentes

L'on aide en France,

Où seules les Muses, qui sont brillantes,

N'ont aucune danse.