N de courrier: S E U – 0 1 1 0
0 1 – 00 – 2 0 1 0 1 6 / Le 16.VI.2021, ce
recours a été rejeté https://www.m310014.uqam.ca/refusN4.pdf - https://www.m310014.uqam.ca/refusN4.htm
mon N du dossier: 20 – 01 – 06
6 08 – E U – E Y T A :
https://www.m310014.uqam.ca/RECOURS2020.pdf/
https://www.m310014.uqam.ca/RECOURS2020.htm
A la Cour Nationale des Droits
d’asile en France d’Alexander Vadimovitch KIRIYATSKIY citoyen d’Israël, avec sa
nationalité russe et non hébraïque, par l’adresse: Alexander KIRIYATSKIY, CHEZ
SPADAR N 36241, 1 RUE ERNST HEMINGWAY, 66100 PERPIGNAN.
https://www.m310014.uqam.ca/ASILE-USB.htm
Recours qui demande
d’annuler la DECISION DE REJET D’UNE DEMANDE D’ASILE POLITIQUE ET
ARISTIQUE.
Alexander Kiriyatskiy: Sans nombreuses masques
Que mon peuple était // contre son grand pays,
L’Amérique démontrait // que les jours sont nos
nuits,
Affirmais que l’idée // des communes c’est le
bruit.
Son Europe l’invitait, // car l'on n’a pas détruit
Mon État concourant. // Pour lui rompre le dos,
Tous de nos ennemis // ont reçu leurs cadeaux
Par plusieurs prix Nobel // qui faisaient très
prudes aux
Mots des vers qui ne coûtent, // aujourd’hui qu’un
verre d’eau
Et donnaient les travaux // des meilleurs
professeurs
Aux stupides soviétiques // qui n’avaient nul
saveur
Par beaucoup d'ans non plains // aux écoles de
soudeur:
Pour leur faire des armées // contre l’île du
bonheur.
Qui n’avait aucune languE, // sauf le russe, était
lié
Aux plus hautes sociétés, // où habitent aux
palais,
Car ils ont obligé // la Russie à aller
Vers l’abîme de l’enfer. // À l’Europe, ce pas
plaît.
Il n’y a plus mon Union // qui pouvait contredire
Aux Rois illuminés // par le Cosme bien pire,
Au diamant de la dure // hiérarchie en plaisir
Du contrôle sur chaque âme // et du gris souvenir.
1/ Je prie la CNDA de
confirmer que mes œuvres poétiques que je produis, de telles
considérations apparaissent relever des cas prévus aux articles L711-1, L712-1
et suivants du Code d l’Entré et du Séjour des Etrangers et du Droit d’Asile en
France, car en français mes 60 poèmes tragiques illustrent mes souffrances
pendant 21 ans et 5 mois, pour ma nationalité russe qui a ma citoyenneté
israélienne du goï russe. Je prie la CNDA que CELLE-CI se retire du traité
d’amitié entre Israël et l’Europe selon l’interdiction européenne de présenter
l’asile politique aux israéliens malgré plusieurs persécutions de ces derniers
sur le territoire d’Israël et sur celui d’Europe sous la pression israélienne.
Je ne suis pas l’un des esclaves de l’Etat Américain sous le titre Israël. Je
prie la Cours Nationale des Droits d’Asile d’annuler le refus de l’OFPRA et de
confirmer que les documents présentés dans ce même dossier et mes 60 poèmes en
français me permettent d’obtenir mon asile artistique en France. Alors que les
extrémistes islamiques terrorisent l’Europe et le Canada, tous deux veulent
limiter la quantité des ses refugiés reconnus et commencent à rejeter seuls les
requérants russes comme moi, malgré le fait que nous ne sommes pas circoncis.
50 pour cent des israéliens russes ne sont pas circoncis comme moi et ne sont
liés ni avec le judaïsme, ni avec l’islam. Depuis 1989 jusqu’à 2020 les demandeurs
d’asile, qui ressemblent les statues antiques, reçoivent les refus en Europe et
au Canada pour leurs prépuces longs, quasiment toujours. La France est le
quatrième pays de ma demande d’asile. En 2004 la
première fois, j’ai demandé l’asile au Canada. En 2004 pour obtenir l’asile là,
les requérants d’asile devaient payer la concussion en volume de vingt mil
dollars canadien à travers plusieurs avocats comme Madame Venturelli. En 2005,
le prix d’asile québécois a commencé à coûter cinquante mil dollars. Mon désir
de manifester cette même information à tout le monde m’a aidé à de recevoir mon
site à l’Université du Québec à Montréal https://www.m310014.uqam.ca/apropos.htm Mon site québécois avait l’autre adresse qui
s’est modifiée le 9 juin 2018.
2 / Depuis 2006
jusqu’à 2012, j’avis peur de recevoir la réponse négative à ma demande d’asile
en France comme je l’avais reçu au Canada sans permis de démontrer la vérité au
ministère de la citoyenneté et aux journalistes au Québec en 2005 et en 2006.
L’absence de mon passeport, mes tumeurs de kystes et le cancer de M. Altoukhov
m’ont obligé à demander l’asile en Suisse, la deuxième fois. La Suisse rejette
toutes les demandes d’asile pendant une année. Depuis le 4 janvier 2012
jusqu’au 26 juin 2019, je recevais 480 euros par mois comme le requérant et
recourant d’asile en Suisse. Là, je n’étais pas totalement rejeté pendant 7 ans
et demi, car depuis le 5 janviers 2009 jusqu’au mois de juin 2019, l’Allemande
devait payer son amende en volume de 730 000 euros pour mes détensions
figuratives l 5.01.2009 et au mois de juin 2009. La Suisse voulait mettre mon
argent en volume de 730 000 euros sur mon compte courant de l’une de ses
banques.
3/ Au mois de
juillet 2019, la Russie était le troisième pays, à l’ambassade duquel à Berne,
j’ai demandé l’asile. L’absence de mon passeport israélien m’interdit de
traverser les frontières de la Russie. Cette dernière est le pays de mon
origine et de ma nationalité russe depuis ma naissance en URSS qui s’est datée
le 11 mai 1970. Après ma traduction française de la réponse de l’ambassade
russe, je vous présente son texte original. C’était mon troisième refus qui a
la signature du Chef du département consulaire de la Fédération de la Russie en
Suisse.
4/ Je prie la CNDA de confirmer
l’ordre que si la France était le troisième pays de ma demande d’asile, votre
Cout Nationale du Droit d’asile aurait tous vos droits d’accepter ce même
recours de ma quatrième demande d’asile depuis 2004. Les pages suivantes de ce
dossier décrivent les erreurs de chaque proposition du refus l’OFPRA à
travers mon analyse directe de deux pages de sa réponse négative.
5/ Pendant mon audience à l’OFPRA
le 7 octobre 2020, je croyais que CELUI-CI avait lu attentivement tous mes
dossiers et avait regardé tous mes 117 documents juridiques. J’ai
présenté ces derniers à l’OFPRA dans mes trois recours en Suisse. A mes regrets
comme le SEM à Berne, l’OFPFRA avait dissimulé les persécutions de ma personne
en Israël et les demandes israéliennes de me persécuter au Canada de 2004 à
2006, en France de 2006 à 2012 (pp. de ce même recours 16-33, 37-40 et
45-52, 63-69), en Allemagne en 2010, où je n’habitais jamais (pp 6-8,
9-10), en Espagne en 2011 (pp. 94-98), en Suisse de 2012 à
2019 (pp. 8-9, 12-16 et 53-60, 93) et en Italie de 2017 à 2019 (pp.
98-108). L’OFPRA a dissimilé l’information essentiel de mes trois
recours en Suisse. Je prie la CNDA de confirmer que, comme la Suisse,
Israël peut attribuer l’antisémitisme à ma voix afin de me fermer dans les
prisons. Là, l’on me tuera que je ne puisse pas à développer la musique de mon
grand-père juif. Ma détention israélienne me menace sur le territoire de l’un
des Etats Américains, sous le titre d’Israël. Le 7 octobre 2020, mon audience à
L’OFPRA a ignoré l’explication de mon Recours à Saint-Gall, daté le 20
février 2019. L’OPFRA a masqué le fait qui avait été déclaré sur les
pages 9 et 10 du paragraphe 14 du même recours au TAF, (14 -) le SEM n’a pas accepté que j’habitais en Israël seulement
depuis le 20 mais 1999 jusqu’au mois d’octobre 2002. Sur la page 3, les
dernières phrases du premier paragraphe confirment leur ignorance de toutes mes
réponses. Comme en 2002, de 1999 à 2002 partout en Israël, j’étais toujours
licencié au septième jour sur toutes les places de mon travail physique sans
qualification. Il y a 17 ans, j’avais ma puissance physique pour faire ce même
travail. Partout, l’on m’avait licencié en Israël que je ne pouvais pas payer aux
musiciens pour leurs jeux de la musique symphonique de mon grand père Benjamin
(Veniamïn) Khaèt, le compositeur russe juif. La musique de mon grand père
présente la concurrence à la mafia israélienne et américaine. Le SEM avait
rejeté cette même explication et ne l’a pas introduit dans son texte allemand.
De cette même façon, le SEM a ignoré le résultat de mon logement dans
l’appartement dangereux à Perpignan en 2011. J’ai déclaré que depuis 2012 les
douleurs de mon dos ne me permettent pas de travailler physiquement comme avant
2011. En 2015 et en 2018, je vous ai envoyé les textes de mes poèmes publiés en
«youtube». Leurs sujets 10 n’avaient aucune «reprise» des propos «antisémites».
90 pour cent de mes affirmations manquent dans la nouvelle décision du SEM. Sa
traduction allemande n’a aucune connexion avec mes réponses ignorées. Mais je
les ai prononcées le 7 août 2018. Comme en 2015, sur la page 3, les phrases
finales du premier paragraphe de cette même interprétation trompent: Vous
auriez par ailleurs tenu à plusieurs reprises des propos antisémites en
récitant vos propres poèmes. En 2015 et en 2018, j’avais envoyé au TAF ces
mêmes trois poèmes afin de démontrer que ces poèmes n’ont aucun rapport avec
l’antisémitisme. Le 9 mai 2018, votre Tribunal Administratif a annulé la
décision du SEM selon cette même affirmation. Le SEM n’avait pas accepté l’idée
essentielle de mes déclarations et j’ai souhaité enregistrer notre discours en
vidéo afin de démonter: pour quelle motivation: le 7 août 2018 le SEM continue
à répéter ses erreurs antérieures qui étaient rejetées par le Tribunal
Administratif le 9 mai 2018?
6/ De cette même façon, l’OFPRA n’a
pas déclaré que la Suisse a été le deuxième pays, où j’ai demandé l’asile.
L’OFPRA a fermé les yeux sur le fait que le premier pays de ma demande d’asile
était le Canada. Ce dernier est bien plus totalitaire que l’Etats Américain
d’Israël. En Israël, la confirmation canadienne de mon deuxième cycle
universitaire n’est que la poubelle sans protection oligarchique.
7a/ En 2002 j’ai quitté Israël, car
ce dernier m’avait interdit de travailler par l’ouvrier sans qualification
légalement sur son territoire. Depuis 1999 jusqu’à 2008 et depuis 2010 jusqu’à
nos jours, j’étais illégal sur le territoire israélien bien pire que j’étais
illégal en France, alors que j’ai étudié à l’Université de Strasbourg à l’Ecole
Doctorale depuis 2007 jusqu’à 2010. L’OPFRA a dissimulé mes trois années
académiques du doctorant. Sur la page 10 le paragraphe 15, mon Recours à
Saint-Gall, daté le 20 février 2019.
7b/ Particulièrement, l’OFPRA a
ignoré la réalité que j’ai exécuté toutes les exigences doctorales pour
soutenir ma thèse afin de quitter l’Europe en 2011 avec mon diplôme de Docteur
en philosophie. J’étais d’accord avec ma vie dans la rue, car j’avais mon droit
de travailler légalement pendant chaque jour en 2008 et en 2009 en Israël.
L’OFPRA trompe, alors que CELLE-CI affirme que mais également en Allemagne,
où il a rencontré des problèmes avec l’autorité. Je n’habitais jamais en
Allemagne, car je ne sais pas sa langue. Je ne voulais jamais rester ni en
Allemagne, ni en Angleterre. Je me servais de l’aéroport allemand afin
d’arriver à Strasbourg plus beau marché pendant mes études à l’Ecole Doctorale
à l’Université de Strasbourg. L’OFPRA n’a pas lu le paragraphe 19 sur la
page 11 du recours mentionné. Je n’avais aucun conflit avec l’autorité
allemande. En 2010 cette dernière m’a aidé. En Allemagne dans la voix du
policier russe, cette autorité m’avait donné l’adresse de mes détentions
falsifiées le 5 janvier 2009 et au mois de juin 2009.
Je prie la CNDA de confirmer que, sans pression
israélienne et américaine, l’Allemagne n’avait aucune motivation de m’attribuer
mes détentions sur son territoire, alors je ne trouver en Israël et
physiquement je ne pouvais pas être détenu en Allemagne. Sur la page 93,
le seau de sa douane de Frankfort le démontre le 05.09.09.
8a/ L’OFPRA ferme les yeux sur le
fait que la police allemande m’a expliqué que, pour cette même
falsification, l’Allemagne devait me payer l’amende en volume de 730 000
euros pendant dix ans jusqu’au mois de juin 2019. L’OPFRA a dissimulé la
première page de mon Recours à Saint-Gall qui avait été daté le 6 avril 2016.
L’OPFRA a masqué le fait que le Tribunal Administratif de Saint-Gall a soutenu
mon recours le 9 mai 2018, car avant le 26 juin 2019 j’avais mon droit de
recevoir l’amende allemande en volume de 730 000 euros. La Suisse voulait
que j’ais mis ces mêmes 730 000 euros dans quelque banque suisse. C’était
l’unique motivation pour laquelle, le Tribunal Administratif de Saint-Gall ne
m’a pas donné son refus totale en 2013, une année plus tard après ma demande
d’asile en Suisse le 4 janvier 2012.
8b/ Sur la 4e page de la Réponse
du TAF à ce même recours le 25.10.2019, j’ai déclaré que j’avais analysé 117 erreurs concrètes du SEM sur 126
pages qui ont objectivement analysé le refus du SEM daté le 18 mars 2019. Ces
mêmes illustrations des 117 lapsus devaient obliger M. le juge William Waeber à
annuler la réponse du SEM comme le TAF l’avait fait le 9 mai 2018. En outre en 2019, M. le
juge William Waeber n’a pas lu ma nouvelle analyse datée le 8.04.2019. Je n’avais pas signé les documents du SEM qui voulaient
m’attribuer l’antisémitisme. Je vous prie de confronter la traduction allemande
de mes réponses et l’antisémitisme qui a été attribué à moi le 18 mars 2019
comme le 20 février 2015. Le 7 août 2018, je n’ai rien dit contre Israël et
contre les juifs. M. le juge William Waeber n’a pas lu mon recours qui avait
démontré par plusieurs faits que je n’étais jamais antisémite.
8c/ Sur les 7 et 8 de la Réponse
du TAF à ce même recours le 25.10.2019 j’affirme que mon recours rejeté par ce même Tribunal Administratif était lié avec
le 26 juin 2019, alors que 10 ans ont passé après ma détention falsifiée en
Allemagne au mois juin 2009. Je me trouvais en Israël depuis le 30.04.2009
jusqu'au 5 septembre 2009 et je ne pouvais pas me trouver en Allemagne et en
Israël en même temps aux mois de juin 2009. Déjà depuis le 26 juin 2019, l'Allemagne
ne doit pas me payer 730 000 euros pour son action criminelle contre moi. Cette
même coïncidence des dates m’oblige à supposer que jusqu’au 21 juin 2019, la
Suisse attendait que devait passer dix ans après cette même détention
falsifiée, j’avais perdu 7 ans et 7 mois sans permis d’étudier en Suisse et
sans permis de travailler par ma qualification du doctorant de la dernière
année universitaire. Je ne peux pas croire que la Suisse m’oblige à quitter son
territoire non plus tôt que ces mêmes 10 ans aient dû passer après cette même
détention falsifiée de ma personne au mois de juin 2009 en Allemagne.
8d/ Sur les pages 16 et 17 je
dévoile que M. le juge William Waeber affirme qu’en Israël son (mon)
diplôme d’Ouzbékistan n’aurait pas été reconnu et il (mon Master de Tachkent)
m’aurait interdit de travailler… 3b - M. le juge William Waeber n’a pas
peur d’affirmer de ma voix que «les diplômes d’Alexander Kiriyatskiy
obtenus en Ouzbekistan n’auraient pas été reconnus ». Mon diplôme
est reconnu par le master israélien du 2e cycle complété en Israël. En
outre, M. le juge n’a pas lu que le pays Israël m’a interdit de faire tout, de
m’occuper des travaux sans qualification de ces mêmes faits racontent les
paragraphes 109e, 109f, 110, 111 sur la page 106 et sur celle 107 de mon
recours. Comme en Afrique en non en Asie, M. le juge William Waeber n’a pas
lu la plupart de mon dossier. De cette même façon, mon payement en volume
de 750 francs présuppose sa lecture obligatoire de mes paragraphes 73b, 73c,
74a, 74b, 74c, 74d, 74e , 74f, 74g, 74h, 74i, 74j, 75, 76a, 76b sur les 47-63. Ces
mêmes 16 pages de mon recours ont été consacré à la reconnaissance israélienne
et suisse de mon seul diplôme (et non plus) d’Ouzbékistan et à l’absence de
cette même reconnaissance israélienne et suisse de mon master à l’Université de
Trente (Trento) qui occupe la deuxième place parmi 20 meilleures universités
italiennes.
8e/ Je prie la CNDA de confirmer que
42 paragraphes de la Réponse du TAF à ce même recours le 25.10.2019
illustrent 42 lapsus de M. le juge William Waeber. Ses affirmations absurdes
démontrent qu’il n’ouvrait jamais mon dossier. Seule ma possibilité de recevoir
730 000 euros aurait obligé M. le juge William Waeber à admettre mon recours
précédent le 9 mai 2018, si ce même Monsieur le juge n’avait rien lu de mes
dossiers ni en 2015, ni en 2018, ni en 2019 ???? En 2019 M. le juge
William Waeber n’était pas informé que 16 pages de mon recours, daté en 2017, ont été consacré à la reconnaissance
israélienne et suisse de mon seul diplôme (et non plus) d’Ouzbékistan et à
l’absence de cette même reconnaissance israélienne et suisse de mon master à
l’Université de Trente (Trento) qui occupe la deuxième place parmi 20
meilleures universités italiennes selon leurs ratings .
9a/ L’OFPRA trompe, alors que
celle-ci déclare mais également en Allemagne, où il a rencontré des
problèmes avec l’autorité, car le paragraphe 5 du recours mentionné
illustre information suivante:
5) Mes 75 documents sur 200
pages, regroupés dans mes 3 dossiers, confirment mes persécutions en France, en
Allemagne et en Espagne. Ces 75 documents sont substitués par 11 documents sans
importance sur le plan juridique à travers la Décision d’Asile N572 092
Kop N de pers. 173 245 47 de SEM. Là, mes
documents confirment pour quelle raison la condamnation de mort me menace pour
mes propos révoltés contre les mafias juives. Ces documents illustrent pourquoi
Israël me persécutait sur son territoire, au Canada et en Europe de 1999
à 2011. L’auteur de La Décision
d’Asile N572 093 Kop N de pers. 173 245 47 du
Secrétariat d’Etat aux migrations n’a rien lu de mes dossiers,
car en 2009 je n’étais jamais arrêté en France et j’ai
fini ma 2e année académique sans aucune pression de la
Préfecture d’Alsace en 2009. J’attire l’attention de votre tribunal
de recours sur le fait que depuis le 8 mais 2008 jusqu’au 31 janvier 2009 je me
trouvé en Israël. Mon document bleu d’Israël démontre que je suis revenu en
France le 31 janviers 2009 et, physiquement, je ne pouvais pas être arrêté en
France par mon arrêt du 5 janvier 2009 du Tribunal
administratif fédéral TAF, E-3767/2006, 4. 1), car le 5 janvier 2009
je me trouvais en Israël, alors que j’avais le droit sur mon travail officiel
en Israël pendant toute l’année 2009. J’affirme le fait qu’avant le 2 février
2009, je n’étais pas encore admis en 2e année académique de mon
Ecole Doctoral à l’Université de Strasbourg. Le fin de la page 3 cette Décision
n’est que le mensonge qui ment et humilie l’honneur du SEM à travers
l’affirmation suivante: L’évaluation de la vraisemblance consiste
et une évaluation globale de tous les éléments (concordance des faits
principaux, fondement et plausibilité des indications crédible de la personne,
etc.) plaidant ou non en faveur du requérant. Les faits allégués ne sont
vraisemblable que si les éléments positifs l’emportent. Ils ne le sont donc pas
si la teneur des allégations est certes possibles, mais que des détails essentiels
et prépondérant dans l’appréciation des aspects s’apposent auxdits faits (cf.
arrêt du 5 janvier 2009 du Tribunal administratif fédéral TAF,
E-3767/2006, 4. 1). J’ai souligné la date de mon retour en Israël le
08.05.2008 et la date de mon départ d’Israël le 31.01.2009 qui confirme le
mensonge lié avec mon arrêt du 5 janvier 2009 d’aucun Tribunal
administratif fédéral TAF, E-3767/2006, 4. 1. Si ce même tribunal
administratif TAF, E-3767/2006, 4. 1 dénonce comme auteur d’un crime ou
d’un délit ma personne que ce même cf. arrêt du 5 janvier 2009 du
Tribunal administratif TAF, E-3767/2006, 4. 1 sait innocente, ce même cf. arrêt
du 5 janvier 2009 du Tribunal administratif TAF, E-3767/2006, 4. 1 rend
coupable de dénonciation calomnieuse au sens de l’art. 303 CP, punissable d’une
peine privative de la liberté de ce même
Tribunal administratif TAF, E-3767/2006, 4. 1 jusqu’à 20
ans ou d’une peine pécuniaire depuis 2009 jusqu’à 2015. Si ce même cf.
arrêt du 5 janvier 2009 du Tribunal administratif TAF, E-3767/2006, 4. 1
dénonce une infraction qu’il sait que le 5 janvier 2009, moi, Alexander Kiriyatskiy, je me trouvais en Israël et n’avais pas été
commis, ce même cf. arrêt du 5 janvier 2009 du Tribunal administratif TAF,
E-3767/2006, 4. 1 se rend coupable d'induction de la justice en erreur
au sens de l’article 304 CP, punie par une peine privative de sa liberté
privilégiée jusqu’à 3 ans ou une pécuniaire. Si ce même cf. arrêt du 5
janvier 2009 du Tribunal administratif TAF, E-3767/2006, 4. 1 me
soustrayait à ma poursuite pénale ou à l’exécution de ma peine pour
"mon arrêt" du 5 janvier 2009 au sens de l'art. 305 CP, alors que je
me trouvais en Israël, ce Tribunal administratif TAF, E-3767/2006, 4. 1 punie
par une peine privative de sa liberté privilégiée jusqu’à 3 ans ou une
pécuniaire.
9b/ L’OFPRA a dissimulé mon
document suivant qui démontre que depuis le
8 mais 2008 jusqu’au 31 janvier 2009 je me trouvé en Israël. Mon document bleu
d’Israël démontre que je suis revenu en France le 31 janviers 2009 et, physiquement,
je ne pouvais pas être arrêté en France par mon arrêt du 5 janvier 2009
du Tribunal administratif fédéral TAF, E-3767/2006, 4. 1), car
le 5 janvier 2009 je me trouvais en Israël, alors que j’avais le droit sur mon
travail officiel en Israël pendant toute l’année 2009.
10/ L’OPFRA a menti que j’ai soutenu
mon Master deux à l’Université du Québec à Montréal, car cette dernière n’est
pas la meilleure université québécoise. En 2006 au Canada, l’UQAM m’a aidé à
confirmer mon MASTER DEUX italien. En 2004 à Trente, j’ai soutenu la
Maîtrise du deuxième cycle complétée à la deuxième université en Italie par son
rating. Si les Etats-Unis me m’avaient pas persécuté depuis 1999 jusqu’à nos
jours, j’aurais trouvé plusieurs travaux israéliens et canadiens sur la base de
mes masters de la meilleure université italienne et sur celle de mon master
qui été confirmé au Québec.
11/ L’OFPRA a ignoré pour quelle
motivation financière en Suisse, où ma demande d’asile a fait
l’objet d’un rejet après sept ans de résidence sur le territoire,… Si
depuis le mois de juin 2009 jusqu’au 26 juin 2019 l’Allemande ne devait pas me
payer l’amende en volume de sept cent trente mil euros, ma demande
d’asile aurait fait l’objet d’un rejet après UN
an de ma résidence sur le territoire de la Suisse et
ne serait jamais admis le 9 mai 2018, il y a 6 ans et demi après ma demande
d’asile en Suisse.
12/ Ce même document de ma résidence
en Suisse démontre que l’OPFRA a remplacé huit ans sans deux semaines de ma
carte de séjours en Suisse par sept ans de mon logement en Suisse le 4.01.2019,
alors que j’étais le recourant d’asile qui n’avait pas le refus, car encore
n’ont pas passé 10 après ma deuxième détention falsifiée en Allemagne au mois
de juin 2009. Depuis le 4.01.2012 jusqu’au 21.12.2019 ont passé 8 ans sans deux
semaine. Ce temps est bien plus long que les processus de tous les autres refus
d’asile en Suisse qui sont entrés à la plupart de leurs requérants pendant une
année.
13/ Deux détentions falsifiées
obligeait l’Allemagne à me payer 730 000 euros jusqu’au 26 juin 2019, car
celles-ci m’ont interdit de soutenir ma thèse à l’Université de Strasbourg, à
Celle de Salamanque et à Celle de Lausanne. L’OFPRA a dissimulé les paragraphes
54-b, 54-c, 54-d et 55 sur les pages 28, 29, 30, 31, 32, 33 de mon Recours
au Tribunal administratif fédéral TAF, case postale, 9023 Saint-Gall
d’Alexander Vadimovitch KIRIYATSKIY le 8.04.2019. Par 10 documents
juridiques sur les pages 93-97, de ce même dossier, votre recours peut
démontrer et confirmer que ces deux falsifications criminelles contre moi en
Allemagne m’ont interdit de soutenir ma thèse à l’Université de Strasbourg, à
Celle de Salamanque et à Celle de Lausanne. Les pages 98-107 de ce recours à la
CNDA démontrent que l’action allemande contre moi en 2010 m’interdit de
recevoir la copie correcte de mon MA italien et de son supplément en Italie
depuis 2017 jusqu’à 2019. Je prie la Cour Nationale du Droit d’asile (CNDA)
de lire attentivement chaque page de tout mon recours, car le français est
votre langue maternelle. La Suisse croyait que je pouvais prendre mes
730 000 euros de l’Allemagne afin de mettre ceux sur ses comptes
bancaires. C’était l’unique raison pour laquelle le Tribunal Administratif de
Saint-Gall a admis ma requête le 9 mai 2018 sans sa lecture. En outre le 26
juin 2019, le TAF a rejeté ce même dossier non modifié, car depuis le mois de
juin 2019, 10 ans avait passé et l’Allemagne a cessé de devoir me payer son
amende. Les premiers deux pages du dernier recours s’appuyaient sur l’ordre
concret:
14/ Je prie le monde de lire,
attentivement, mon analyse de cette même décision négative qui a été
datée le 18 mars 2019 et a devenu celle suivante après la
première décision antérieure du SEM .
15c/ Pour dissimuler le fait que j’ai
passé tous les épreuves aux examens de la 1re session du semestre 3 en Décembre
2006 et Janvier 2007. L’Université d’Amiens n’a reconnu ni mon master de la
meilleure université italienne, ni mon master québécois pour l’amitié français
et celle américaine/israélienne. C’est la raison pour laquelle, j’ai reçu la
carte de séjour d’étudient en France pour l’année académique 2006-2007. C’était
le résultat de la collaboration d’amitié entre la Picardie et Israël. Au
contraire, alors que mon master italien avait était accepté à l’Université Marc
Bloch à Strasbourg et l’Equipe d’accueil m’avait validé, conformément aux
modalités de validation fixée par le conseil de l’Ecole Doctorale, Israël a
obligé la France a annuler ma carte de séjours d’étudiant pour me fermer dans
la prison à Strasbourg en 2008 et en 2010, car pendant 3 années académiques
j’étudiais à l’Ecole Doctorale illégalement.
16a/ En 2007 à Amiens, je devais
soutenir mon mémoire sous le titre «GUILLAUME IX DUC D'AQUITAINE (1071-1127):
LES INFLUENCES SUR SES POEMES ET SES INFLUENCES» parmi les autres
étudiants qui n’ont pas traduit sa poésie en français depuis 1127 jusqu’à 2006
pendant 879 ans. Mes propres traductions de ce même troubadour avaient été
utilisées en Wikpedia
16b/ Je prie la CNDA d’accepter le
fait que l’OFPRA a dissimulé le fait qu’en 2007 pour mes propres traductions en
Youtube et pour l’utilisation de mes traductions mentionnées en Wikpedia,
l’Université de Picardie m’a fermé dans l’hôpital psychiatrique que je devais
téléphoner au consulat d’Israël et demander son aide afin d’obtenir ma
liberté.
En 2018 en Suisse, j’ai reçu le certificat du
psychiatre fameux que je n’ai aucune maladie psychique. Je prie la CNDA de
confirmer sa validité.
16c / Je prie la CNDA de lire,
obligatoirement, les paragraphes 21 et 22 sur les pages 14, 15, 16, 17 et
18 de mon Recours au Tribunal administratif fédéral TAF, case postale, 9023
Saint-Gall d’Alexander Vadimovitch KIRIYATSKIY le 8.04.2019. Le 7
octobre 2020, je voulais oublier mes souffrances en 2007 qui étaient liées avec
la jalousie et avec son évaluation agressive de mes traductions poétique de 10
poèmes de Guillaume IX duc d’Aquitaine comme celle suivante:
Guillaume IX d'Aquitaine et de Poitiers la VIIe
chanson
en occitan et en français
dans la traduction poétique
d'Alexander Kiriyatskiy
VII - Pus vezem de novelh florir
Pus vezem de novelh florir
Pratz e vergiers reverdezir,
Rius e fontanas esclarzir
Auras e vens,
Ben deu quascus lo joy jauzir
Don es jauzens.
VII - Car nous voyons, de nouveau, fleurir
Car nous voyons, de nouveau, fleurir
Votre verger des prés verdir
Que les fontaines fassent leur plaisir,
Souffle le vent
Que la joie lui soit départie
Plus doucement.
D'Amor non dey dire mas be.
Quar no n'ai ni petit ni re?
Quar ben leu plus no m'en cove;
Pero leunens
Dona gran joy qui be'n mante
Los aizimens.
Dis bien d'Amour, et je le loue
Pourquoi je n'ai ni peu ni prou?
Puis je le chante, cave le trou
Que ma belle joie
Nous soit donné, plus aisément,
L'être des lois.
A totz jorns m'es pres enaissi
Qu'anc d'àquo qu'àmiey no jauzi,
Ni o faray ni anc no fi.
Qu'az esciens
Fas mantas res que 'l cor me di:
"Tot es niens."
Toujours je la destine ainsi
De ce que j'aime est-ce que je jouis?
Je ne fais rien puisque je fis
Comprendre très bien
Que la conscience du cœur dit:
"Qu'on n'attend rien."
Per tal n'ai meyns de bon saber
Quar vuelh so que no puesc aver,
E si l reproviers me ditz ver
Certanamens:
"A bon coatge bon poder,
Qui's ben suffrens."
Je n'ai pas mes joies de savoir
Que je n'ai nul amour chaque soir
Le vrai proverbe me fait croire
A toutes nos chances,
Au bon courage du beau pouvoir
Des belles souffrances.
Ja no sera nuils hom ben fis
Contr' Amor si non l'es aclis,
Et als estranhs et als vezis
Non es consens,
Et a totz sels d'aicels aizis
Obediens.
Le serviteur soit plus parfait,
Lorsque l'Amour lui se soumet
Que le voisin comme l'étranger
Ait sa conscience
Très attentive aux femmes aimées,
Sans différences.
Obediensa deu portar
A motas gens qui vol amar,
E coven li que sapcha far
Faigz avinens,
E que's gart en cort de parlar
Vilanamens.
Cette attention doit apporter
Les mots des gens aux volontés
Des cours qu'on sache, alors qu'on fait
L'événement
Que les vilains gardent, d'hurler,
Les mots criants.
Del vers vos dig que mais en vau
Qui ben l'enten ni plus l'esgau,
Que'l mot son fag tug per egau
Comonalmens,
E 'l sonet, qu'ieu mezei me 'n lau,
Bos e valens.
Le vers chantait, celui en vaut
Entend la mélodie des mots,
Que les plaisirs, couplets égaux,
Fassent la mesure
L'éloge est vante sans sons beaux
Des chanteurs sûrs.
A Narbona, mas ieu no 'i vau
Sia'l presens
Mos vers, e vuelh que d'aquest lau'
M sia guirens.
Et qu'à Narbonne, je n'y vais pas,
Soit désiré
Mon vers, que mon éloge là-bas
Me soit gardé.
Mon Esteve, mas ieu no 'i vau
Sia'l presens
Mos vers, e vuelh que d'aquest lau
Sia guirens.
Mon cher Esthète, mais puisque d' où
Soit présenté
Mon vers, que mon désir te loue
Me soit gardé.
16d/ L’OPFRA a dissimulé mes études à
Amiens à cause de ma première requête en Suisse qui avait été admis par le
Tribunal Administratif de Saint-Gall en 2018:
22 - Je
remercie le SEM pour sa reconnaissance que cependant, le psychiatre de cet
hôpital a confirmé que je suis normal. En outre, sa peur de la vérité a ignoré
mes tourments en France comme au pays du troisième monde. 3) Les différentes
provocations et les menaces de brûler mon cerveau: Le 22 janvier 2007 une dame
du service social de l'Université a dit qu'on m'avait trouvé une chambre vide
dans la résidence et que l'Université payait mon logement. Elle m'a fait
prendre dans sa voiture, m'a conduit non à la résidence mais à l'hôpital psychiatrique
et là m'a laissé pour désinfecter mon corps. Je ne devais pas contredire. Je
devais être d'accord avec toutes les conditions et ne pas montrer de
l'inquiétude pour mon futur. L’on m'a fait mettre un pyjama. Je suis resté dans
les chaussettes spéciales de marle sans souliers. L’on m'avait enfermé dans une
chambre, où j'ai attendu sur une chaise pendant 5-6 heures la commission 17
médicale. Plus tard, l’on m'a amené sans souliers sur la neige du même bâtiment
à une voiture. Je savais parfaitement que je ne devais pas montrer ma douleur
dû au chemin couvert de neige, qui comme le feu, m'a brûlé les pieds. La
voiture m'a conduit au bâtiment avec l'isolateur dans lequel, comme je l'ai
pensé, j'aurai pu reposer et passer la stérilisation de mon corps. L'acide
"Ascarbiol" aidait à me débarrasser de la Gale de chien. L’on a brûlé
mon corps 5 fois et pendant les 4 premières séances, puis on a changé tout le
linge, les draps et le pyjama. Mais après chaque désinfection l’on a laissé une
couverture infectée. L'on n'avait pas provoqué de mon inquiétude et on ne m'a
pas fait prendre les traitements neuroleptiques. J'ai essayé de dire que je me
suis servi de la même couverture avant ma stérilisation et qu'elle m'aura
réinfecté. Après la première séance, je savais que l’on avait attendu la même
réaction afin que je ne subisse pas de nouveau ces mêmes souffrances. J'ai pris
immédiatement conscience que ma protestation de coucher sous la couverture
infectée devait être considérée comme ma "psychopathie" afin de me
faire boire les drogues neuroleptiques, pour motiver mon hospitalisation et
pour arrêter mes études. J'ai choisi la souffrance pour ne pas être drogué de
leurs traitements, bien que je sois tranquillement couvert de la couverture
infectée. J'ai étonné les femmes qui avaient brûlé mon corps. Chaque processus
de la désinfection avait deux étapes. L’on avait brûlé toute ma peau la
première fois et dix minutes après on a répété le tourment. Je n'ai pas senti
la douleur de la première stérilisation. Mais mes organes génitaux et ma peau
sur le dos et sur la tête ont connu une douleur horrible après ce même deuxième
tourment. Je devais ne pas laver mon corps couvert de l'"Ascarbiol"
pendant 24 heures. L’on a répété quatre fois ces souffrances pendant toutes les
48 heures, alors que l’on est arrivé chez moi afin d' "analyser": si
je m’étais débarrassé de la gale ou non? Mais après la quatrième violence sur
mon corps, le médecin a vu les traits brûlés sur ma peau de la tête entre les
cheveux et sur le dos. Alors tout de suite, l’on m'a conduit à l'Hôpital du Sur
d'Amiens pour me manifester au dermatologue. Il a changé officiellement le
numéro de l' "Ascarbiol". Ainsi, l’on a menti qu'on avait utilisé le
numéro incorrect et on n'a pas pu immédiatement me débarrasser de la Gale. Mais
quatre tentations inutiles m'ont laissé des traces sur ma peau. Si l’on le
désirait, je pourrais dévoiler les mêmes traits sur le dos et sur la tête sous
les cheveux. Ils sont restés avec moi pour toujours après les mêmes tourments à
Amiens en 2007 mais n'avaient pas pu provoquer le stress. Lorsque j'avais passé
la cinquième désinfection, l’on m'a permis de substituer la couverture infectée
à la nouvelle et on a établi 48 heures après que je ne suis pas malade de la
gale. Le service social m'a apporté un document, où on m'invitait le 17 février
2007 au tribunal qui devait déterminer la condamnation de Michel Plûquet. J'ai
demandé la permission de quitter l'hôpital, dans lequel je me suis trouvé sans
mon accord comme un prisonnier, car je n'étais pas déjà infecté de la même
gale. Mon premier médecin, une jeune femme avec lunettes, âgée de 26 ans en
hiver 2007, j'ai oublié son nom, m'a dit qu'elle voulait observer, pendant une
semaine, mes relations dans la société avec les autres malades. La semaine
passe pendant notre rendez-vous, elle avait essayé de m'obliger à boire les
traitements neuroleptiques. Je lui ai répondu que je n'avais aucune dépression,
je m'endormais immédiatement, donc je n'avais aucun besoin de traitement. J'ai
dit, que si quelqu'un des infirmiers m'avait ouvert la bouche avec violence,
serait venue la date de ma déportation en Israël de son hôpital prison et
j'aurais déposé une plainte contre ce médecin. J'ai demandé la permission de
téléphoner à l'Université ou à l'Ambassade d'Israël, car je n'ai pas demandé
l'asile politique en France. Ce médecin m'a interdit de quitter l'hôpital
prison, de témoigner à la cour contre Michel Plûquet, de téléphoner à
l'Université, à 18 l'Ambassade d'Israël à Paris ou à quelqu'un d'autre et
d'utiliser internet. Trois jours plus tard, elle m'a menacé de brûler mon
cerveau. Je n'ai eu aucune réaction. Je l'ai trompé que j'avais éprouvé la
morphine et qu'aucune drogue n'a jamais influencé sur ma conscience claire. Je
lui ai dit que quand j'aurai quitté l'hôpital prison ma plainte l'obligera à me
dédommager à hauteur de 30 000 euros pour violence. Je me heurtais cependant à
son indifférence à tous mes mots. Je me suis adressé à une autre femme médecin
Mademoiselle Corniers. Elle paraissait étrange. Sa mimique se muait
spontanément comme la mimique de mon camarade à Tachkent. Il était psychiatre.
Il ne prenait pas ses drogues neuroleptiques, alors qu’il étudiait à
l’université. Pendant ses études, son visage était tranquille. Lorsqu'il avait
débuté à expérimenter les traitements sur son corps, les mouvements de sa
mimique commencèrent à ressembler à la mimique de Me. Corniers. Trois années
plus tard, ce même camarade m'a dit qu'il était dépendant des traitements
neuroleptiques comme des drogues. J'ai compris que je risquais beaucoup dans
cet hôpital psychiatrique. J'ai dit à mon médecin que son amie médecin Me
Corniers prenait les traitements neuroleptiques et dépendait des mêmes drogues.
Si elle m'avait prolongé dans la dépendance comme Me Corniers, j'aurais demandé
dans ma plainte qu'on l'interne afin d'examiner combien de temps Me Corniers
pourrait supporter d’être privée de ses traitements neuroleptiques. Le même
jour, l’on m'a présenté au nouveau médecin, Mme Masai. Elle a indiqué que ma
santé psychique était stable. Je l'ai remercié. Elle m'a permis de quitter
l'hôpital. Je n'ai passé que des nuits sur son territoire avant la réception de
la chambre dans la résidence. Un de mes amis a envoyé mon message à l'Ambassade
d'Israël, dans lequel j'ai demandé que l’on m'envoie en Israël comme l’on me
déportera de Strasbourg le 8 mai 2008. La Croix Rouge m'a trouvé et m'a dis
qu'on m'avait acheté un billet d'avion de Paris à Tel-Aviv. J'étais fatigué à
causes des violences subies à Amiens. J'ai voulu revenir en Israël malgré le
fait que je n'ais pas mon droit de travailler et de poursuivre mes études
là-bas. L’on m'a expliqué que le même billet serait daté du dimanche 3 mars
2007, qu'une voiture spéciale viendrait me prendre de l'hôpital et que je
devrais apporter là toutes mes valises de la Cathédrale. Vendredi soir, tous
mes bagages se trouvaient avec moi à l'hôpital d’Amiens. J'ai signé le
document, dans lequel il s'agissait que du dimanche matin le 3 mars 2007, donc
j'aurais quitté l'hôpital sans droit de revenir. Samedi soir, l’on m'a dit
qu'il n'y avait pas billet ni de voiture pour me conduire à l'aéroport comme
l’on l'aura fait contre mon grès le 8 mai 2008. Le 2 mars 2007, l’on m'avait
expliqué que si j'étais parti de l'hôpital afin de transporter de nouveau mes
valises à la Cathédrale, l’on m'aurait obligé à le quitter le même 2 mars et de
dormir dans la rue pendant 2 nuits. Il s’agissait là d’une dernière tentation
de provoquer mon stress. La distance à parcourir à pied de mon bâtiment de
l'hôpital à l'autobus était 800 mètres samedi, alors que l'autobus spécial
arrivait là. Celle-ci était de 3 kilomètres dimanche, car il n'y avait pas ce
même autobus. Il était impossible de marcher avec 80 kg de bagages. J'ai
compris que je devais passer 2 nuits dans la rue. M. le prêtre Du Prêt est
arrivé immédiatement à l'hôpital dans sa voiture et, de nouveau, il a repris
toutes mes valises dans son bureau. J'ai rencontré en même temps une femme
russe. Son fils était l’un des patients de cet hôpital. Elle m'a permis de dormir
pendant deux nuits dans son appartement. Le 5 mars 2007 l'Université de
Picardie m'a présenté un logement gratuit. Le vice président de l'Université
m'a laissé croire que l’on me permettrait d'habiter là jusqu'au mois d'août
2007. C’était son mensonge…
Je suis très heureux qu’en France je me suis
débarrassé des persécutions des psychiatres pour mes traductions poétiques et
pour ma poésie francophone.
Le 3 novembre 2017, M. Jacques Millet, le poète
francophone a fini son existence dans ce monde matériel à travers le suicide en
Suisse. Pendant les derniers 2 ans, il habitait dans la chambre d’une femme.
Pour ce logement, Jacques Millet travaillait gratuitement dans le jardin du
propriétaire. En outre, cette femme avait obligé Jacques à quitter son logement
sans cause. Sous la peur de décéder longtemps sous la pluie dans la rue,
Jacques s’est pendu comme le gibet sans dernier espoir à l’âge de 60 ans. En
France, son beau-père le tenait dans hôpital psychiatrique depuis l’enfance de
Jacques Millet malheureux. Sous la pression de son beau-père puissant en
France, l’ordre français a interdit Jacques Millet d’étudier et de travailler
officiellement. Alors que Jacques voulait contredire à cette même décision des
psychiatres, sans aucun droit de l’homme l’on fermait ce poète dans les prisons
des malades mentaux pendant toute la vie de Jacques Millet. Chaque fois, il
quittait ces hôpitaux en état de légume. En 2012, il est venu en Suisse afin de
demander le statut de réfugié comme moi.
Au canton Valais, j’ai obtenu le droit de devenir
le requérant d’asile et de recevoir 480 francs pendant chaque mois depuis le 4
janvier 2012 jusqu’au 21 décembre 2019, car j’ai le passeport israélien et
Israël n’entre pas dans la Communauté Européenne. Au contraire, M. Jacques
Millet n’avait que le passeport français et sa patrie était considérée comme le
pays “démocratique”. Seuls les pays “totalitaires” ne doivent pas persécuter
leurs citoyens sans motivation. Au contraire, tous les pays “démocratiques”
peuvent faire n’import quoi avec leurs hommes qui n’ont aucun droit sur la
défense politique en Europe et en Amérique. Par la soutenance du gouvernement
du monde, les pays “démocratiques” peuvent transformer, en enfer, les vies de
leurs citoyens comme Jacques Millet. Seulement pour le fait que mon passeport
n’est ni européen, ni canadien, ni américain, le bureau des requérants d’asile
m’a présenté assistance sociale et le logement en Suisse, où j’ai habité
pendant 8 ans sans deux semaines depuis le 4 janvier 2012 jusqu’au 19 décembre.
Au contraire, Jacques Millet n’a rien obtenu en Suisse, car il avait passé
toutes ses souffrances horribles depuis 1967 en France, sur le territoire de la
zone «démocratique». Jacques Millet appartenait à la nationalité française. Il
n’était ni musulman, ni réfugié. Pour cette même raison, la France ne lui a
présenté aucun logement sans son ami garant qui travaillait stablement. De 2012
à 2014 au canton Vaud de la Suisse, l’Armée de Salut lui a donné une petite
chambre pour notre poète misère. Jacques Millet avait le passeport du pays
“démocratique”. C’est la raison pour laquelle à Vevey, l’Armée de Salut avait
tous les droits d’obliger Jacques Millet à quitter sa résidence en 2014. Si
Jacques Millet n’avait pas voulu distribuer gratuitement la nourriture pour les
hommes pauvres (qui, comme moi, étaient bien plus riches que Jacques). Si M.
Millet n’avait pas commencé à travailler dans son rôle du jardinier gratuit, il
aurait dû finir de vivre par ce même suicide ou de l'autre façon en 2015. Au
mois de novembre 2017 sans avertissement, les pires ennemis de la nationalité
française ont obligé Jacques Millet à abandonner le jardin, où il avait été
d’accord de travailler toujours gratuitement par l’esclave afin de ne pas
mourir lentement sous les averses dans les rues de Vevey en Suisse. En 2013,
j’ai téléchargé 5 poèmes de Jacques Millet et l’histoire de sa vie. Sur
YouTube, M. Jacques Millet a décrit son destin misère en France. En Internet il
y 7 ans, Jacques avait raconté de quelle façon la France a moqué de son âme et
l’Europe “démocratique” n’a pas vu les larmes de Joseph Brotsky en France, car
ce même poète Jacques Millet n’était pas notre stupide soviétique Brodsky avec
7 années de l’école secondaire à cause de sa propre maladie mentale par la
nature. Si, comme le stupide Joseph Brodsky https://fr.wikipedia.org/wiki/Joseph_Brodsky
, Jacques Millet avait été le requérant d’asile de l’URSS en 1973, il aurait
devenu le professeur post.doctorant à 6 meilleures universités anglophones et
aurait reçu le prix Nobel pour sa propre poésie. En dehors de la politique, les
poèmes de Brodsky étaient formulés sur la base de ses 7 classes de l’école
secondaire et sur le fond de sa maladie mentale qui était bien pire que celle
du poète Jacques Millet qui m’a rappelé beaucoup Joseph Brodsky réel avant 1973
en URSS.
Lésbió primúm // moduláte cívi
quí feróx belló, // tamen
ínter árma
síve jáctatám // religárat
údo
lítore návim,
(À Lesbos, premier
// citoyen, respecte
notre guerre pour l’île.
// Entre beaucoup d’armes,
ce bateau nageait
// dans le port étrange,
plage sous l’averse.1)
(Quinte Horace Flacce)
Strophe d’Alexander Kiriyatskiy
Consécration de Joseph Brodsky
Un homme russe obtient
// sa reconnaissance!
L’on tue chaque talent, // garde
son absence…
Tombe ma Russie. // Pour
l’intelligence,
Donne plusieurs chances
À ses favorites //
que puissent apparaître
Nos personnes fameuses // des
médiocres Lettres,
Car votre Pouvoir // ouvre
sa fenêtre
Pour seuls Ses maîtres.
Sans sa Protection, // tout
est impossible,
Leur médiocrité // deviendra
horrible.
C’est son Diable qui // interprète
la Bible
Aux murs sensibles.
L’on ne t’oblige pas // à
caver nos plantes
Ou couper chaque pierre
// qui est éprouvante.
Sans aucun diplôme, // ta
carrière brillante
Mort exigeante.
Ton école secondaire // est
plus importante
Que mon master deux, // «astre»
enseignante!
À tes étudiants, // Amérique
Méchante,
Que l’être mente.
Qui n’avait nul voix, // de
ta scène te chante,
Que, vieux écolier // «professeur»,
tu tentes
D’ignorer l’idée, // tes
paroles prudentes
Sont différentes
Dans ta poésie // qui
formule leurs ordres
De ton prix Nobel. // Mélodie
de cordes,
À Venise décède, //
hirondelle plus forte,
Tu dois te tordre.
Tes persécutions // soviétiques
s’estompent
Sous mes vingt un ans // en
Europe qui trompe,
Où je suis sans droit.
// Excellence, rompe
L’hiver des ombres!
____________
1 - c'est la traduction poétique d'Horace en
français d'Alexander Kiriyatskiy
Sans protection et sans consécration des dieux du
gouvernement du monde, la plupart des poètes aura le destin de Jacques Millet
sans futur. Je prie la CNDA que tous les français, comme le poète décédé
Jacques Millet, et les requérants d’asile des pays «démocratiques» en France,
que nous ayons tous les droits de l’homme comme les ont seuls les représentants
des pays «totalitaires» en Europe. Toujours, alors que les réfugié admis, parmi
les terroristes, la bureaucratie essaie de piquer les droits des hommes
malheureux comme Jacques Millet parmi les européens et comme moi parmi les
russes. Nous ne sommes pas terroristes ni comme Piotr Pavlenski, ni le
tchétchène qui a coupé la tête de l’enseignant. A Moscou de la manière
islamique, Pavlenski voulait couper son prépuce comme il a coupé un morceau de
son oreille. Peut-être, ce même désir a popularisé son satanisme. Je prie une
centième partie de l’admission de ce même pornographe que je puisse à obtenir
mon droit sur l’asile en France. Je ne peux pas croire que ma mort et celle-ci
de Jacques Millet conduisent les pays «démocratiques» vers leur
bonheur.
Jacques Millet, le poète: Armée du Salut
Alliée des gens dans la souffrance,
Recours que les gens pauvre lancent,
Méritant le Christ et son amour immense,
Espoir de ceux vivant plus que l'offense
Elèvent par le Christ et leur besoin d'amour
Dans différents lieux mais pour le bien toujours
Unis dans le Christ et son désir d'amour :
Secourir le pauvre avec ou sans détour,
Aiment Dieu, son fils, sa royauté
Unis à Dieu sous son autorité,
Travaille cette Armée pour notre Salut.
Jacques Millet, le poète:
Le
Noël du Poste
Lieu qui fait honneur
En Christ, Notre Seigneur,
Noël, vent vainqueur,
Croyez avec Cœur,
Ecoute, dans la bonne humeur,
L es gens qui font honneur.
Dans ce lieu porteur,
Unissent de bonheur.
Par ceux, écoutant le Seigneur,
Glissant en acteurs
Secourir sans peur
Toutes personnes dans le malheur,
Espérant en un Dieu Vainqueur.
Si je
n’avais pas demandé l’Asile politique en Suisse, je serais décédé en 2012, car
en 2012 la Russie n’était opposée au totalitarisme du régime draconien en
Europe. Ce totalitarisme masqué soutient l’antisémitisme réel en France dans
les quartiers arabes. Ces derniers peuvent légalement tuer les juifs pour leur
chapeau religieux. Maintenant, l’Europe manifeste le fait que les néofascistes
estoniens dansent sur les ruines du camp de concentration. La Communauté
Européenne dévoile le concours du meilleur néofasciste plus fort en Estonie,
car, parmi tous les pays du monde, l’Estonie est bien plus opposée aux russes,
pire que la Lettonie fasciste de cette même façon. Au contraire seulement
contre moi, car je suis un russe stressé par les sacrifices de l’impérialisme
israélien, du reste, rien n’indique qu’une éventuelle
condamnation pour les propos que vous avez tenu en public vous exposerait, en
Israël, à de sérieux préjudices au sens de l’article 3 LAsi. Je
n’étais jamais contre les juifs pauvres. J’affirme que M. le responsable et
l’auteur de cette même Décision d’Asile N572 093 Kop N de pers.
173 245 47 n’avaient aucune connexion par correspondance, car, le 3
novembre 2014, M. le responsable pour mon audition avait constaté en allemand,
à travers son ordinateur, le fait que je n’étais jamais contre les rabbins et
contre les autre juifs civils qui ne me faisaient jamais le mal pour moi. Je
suis le résultat du programme du Shabak et de l’Association de la Sécurité des
Etats-Unis contre les russes dans tous les pays du monde. La Décision d’Asile N572 093 Kop N de pers.
173 245 47 affirme que «le 15 février 2010, vous auriez déposé
plainte contre la France et le Canada auprès de la Cour européenne des
droits de l’homme. Cette plainte serait encore pendante». J’ai dit
beaucoup de fois à M. le responsable pour mon audition le 3 novembre 2014 qu’il
y avait mon dossier 7170/10 à la Cour des «Droit» de l’homme depuis 2008. Cette
cour a registré que ce même dossier de Kiriyatskiy était renouvelé pendant 4
fois: en 2008,
en 2009, en 2010
et en 2011. En outre sans explication,
tous ces mêmes quatre dossiers étaient perdus par la Cour des «droits» de
l’homme à Strasbourg. La décision d’asile N 572 093 Kop n de
pers. 173 245 47 ne veut pas comprendre le fait QUE MES DOSSIERS
PERDUS NE POURONT JAMAIS ÊTRE ANALYSÉS PAR LA COUR DES «DROITS» DE L’HOMME NI
EN 2015, NI EN 2025, NI EN 2035, CAR MON DOSSIER 7170/10 N’EXISTE PAS À
STRASBOURG DEPUIS 2011. C’est la raison pour laquelle, je dois
demander l’aide de la Russie. Celle-ci ne me permet pas de revenir en Russie
sans passeport. Mais la Russie peut aider à obliger la Cour des Droits de
l’Homme à renouveler mon dossier de quelle façon il est possible de trouver mon
affaire qui avait été accepté le 18 février 2010 à Strasbourg.
17a/ Le 7
octobre 2020 pendant mon audience, j’ai répété nombreuses fois que la France
est l’unique pays qui présente l’asile aux artistes et aux poètes francophones.
L’OFPRA écrit qu’il (moi) a rédigé plusieurs recueils de poésie
dans diverses langues. CELLE-CI ne souligne pas particulièrement que la
plupart de ma poésie présente mes poèmes épiques en français sur 82 pages de
mon livre qui comprend 126 pages de mes vers narratifs en français, en italien
et en espagnol. Pourquoi l’OFPRA n’a pas rejeté la
demande d’asile de Piort Pavlenski? Ce dernier n’avait pas été fermé dans la
prison pour le fait qu’il même avait mis feu au bâtiment central de la Sécurité
Fédérale à Moscou. Et en même temps, l’OFPRA
a rejeté les persécutions de ma personne pendant 21 ans et 5 mois, car les
États-Unis et son État d’Israël sont considérés les pays «démocratiques».
17b/ Pavlenski «peintre» n’a pas dévoilé ses propres dessins et ses propres
numéros artistiques en Youtube afin d’obtenir l’asile artistique en France
pendant 2 mois et 23 jours après sa demande d’asile sans motivation. Il luttait
contre la Russie, où il n’y avait rien été menacé à son banditisme, à la
peinture par son couteau sur les visages des jeunes femmes russes. La police
russe n’a pas détenu Pavlenski pour les violences contre beaucoup de jeunes
femmes en Russie. Je ne luttais contre aucun pays, alors que j’ai expliqué
poétiquement pour quelle motivation je n’ai pas demandé l’asile en France
depuis 2006 jusqu’à 2012?
Alexander
Kiriyatskiy:
Stábat máter
dólorósa
Jacopóne da Tódi
Le statut de «réfugié»
Présuppose nos étrangers
Qui coupent leurs chrétiens âgés
Dans les guerres civiles.
Nos esclaves européens
S’abaissèrent aux gales de chiens,
Ils grattèrent la peau, pour rien,
Par cette vie tranquille.
L’on enchantera chaque mot
Des persécutés «normaux»
Qu’ils soient forts par quels trumeaux
Des beautés habiles!
Qui n’était jamais malade,
Lave vos culs pour tous ses grades,
Il n’est pas le camarade
Des stupides de Nil.
Seules ces bêtes reçoivent l’argent,
Comme vos supérieurs des gens,
Elles obtiennent l’or, en bougeant
Par leurs pipes si viles.
Camp de nos concentrations,
Tu as, pour une expression
De la civilisation,
Ton futur péril.
La
raison s’est déchirée.
À genoux, l’âme perd son gré.
De l’asile, elle apparait
Comme un bon AcheteuR
De NombreuX JugeS qui t’ont dit
Que les cieux soient interdits,
Que vivent leurs drogués bandits
Comme leur Grand Voleur!
Car
l’Europe est leur rencontre
Comme le cul qui nous démontre
Que ces vers seront gluants contre
L’ombre du bonheur.
La Russie les intitule
Ses Dieux, mais ceux-ci la brûlent
L’ordre bat, comme les crapules,
L’infinie douleur.
Les vieux sont dans le marasme,
L’on les lave par l’enthousiasme
Des savants russes, car l’orgasme
Pisse sur leurs MeilleurS.
Reconnus sont les tchétchènes
Qui voient, en Russie, l’arène
Des batailles, où nous amènent
Aux antiques vendeurs
Des esclaves… Les autres peuvent
Endormir parmi les fleuves
Dans la rue pour les épreuves
De vos Droits de l’Homme,
Où se cache la Cour énorme.
Sa réponse a telle forme:
Attendez-moi sous vos ormes,
Tous conduisent à Rome.
Votre illusion vient vide.
Sous celle, souffre l’invalide.
Par le front, il a quelles rides:
«L’âme n’est pas en gomme!»
Qui tuait tous ses fascistes,
Est, par cette Cour, dans la liste
Des tirants, comme l’extrémiste,
En enfer, nous sommes,
Murmurez par ses bleues lèvres:
«Ce vieux perd la vue, en fièvre
Pleure, en fou malade énerve,
Il cherchait sa pomme.»
Qui passait cette vie très pure,
N’est pas liée à la piqûre
Des drogués, car sa blessure
A plusieurs diplômes.
Mais vous plaisent seuls les mensonges,
Car, par eux, vos pouvoirs prolongent
À manipuler nos Songes,
L’Être à genoux.
Leurs robots règnent sur la France,
Car séparent, sans différence,
L’eau de leur Reconnaissance
Et la Mort pour nous.
L’Univers n’a rien et grève
Mais sa déception est brève,
Tous les êtres ont leur rêve,
La lumière des trous.
Dans l’obscurité sans chance,
Ce feu a la voix d’enfance,
Lorsque l’autre vie commence,
Dieu se trouve partout:
«Stábat máter dólorósa
Júxta crúcem lácrimósa»
Víta brévis ést, curiósa,
Práti frigidú
Mère, tu as la douloureuse
Larme, ta croix amoureuse,
Donne la vie brève et curieuse
Le vent froid est doux.
18/ Depuis 2006 jusqu’à 2012, la France a présenté l’asile politique à
plusieurs satanistes voleurs comme Piotr Pavlenski et aux extrémistes
tchetchenes qui n’étaient jamais persécutés dans leurs pays que ces derniers
incendiaient les banques et que leurs fils coupaient les têtes des enseignants
et des chrétiens qui parlent avec Dieu dans les églises. L’OFPRA remplace mes études
à Amiens par ceux à Perpignan. De cette même façon, l’OFPRA popularise ses Protections aux «peintres» et «artistes»
comme Piotr Pavlenski. Ma poésie présente la concurrence aux protectionnistes.
C’est la raison pour laquelle, les pays «démocratiques» ne me légalisent pas
pendant 21 ans et demi que je ne pouvais pas gagner l’argent et payer ceux pour
la deuxième moitié de la musique de mon grand-père. Seulement de cette même
façon, l’OFPRA déclare: Il
explique avoir rencontré des problèmes en Israël en raison des talents de
musicien de son grand-père faisant concurrence à la mafia américaine qui dirige
la réalité de son pays. J’ai expliqué particulièrement que mon grand père
était le grand compositeur comme Stravinsky et non seul le musicien qui jouait
la musique des autres compositeurs. Il m’a laissé 8000 pages de son héritage
qui menaçait aux concourants, alors que ses notes et sa musique n’étaient pas
encore présenté en Internet. C’était la motivation que je sois décédé dans les
rues et que j’oublie tout dans ma vie. C’est la raison pour laquelle la mafia
m’a interdit de gagner sur ma vie. En Israël non juif me menace la prison pour
l’ «antisémitisme». Ni Israël, ni Ukraine, ni Pologne n’était jamais mes
pays malgré le fait que mon grand-père est né en Pologne. Depuis 1913 jusqu’à
1918, M. Benjamin (Veniamïn) Khaèt a étudié au Conservatoire d’Odessa en
français. Mais le totalitarisme des pays «démocratiques» n’a aucun droit de me
persuader que l’Ukraine est mon pays. Ni Israël, ni Pologne, ni Ukraine ne
seront jamais mes pays et leurs bandits ne m’ont pas acheté au marché de leurs
esclaves. Les protectionnistes d’Israël, de Pologne et d’Ukraine sont toujours
opposés à mon grand-père compositeur sans protection. Tous trois m’ont maudis
pour sa musique pendant 5 heures et 48 minutes en Internet sur mon site à
l’UQAM. Depuis 2006 ce site a devenu la contradiction pacifique à la mafia. Son
Israël, sa Pologne et son Ukraine n’étaient jamais mes pays. Je prie la CNDA de
confirmer que l’OFPRA a remplacé leur danger qui menaçait à ma vie par les
petits problèmes en Israël en raison des talents de musicien de son
grand-père faisant concurrence à la mafia américaine qui «seulement ne
veut pas écouter la musique des autres compositeurs qui étaient jouée par mon
grand-père compositeur». De cette même façon trompait le service de la
migration du Canada en 2005. C’était la raison pour la quelle, j’ai reçu mon
site de l’UQAM pour toujours. Le Québec n’a pas oublié les circoncisions
obligatoires de tous les québécois depuis le fin du XIXe siècle jusqu’à 1972,
alors que seuls trois Etas Américains: Québec, Israël et Californie ont obtenu
leur droit de choisir: circoncire leurs pipes et ceux de leurs enfants ou non.
L’OFPRA trompe, alors que
celle-ci affirme qu’il (moi) n’a pas été en mesure de travailler
légalement et a vécu sans logement pendant un certain temps. Craignant pour sa
sécurité, il a ainsi déposé une demande d’asile en France. En France en
2007, j’ai vécu sans logement depuis 2006 jusqu’au mois de septembre 2007 avant
mon rencontre de M. Vladimir Ivanovitch Altoukhov. Il a devenu mon deuxième
père à Strasbourg. Cet ange humain avait compris que me menaçait ma mort dans
la rue en 2007. C’est pourquoi, il m’a permis d’habiter dans l’une des chambres
de son logement à Strasbourg et à Perpignan.
Je prie la CNDA de déclarer que je
n’ai rien dit contre la France pendant mon audience à l’intérieur du bâtiment
de l’OFPRA le 7 octobre 2020. En outre, l’OFPRA a dissimulé la raison pour quelle motivation j’avais
présenté la copie de mon passeport? Pour obtenir mon asile politique et
artistique en France, j’ai présenté ces mêmes photos de l’appartement
radioactif que M. V. Altoukhov a loué en 2011.
27/ Pour
confondre mon passeport volé en hôpital de Perpignan, l’OFPRA
unit l’information mentionnée avec la motivation de ma demande de l’asile
artistique en France: .., divers travaux universitaires sont opposés à
l’absence de ma possibilité de soutenir ceux à Amiens et à Strasbourg. J’ai
passé tous mes épreuves d’examens et l’on me préparait à la soutenance de mon
mémoire de master français en 2007 et de ma thèse doctorale en 2010 ou en 2011.
Je prie la CNDA de confirmer que l’OFPRA a
ignoré les paragraphes 85-b et 85-c sur les pages 74, 75, 76, 77 du Recours
au Tribunal administratif fédéral TAF, case postale, 9023 Saint-Gall
d’Alexander Vadimovitch KIRIYATSKIY le 8.04.2019.
85b - Mon
appartenance au groupe social déterminé par la liste noire a condamné M. le
Professeur Dominique Beyer vers la perdition de sa place du directeur d’équipe
en histoire pour son désir de m’inscrire en son doctorat en 2010. De cette même
façon, M. le Professeur 75 Frédérique de Buzon, mon directeur de thèse à
l’Université de Strasbourg, a perdu cette même place en philosophie.
28/ Je prie la
CNDA de confirmer que seule la dictature absolue peut déclarer officiellement à
Amiens en 2006, à Tel-Aviv en 2009 et en Suisse en 2017 que mon master de
l’Université Etatique de Tachkent, qui occupe la 20e place de rating
parmi toutes les Université d’Ouzbékistan, est bien plus valable que mon Master
de la 2e Université italienne par son rating des meilleures Université
de l’Italie.
29/ Je prie la
CNDA de confirmer que mon passeport perdu au mois d’août 2011 à Perpignan, mes
travaux scientifiques sans permis de soutenir ceux, mes diplômes et mes poèmes
littéraires n’ont aucun rapport dans le deuxième paragraphe de la 2e
page du refus. L’article de presse avait été rédigé par le membre de 5000
fameuses personnalités mondiales. Son nom est Mme Dora Shtourman. Par les
paragraphes 77 et 78 sur les pages 62, 63, 64, 65, mon Recours au TAF
daté le 8 avril 2019 démontre que j’ai mon droit sur mon asile artistique
en France.
77b –
Pendant 19 ans et 10 mois, j’ai été fatigué des standards doubles de nos
bourreaux. Ces derniers m’interdisent de vivre comme ils ont fermé toutes leurs
portes à Mme Dora Shturman. En 1993, celle-ci a devenu l’un des premiers
sacrifices de la guerre froide contre les meilleures personnalités russophones.
Mme Dora Shturman avait reçu le titre «Femme de l’année» 1991-1992, 1992-1993
selon les décisions des comités correspondants des Universités de Cambridge et
de Peston. Pour la mafia mentionnée, ces deux faits ont obligé Mme Dora
Shturman à finir de travailler à toutes les Universités du monde entier depuis
1993 jusqu’à sa mort le 4 janvier 2012 https://ru.wikipedia.org/wiki/%D0%A8%D1%82%D1%83%D1%80%D0%BC%D0%B0%D
0%BD,_%D0%94%D0%BE%D1%80%D0%B0_%D0%9C%D0%BE%D0%B8%D1%81%D
0%B5%D0%B5%D0%B2%D0%BD%D0%B0 (La date de son décès est publiée en russe
en fin de sa biographie. C’est le 4 janvier 2012). Pendant 19 ans, Mme Dora Shturman
avait le droit sur seul son travail physique sans qualification. En 2002, elle
a été informée que depuis 2000 la mafia m’avait interdit de travailler pour la
publication de mon live. Le 30 mai 2002, ma tragédie avait stimulé Mme Dora
Shturman à publier son article qui a analysé mon livre. Au TAF, je présente sa
traduction française. Celle-ci a été confirmée au Canada le 4 avril 2005:
78 - Sur la page 8, deux premières phrases ont dissimulé
mon affirmation que je n’avais pas souhaité répéter le destin de M. Dora
Shturman. Elle n’avait pas appartenu à l’hiérarchie israélienne. Aux
États-Unis, sa carrière académique a menacé nombreuses places privilégiées sans
aucun diplôme. La mafia a eu peur de son titre «Femme de l’année» 1991-1992,
1992- 1993 selon les décisions des comités correspondants des Universités de
Cambridge et Peston. Le SEM a dissimulé mon affirmation que depuis 1993
jusqu’au 2012, Mme Dora Shturman https://www.wikidata.org/wiki/Q4527035 n’avait
eu aucun droit sur son activité universitaire et sur son travail gratuit par sa
spécialisation académique. Le SEM a rejeté mon explication que l’appartenance
au livre «5000 personnalités du monde» et son titre «Femme de l’année» 65
1991-1992, 1992-1993 ont devenu la motivation des persécutions de Mme Dora
Shturman pendant 19 ans, de 1993 à 2012. Je prie le TAF de confirmer que les
persécutions de ma personne depuis 2000 jusqu’à 2002 ont obligé Mme Dora
Shturman à rappeler ses propres souffrances depuis 1993. Mes harcèlements
ciblés l’ont stimulé à rédiger sa notice de mon livre sous le titre «Au coucher
du soleil de l’époque». À l’Université de Jérusalem en 2002 au département de
la littérature russe, travaillait un médiocre professeur qui était né en 1913,
alors que depuis 1993 Mme Dora Shturman a perdu ce même travail payant et gratuit
partout à son âge de 70 ans. 19 ans des harcèlements de Mme Dora Shturman
démontrent mon affirmation que si j’avais soutenu ma thèse, j’aurais présenté
la concurrence dangereuse à la «mafia sans titre». Son activité contre moi a
stimulé Mme Dora Shturman à analyser mon premier livre très positivement. Je
prie le TAF que, depuis le 30 mais 2002 jusqu’au 7 août 2018, j’avais été en
mesure de décrire précisément mon danger particulier. Ce dernier a été expliqué
par dernières 19 années tristes de Mme Dora Shturman et à travers ses propres
persécutions ciblées depuis 1993 jusqu’à 2012. Je prie le TAF de soutenir mon
droit de ne pas répéter le destin de Mme Dora Shturman depuis 1993 jusqu’à
2012. Je vous prie d’annuler ces mêmes dissimilations de mes explications et de
me présenter l’asile sans participation du SEM.
30/ Je prie la CNDA de
confirmer que des articles de presse rédigés par Mme Dora Shturman.
Ses articles ont été présentés le 7 octobre 2020 au bâtiment de l’OFPRA. Leurs
textes n’étaient pas liés avec un courrier reçu par le département
consulaire de la Fédération de Russie en Suisse le 31 août 2019. En
outre, ce même courrier reçu par le département consulaire de la
Fédération de Russie en Suisse est directement lié avec la copie de son passeport israélien délivré le 31 août 2010
et valable jusqu’au 31 août 2020, un récépissé de déclaration de main courante
relatif au vol de son passeport daté du 25 août 2011. Sur la page 34 de ce même recours, j’ai expliqué le 7
octobre à l’OFPRA que la Russie ne me permet pas de revenir en Russie sans
passeport. Mais la Russie peut m’aider de quelle façon il est possible de
trouver et renouveler mon dossier à la Cour des Droits de l’Homme qui avait
accepté mon dossier là le 18 février 2010. (pp. 31-32 de ce même recours). Je prie la CNDA de souligner un seule
rapport entre plusieurs concepts chaotique du deuxième paragraphe de la
deuxième page du refus de l’OFPRA qui est dissimulé et masqué afin de confondre
les lecteurs de sa réponse négatives. L’OFPRA
a dissimulé le fait que si j’avais eu mon droit d’arriver en Russie, je
n’aurais pas demandé mon asile en France. Je souligne le fait que l’OFPRA n’a pas voulu expliqué pour quelle motivation M.
Vladimir Ivanovitch Altoukhov m’a laissé une procuration devant
notaire réalisé par sa volonté le 22 juin 2020.
31a/ Je
prie la CNDA de confirmer le fait qu’à son âge de 76 ans, maintenant 77 ans, le
vieillard Vladimir Altoukhov, qui était né le 26 août 1943, a quitté la France
pendant la pandémie de Covid 19 sous la pression de son inquiétude. Il ne
m’a laissé ni son adresse en Espagne, ni son téléphone. Je suppose qu’il avait
peur que le pouvoir mondiale pouvait condamner celui pour son désir de m’aider
depuis le 19 décembre 2019. De cette même façon, il m’a présenté son
hébergement depuis le mois de septembre 2007 jusqu’au 3 janvier 2012. Nous
n’avions aucune tumeur avant notre déménagement très étrange de Strasbourg à
Perpignan pour habiter dans l’appartement radioactif sur la place 3 Esplanade,
Edouard LE ROY. M. V. Altoukhov devait revenir le 1 novembre 2020. Le 13 novembre
2020, je n’ai reçu aucune information qui soit liée avec ses actions en futur.
Je prie la CNDA de confirmer le fait que l’OFPRA
a ignoré le départ très étrange du vieillard. Il a plusieurs maladies qui sont
dangereuses pendant la pandémie. L’état psychique de M. Vladimir Ivanovitch
Altoukhov était normal et égal toujours en 2007, en 2012, alors qu’il attendait
sa mort après la chimiothérapie dans l’appartement radioactive. De cette même
manière, M. V. Altoukhov était également neutre et raisonnable pendant son
départ triste pour habiter en Espagne depuis le 24 juin 2020. Il aime la
France. M. Vladimir Ivanovitch Altoukhov rêvait revenir à Perpignan le 1
novembre 2020. L’OFPRA a
dissimulé le fait que j’ai présenté mes photographies très importantes.
Celles-ci démontrent que depuis 2011 jusqu’à 2014 mon organisme a devenu très
jeune afin d’éviter mon cancer du foie, celui de testicule et celui de mon
cerveau. Sans mon désir, l’on m’a admis dans le groupe des jeunes hommes entre
15 et 18 ans pour ma jeunesse irréelle, où par la copie de mon passeport j’ai
déclaré qu’en 2013 j’avais 43 ans et non entre 15 et 18 ans.
31b/ A la Cour Nationale du
Droit d’asile, je présente les photos des récitations de mes poèmes. Je les ai
installé en Youtube depuis 2013 jusqu’à 2014. Mes photos n’étaient pas inutiles
le 7 octobre 2020 pendant mon audience. Ceux-ci démontrent qu’en 2011 Vladimir
Ivanovitch Altoukhov et moi, Alexander Kiriyatskiy, nous étions les sacrifices
réels et nous sommes opposés aux mensonges de M. le trompeur Navaly. Je suis né
le 11 mai 1970. La date de la naissance de M. le menteur Navalnyj est le 4 juin
1976. Sur la photo suivante Alexej Navalnyj a 44 ans. Il est bien vu que M.
Navalnyj boit l’alcool. Ce dernier assassine son organisme bien pire que tous
les vélins.
J’avais 44 ans en 2014
sur mes photos antérieurs, alors que je me trouvais sur la frontière entre mon
cancer et la rénovation manifestée de tout mon organisme sans tumeur
oncologique. Je l’ai vaincu en 2015. Les kystes ne sont pas cancer.
32a/ L’OPFRA a
ignoré que sur l’USB, les photocopies des notes de mon grand-père compositeur
ont été confirmées en PDF par le notaire du site MUSICANEO. Cette entreprise
protège 12 000 meilleurs compositeurs classiques depuis le VIe
jusqu’au XXe siècle.
32b/ Entre eux,
sont présentés 4034 pages des notes de mon grand-père juif en allemand, en
anglais, en portugais et en russe. Je croyais que l’héritage musical de
Benjamin Khaèt et ma propre poésie cosmique peuvent m’aider à obtenir mon droit
sur l’asile artistique en France. Mon asile admis sera bien plus valable que
celui pour les incendies et pour les violences de Piotr Pavlensky.
Alexander
Kiriyatskiy:
(29 - 30)
Des Atlantes qui ont rapide quitté leur terre:
De la création de l’Univers
Hors nos temps, Tout de Dieu et l'enfer enchaîné
Y dormaient par dix-sept dimensions.
Lors la séparation a chassé leur but né
Pour produire la fin à l’explosion.
Tout ce monde naîtra moins que son Positron,
Où alors qu’il n’y avait nul malheur,
Dans un point, tous nos lieux sans concept d’autre «NON»
S’illustraient magnifiques ou meilleures.
Par les rythmes de l’infinité, chaque ficelle
Supérieure et égale collectait
Toutes ses formes sans fond et n’avait nulle partielle
Difficile à travers l’Unité.
Sa Puissance pouvait unifier tous les signes.
Dont, la couple du pas sans clarté
A jeté l’ombre charge hors chances divines:
Trois temps pour leur diversité,
Il n’est pas paradis infini de matière.
L’être rapidité dépassait
La lumière quatre fois, où grandit l’Univers,
Le présent rappelait son passé.
Un million deux cents mils en seconde, vitesse,
Tu as fait élargir l’extension,
Où ses points opposés s’approchent qu’ils disparaissent
À travers leurs annihilations.
Là se sont dissociés des pouvoirs primordiaux
Qui conduisent à la lutte cependant.
Sans divine harmonie, quittent leurs dons initiaux.
Par les larmes, séparent ses océans.
Toutes nos forces amènent à la source unique.
Microcosme d’abîme étendu,
Absolu a laissé l’île du filtre cosmique.
Au futur, l’inutile est fendu.
Dieu restait dans une seule milliardième de la masse
Explosé par le mal sous le temps.
S’élargie ce même cercle partout. Il nous chasse
Des morceaux qui construisent notre champ.
Mais la noire énergie a ouvert ses frontières
Qui conduisent à sa futilité,
Où les Trous Noires s’opposent aux places vides de l’enfer
Pour suspendre ce cosme voûté.
Chaque période de la vie éloignait nos grises morts
Des microns aux amas galactiques.
Les cadastres de branches dirigent leurs flux forts,
Et inventent une arme physique:
Les Neutrons lourds s'emboîtent à travers les Protons
Afin de formuler nous divers.
Entre nos centres et les orbites d’Électrons,
Les distances séparent l’Univers.
Entre les galaxies et dans tous les atomes
Par ce temps, la sphère creuse s'élargie.
Ses rapports trompent que pour leur offre nous sommes
Tout s’éloigne de cette noire énergie,
Où son feu qui embrasse le passage disparu,
Est vaincu à travers nos Trous Noirs,
Leur conscience invite toutes les âmes, où nos rues
Se souviennent par l’énorme mémoire.
Dans les Trous Noirs, il n’y a que des cordes sans fin,
Les images en raison de leurs notes.
Par nos treize dimensions s’ouvrent tous les chemins,
La lumière intérieure n’a nulle faute.
Contre les énergies noires, nous crée Absolu,
Sauve nos contradictions et remplace
Le passé restauré. Son futur est son glu
Entre tous nos objets en espace.
ORIGINE DE TOUT NOTRE COSME
L’idée des mondes plus parfaits est préférée par Dieu,
Leurs dix sept courtes dimensions sont connectées bien mieux
Que trois métriques du mal cosmique: au temps pour être vieux
Et décéder dans leur futur sans connexion des lieux.
Car dans cinquante milliards tours d’années, viendra la mort,
Vite se perdront nos molécules, il ne sera nul corps:
Dont les distances entre eux vaincront ce sens plus fort
Des Trous Noirs qui se cacheront par les derniers rapports.
La perfection de leurs parties se trouve dans toutes les sphères,
Leurs évidences se pratiquent dans chaque point pour les faire
Cette paix réelle des contredits, tiennent une lumière sans guerres,
Il est possible d’ajourner la fin de l’univers.
Ses Trous Noirs n’ont aucune distance
Entre nos particules fidèles,
Qui ont, à l’ordre, la puissance
De leur donner l’union partielle
Avec ses mondes d’Absolu…
Années, quatorze milliards! Dans
L’une de ces sphères, aviez voulu
Dire l’infini à un mutant
De nul espace. Par aucun temps,
La belle vitesse du haut salut
A fait unir l’ordre présent
Passé pour son prochain non lu.
Nos galaxies sont temporelles,
Elles naissent du minimum... L’enfance
Du diable explosait leur ciel
Aux six milliard d’années, aux chances:
Avant cette explosion des rames pour notre crise d’espace,
L’autre présent n’a nul passé, car il n’a rien qui passe,
Où il n’existe pas danger des êtres qui menacent
À l’harmonie et chaque sa place domine surtout en face.
Alors dix sept mesures très dures ont figuré ce fond
Plus grand que notre univers dans un petit neutron…
Les opposés ne se battent pas, où tous ensembles n’ont
Rien impossible de ce règne à nulle frontière du Bon.
Milliard de fois, sa quantité des forces dominait
Sur notre nombre de matières perdues par leurs années.
À l’intérieur, tous nos atomes sont vides. Ceux-ci sont nés
Sous l’énergie noire de ses souches qui tentent d’éloigner
Ses
électrons et nos protons.
Par la faiblesse des formes,
Leurs galaxies disparaîtront.
L’obscurité énorme
Fera éteindre les étoiles
Dans le futur. Leur but
Élargira l’abîme spatial
Qui nous approche des chutes,
Où nos gravitations grosses luttent
Que l’unité soit maximale.
Son signe «minus» casse toutes leurs routes
Qui le conduisent à l’un idéal
Que notre astre dorme
Des cinq milliards d’années au trône
De l’homme. Encore, comme l’orme,
Que grandissait l’humaine personne.
33a/ L’OFPRA
trompe que son service ne comprend pas pourquoi Israël ne veut pas délivrer
un nouveau passeport au citoyen d’Israël avec la nationalité russe! Israël
crache sur les religions des ses citoyens. La religion juive ne pouvait jamais
substituer la nationalité russe par celle hébraïque à travers les traditions et
les vêtements juifs, car la religion n’était jamais identifiée avec le concept
de nationalité en Israël. Les russes juifs ont téléchargé en vidéo de quelle
façon par les bottes la police hébraïque bat les jeunes russes juifs malgré leur
religion évidente.
Les photos suivants
expliquent pour quelle motivation je me revendique russe. A
droite de photos il est marqué en russe НОВОСТИ (NOTICES).
33b/ Les adultes
ne savent pas aider à leurs enfants. Je prie la CNDA de confirmer de quelle
agression par la botte droite le soldat israélien bat les russes juifs qui sont
plus blancs et sans barbes parmi tous les autres jeunes garçons. Leurs
sacrifices ont l’âge entre 13 et 17 ans.
En Russie l’on ne
persécute jamais les adolescents juifs de cette même manière. Seuls les pays
«démocratiques» permettent d’humilier leurs enfants et leurs adolescents de
cette même façon en Israël, au Canada et au Etats-Unis. Seules les vies des
noires comptent. Pour l’affirmation que les vies de tous comptent de cette même
façon, la police des «démocrates» commence à battre comme sur 12 photos des
notices russes qui essayent de soutenir et de défendre les russophones.
Plus bas, il est vu
que le soldat israélien terrorise l’enfant qui a 13 ans.
Pour ces mêmes
soldats, SEULES LES VIES DES NOIRS COMPTENT.
34/ Après ces
mêmes persécutions inutiles, plusieurs israéliens russes juifs, chrétiens,
musulmans et cosmopolites demandent l’asile en Russie. C’est la raison pour
laquelle moi, Alexander Kiriyatskiy au regard de ses déclarations selon
lesquelles j’ai déposé une demande d’asile auprès de la Fédération de Russie et
considérant le courrier reçu par le département consulaire de la Fédération de
Russie en Suisse. Je ne vois pas l’analyse de sa réponse négative qui était
liée avec mon asile en Russie sans passeport israélien. Je prie la CNDA de
fixer l’absence de la déclaration du refus du département consulaire de la
Fédération de Russie en Suisse.
35a/ L’OFPRA répète les chablons du SEM suisse. CELUI-CI remplace les raisons des
sujets par la tautologie des compléments indirects: … l’intéressé ayant pu
faire délivrer aux cours de sa vie plusieurs passeports de la part des
autorités israéliennes… L’idée est finie. La partie suivante de cette même
phrase n’a aucun rapport avec cette même proposition «terminée». Je prie la
CNDA de constater que je n’avais que deux passeports et non plus en NON
PLUSIEURS. En 2010, j’ai reçu le document israélien qui constate en hébreu que
2 seaux de CANCELLID annulent la validité de mon passeport qui avait été
délivré pour l’argent le 29-7-2019.
35b/ Car ce même
passeport avait été détérioré dans l’Ambassade d’Allemagne à Tel-Aviv,
gratuitement j’ai reçu mon nouveau passeport le 31-8-2010. L’on m’a notifié en
russe que le passeport de CANCELLID a deux seaux de la douane allemande.
Ceux-ci démontrent que mes détentions irréelles n’existaient pas dans les
ordinateurs de la police allemande en 2009.
36a/ Seulement en
Espagne et en Suisse, ce même passeport annulé avait sa propre validité, alors
que je n’ai eu aucun autre document qui pouvait identifier ma personne. L’OFPRA trompe, alors que celui-ci affirme que le pays d’Israël, où j’étais
bien plus illégal qu’en France depuis 2006 jusqu’à 2012, avait ma résidence
avant mon arrivé en Europe après la mort de ma mère depuis 2004. Je pouvais
habiter dans l’appartement qui était loué par ma mère Nina Veniaminovna Khaèt.
Ni au Canada, ni en Suisse, ni en France il ne faut pas tromper que depuis 1999
Israël, avait ma résidence avant mon arrivé en Europe. L’OFPRA a dissimulé le paragraphe 36 du Recours au Tribunal administratif
fédéral TAF, case postale,
9023 Saint-Gall
d’Alexander Vadimovitch KIRIYATSKIY________
(Nombreuses pages renouvelées le 31.03.2015 et le 04.06.2016)
Ce même recours
est admis par la Cour Administratif de Saint-Gall le 9 mai 2018.
36) Si la police
française (du pays démocratique) avait eu le droit de ne pas me présenter le
document vérifié cette même violence opposée à la décision de M. le juge Pierre
Wagner, aucun pays : ni Israël, ni tous les pays africains et asiatiques
n’auraient jamais présenté aucun document vérifié leur persécutions pour aucune
sacrifice réelle. En outre, seuls les rois obligent leurs esclaves en police à
présenter, pour ces mêmes rois, certains documents falsifiés qui témoignent les
persécutions falsifiées pour les menteurs riches et non pour les sacrifices aux
pays du troisième monde. Je n’ai que la vidéo qui illustre le fait qu’en 2009,
alors que j’avais le droit sur le travail en Israël, la police a obligé à
dormir dans la rue en été 2009 sans motivation, car la police israélienne
m’avait obligé illégalement à quitter ma petite chambre qui était indiquée dans
mon passeport jusqu’à 2010. https://www.youtube.com/watch?v=wEU9J4ucvto
36b/ J’ai
habité dans cette même «résidence» pendant un mois en 2009. J’ai obtenu le
droit légal sur mon travail sans qualification en 2008 et en 2009, alors que
j’étudiais à l’Ecole Doctorale de Strasbourg. Ma pièce d’identité avait
l’adresse de ce même studio jusqu’au mois de juillet 2009. Alors, la police
avait cassé mon serrure. Celle-ci m’a obligé à quitter cette chambre. Pour les
studios plus chers, je ne pouvais pas gagner l’argent et j’habitais dans la rue
en 2009 et en 2010. A Strasbourg, j’habitais tranquillement à
l’appartement de M. Vladimir Ivanovitch Altoukhov. Depuis 2004 en Israël il n’y
avait jamais ma résidence avant mon arrivé en Europe.
36c/ Je
prie la CNDA de constater la répétition française du mensonge suisse du SEM.
Celui-ci a été annulé le 9 mai 2018 par le recours de Saint-Gall. Seulement
pour démontrer la puissance des standards doubles en Suisse en 2015, l’OFPRA trompe en 2020 que concernant ses craintes en Israël,
l’intéressé a essentiellement évoqué son obtenir un emploi légalement déclaré
et ses conditions de vie précaire, qui l’ont notamment conduit à vivre dans la
rue sans logement. Seulement en 2008 et en 2009, alors que j’avais mon
droit sur mon travail légal, j’avais mes conditions de vie précaire,
qui l’ont notamment conduit à vivre dans la rue sans logement. Alors que je
n’avais pas eu ce même droit essentiellement évoqué son obtenir un emploi
légalement, chaque instant je pouvais être battu par la police israélienne
sans motivation de 1999 à 2008 et de 2010 jusqu’à nos jours comme cet enfant
russe à l’âge de 13 ans, malgré sa religion juive qui ne modifie pas notre
nationalité russe en Israël.
36d/ De
quelle façon l’enfant avec les cheveux rousses menace au policier qui le bat
pour sa nationalité russe et pour sa religion juive en même temps? Cette photo
explique le calque suisse de l’affirmation suivante du SEM en 2015 et de celle
de l’OPFRA en 2020: Toutefois, les motifs qu’il évoque comme l’étant à
l’origine des mauvais traitements reçus se sont révélé peu convaincant. Les
bleuissures des femmes russes sous le couteau de Piort Pavlensky, son
organisation de l’incendie du bâtiment essentiel de la Sécurité Nationale de
Russie n'étaient pas convaincus de détenir Piotr Pavlensky sur le territoire de
la Russie. Malgré l’absence de quelque danger de Piotr Pavlensky sur le
territoire de la Russie, l’OPFRA a présenté l’asile politique au bandit et
pornographe Piotr Pavlenskiy, car la police russe n’avait aucun droit d’obliger
Piotr Pavlensky à payer son amende pour ses violences en Russie qui se sont
révélées convaincant de lui présenter son asile artistique en France comme
au peintre qui n’a rien dessiné pendant toutes sa vie. Je prie la CNDA de
constater que selon ces mêmes ordres draconiens si j’avais demandé l’asile en
France depuis 2006 jusqu’à 2012, j’aurais reçu ce même refus et je n’aurais pas
pu prolonger ma vie en Suisse pendant 8 ans sans deux semaines sur la base de
l’avarice suisse qui voulait mettre, dans ses banques, l’amende allemande en
volume de mes 730 000 euros.
Alexander Kiriyatski: Staline en Europe
Et en Europe, il n’y a aucune démocratie,
Comme à l’époque du stalinisme en Russie.
Mon nom est dans la liste noire, secrète … - «Merci»,
Crie mon poème aux yeux des démocrates aussi.
Je suis Sacha, le personnage des «Fils d’Arbate»
De Ribakov… L’on nous sépare des masses en boîte;
Mais ne jette pas dans les prisons, les ordres battent
Pour chaque désir de nous lever parmi les rates.
Nos stalinistes d’occident persécutaient
Les professeurs, partout, aux Universités
Qui essayaient de nous inscrire, l’on leur dictait
De retirer leurs lettres par leur volonté.
Que l’on ne nous permette jamais de travailler
Sous nos officieux noms parmi les ouvriers!!!
Car sous l’averse, l’on oblige à nous mouiller
Que, comme plusieurs drogués, nous nous mangions derniers.
Que nos espoirs soient décédés dans la souffrance
Que nous perdions, comme les ivrognes, l’indépendance
Des démocrates d’Europe pour son Staline. En France,
Nous les prions, par ses esclaves, leurs indulgences.
Mais si nous soutenions nos thèses, et nous aurions
L’argent des clans pour l'air des gestes sans crayon,
Les rois perdraient leurs responsables des rayons
Illuminés la vérité que nous verrions.
Car toutes mes nuits passaient // dans les foyers des pauvres
Pendant ma vie sans fleurs // en règne d’obscurité,
Que cet enfer produise, // par les douleurs, mes œuvres
Comme ma syllabe en vers // tentait de refléter
Que je n’ai pas mes droits // de travailler par l’ordre,
Et rédiger ma thèse, // je prie l’aide à Genève,
Or, ma recherche en // Europe oblige à mordre
Mon âme pour mes études, // absence de mon rêve.
37/ Je ne
suis ni terroriste religieux, ni «peintre» pornographe comme Piotr Pavlenski.
Ce dernier «peintre» accepté n’a rien dessiné. C’est la raison pour laquelle,
l’OFPRA a inverti ma réponse à la question: «Pourquoi mon grand-père, le
compositeur avait peur de migrer en Israël avant son âge de pension?» J’ai
répondu à cette même question honnêtement que depuis 1954 le dossier de mon
grand-père Veniamïn Khaèt avait été placé dans la liste noire de
MACARTISME américain et israélien. Si Veniamïn (Benjamin) Arnoldovitch Khaèt
était venu en Israël, l’aurait attendu le destin de mon ami russe israélien
Itskhak. Il est né en 1920. Ce même russe juif a commencé à habiter légalement
à Tel-Aviv depuis 1941, 5 ans avant l’apparition du pays Israël. Itskhak était
le grand chanteur. En 2000, il n’a pas perdu sa voix d’opéra à son âge de 80
ans. Mais malgré sa religion juive, Israël de MACARTISME a placé Itskhak dans
la liste noire pour sa nationalité russe sans droit de chanter pour l’argent.
Cette règle a obligé Itskhak, le chanteur d’opéra à travailler dans les
constructions par l’ouvrier sans qualification depuis 1946 jusqu’à 1985 sur le
territoire d’Israël. Pour sa nationalité russe, la mafia n’a pas permis Itskhak
d’accumuler son argent pour sa pension de vieillesse. C’est pourquoi pour sa
nationalité russe, Itskhak continuait à travailler sans qualification en 2000 à
son âge de 80 ans. La religion juive d’Itskhak RUSSE n’intéressait personne
sauf les autres russes depuis 1941 jusqu’à 2000. De cette même façon pour sa
nationalité russe et malgré sa religion juive, la mère de mon autre ami
Alexandre Dijour n’a gagné aucune pension de stage depuis 1978 jusqu’à 2000. De
1954 à 1975, les amis de mon grand-père juif nous ont décrit nombreux destins
horrible comme celui d’Itskhak. Nos amis israéliens nous ont informé par
correspondance que M. le compositeur Veniamïn (Benjamin) Arnoldovitch Khaèt se
trouve dans la liste noire de macartisme américain/israélien depuis 1954 et
qu’il ne devait pas migrer en Israël pour ne pas répéter leurs destins. Comme
le Service Etatique de Migration à Berne par son calque particulièrement, l’OFPRA a interprété cette même réponse à la question mentionnée sans
rapport. Par ses chablons, l’OFPRA a
uni plusieurs concepts sans raison: En effet, s’il peut être admis, au
regard des divers documents produits, que le grand-père de l’intéressé a
fait, Veniamïn Khaèt, était un compositeur d’opéra et de musique
classique russe de confession juive, les circonstances dans lesquelles il
aurait été placé depuis 1954 sur la «liste noire» de la part des autorités
israéliennes en raison de son talent musical sont apparues confuses et peu
compréhensibles. Dans tous les pays du monde, seuls les bourreaux de toute
la nationalité russe mentent qu’ils ne comprennent pas pour quelles motivations
plusieurs russes israéliens, comme Itskhak grand chanteur d’opéra, n’a pas
accumulé son argent pour sa vieillesse depuis 1946 jusqu’à 2000 pour son
travail sans qualification. De cette même façon, la mère d’Alexandre Dijours
n’a pas gagné sa pension minimal depuis 1978 jusqu’à 2000. Seuls les
protecteurs des pornographes comme Piotr Pavlenski ne peuvent pas comprendre
que mon grand-père compositeur n’a pas voulu répéter les souffrances des
esclaves comme Itskhak. J’ai dis pendant mon audience le 7 octobre 2020 que,
pour les compositeurs comme Piotr Pavlenski, 8000 pages des notes de mon
grand-père présentaient le grand danger malgré le fait que ces notes ne se
trouvaient pas en Internet et il était impossible d’écouter la musique de leur
cinquante pourcent. Maintenant, alors que 5 heures et 48 minutes de leur
musique ont été présentées sur mon site à l’UQAM, les protecteurs
américain/israéliens des compositeurs, comme Pavlenski, veulent m’attribuer
l’antisémitisme et me fermer dans la prison pour me tuer là. En 2008 et en 2009, je n’avais eu aucune possibilité de
payer l’argent aux musiciens pour jouer en ordinateur la musique de mon grand
père Benjamin /Veniamïn/ Khaèt. Sa nationalité était hébraïque cent pour cent
et, sur 8000 pages, 12 heures de leurs compositions musicales présentent le
grand danger pour la mafia israélienne. C’est la motivation pour laquelle,
Israël m’avait interdit de gagner l’argent, alors que j’avais ma possibilité de
payer pour le jeu en ordinateur des notes de B./V.Khaèt. Sur la flèche USB, je
présente 4034 pages des notes de mon grand père en PDF confirmés par le
notaire, 5 heures 48 minutes de leur musique jouée en ordinateur et la copie de
son site qui menace la mafia. Au Canada et en Suisse, j’avais pu accumuler
l’argent nécessaire et payer celui pour la publication professionnelle de mon
héritage musical en Internet. De cette même façon en anglais, j’ai la confirmé
ces mêmes notes sous le nom Benjamin /Veniamïn/ Khaèt 1896-1975. L’a confirmé
le notaire du site https://veniaminkhaet.musicaneo.com. La CNDA peut
constater que la musique de Khaèt correspond au niveau professionnel de
Stravinsky et de Prokofiev. Je prie de fixer que l’OFPRA a
dissimulé mon explication que, depuis 1999, la peur de l’héritage de mon grand
père est la motivation de persécuter tous qui pouvaient me présenter quelque
travail légal et illégal depuis 1999 jusqu’à 2008 et depuis 2010 jusqu’à nos
jours. Je prie la CNDA de lire mon explication suivante. Il y avait un Monsieur
qui m’avait permis de gagner un peu d’argent illégalement en 2010. En Israël,
ce même Monsieur russe m’a dit que si j’avais payé mon assurance médicale ou si
j’avais seulement apparu à son bureau, le Shabak aurait contrôlé mon chef dans
la ville et j’aurais perdu ma dernière possibilité d’accumuler l’argent afin de
quitter Israël en 2010. À Tel-Aviv, mon chef russe a risqué par son destin, car
il m’avait aidé à quitter Israël à travers mon argent gagné illégalement. Aux
pays totalitaires, les hommes, qui ne critiquent pas leur pouvoir, ont tous les
droits humains. Au contraire sans motivation, les pays «démocratiques»
persécutent leurs citoyens et il est impossible de démontrer leurs harcèlements.L’OFPRA
a dissimulé cette information de ma demande d’asile.
Poésie
d'Alexander KIRIYATSKIY: Pavlenski
Sur la
place de Bastille,
Votre
banque vous brille
Par la
consécration de l’artiste
Qui ne
joue aucun rôle
Et ne
sait nulle parole
En
français, car l’absurde bien triste
Fait
détruire ma Russie,
Au
barbare vous dîtes: «Si
Tu
blessais tes femmes russes, sataniste,
Tu
serais, Pierre génial,
Notre
peintre du mal,
Qu’à
Paris l’art du diable existe.»
L’homme
n’a rien dessiné.
Mais
l’Europe l’amenait
Au
triomphe parfait des violences.
L’on
coupe l’art de peinture
Par le
feu des blessures
Pour
monter à sa reconnaissance.
La
Russie l’a permis
De
trouver ses amis
Entre
les journalistes qui dansent
À côté
du bandit.
Pour
Poutine, l’âne rôtit
Ses
palais pour quelle indépendance?
L’âme
attend la police.
À
Moscou, celle-ci puisse
À
conduire vers le dur héroïsme.
Pierre
répète cette action
Pour
la révolution
À
Paris, l’on l’appelle l’extrémisme
Par
dix ans de prison…
À
Moscou nous disons
Qu’en
Russie l’on cultive l’égoïsme,
D’où
l’Europe sans trésor
Nous
approche de nos morts
À
travers son «naïf» daltonisme.
39/ Je
prie la CNDA de confirmer cinq licenciements de mes professeurs. Leurs
condamnations ont été directement liés avec le fait qu’en 2010 et non en 2009
la police allemande m’avait attribué deux détentions absurdes le 5 janvier 2009
et au mois de juin de 2009 sans droit sur mon alibi malgré le fait que depuis le 8 mais 2008 jusqu’au 31 janvier 2009 je me trouvé en
Israël. Mon document bleu d’Israël démontre que je suis revenu en France le 31
janviers 2009 et, physiquement, je ne pouvais pas être arrêté en France par mon arrêt
du 5 janvier 2009. Officiellement, l’Allemagne m’a interdis de traverser son territoire depuis
le 5 janvier 2009 jusqu’au 26 juin 2019. Pour toujours, ces mêmes détentions
m’ont interdis d’étudier à toutes les Universités de la Communauté Européenne
en France, en Espagne, en Suisse, etc. Si cette même déclaration existait en
2009, l’aéroport allemand ne m’aurait jamais mis le seau de sa douane dans mon
passeport israélien le 5.09.09
Je prie la CNDA de comparer l’original avec le
seau rond UNIVERSITAS ATE et leur absence sur son doublon. Je prie de
constater l’absence des deux signatures mentionnées.
40b/ Je prie la CNDA de
confronter la liste de mes examens du supplément original, qui a tous les
crédits des exigences européennes, et les examens du doublon du nouveau
supplément qui n’ont pas les numéros et chiffres de l’original
particulièrement. Je vous présente 5 pages plus importantes de l’original
40c/ Je prie la CNDA de
confirmer que seules 3 pages du doublon sans information obligatoire ont
remplacé 5 pages du supplément original avec l’information nécessaire qui
manque sur 3 pages du doublon sans seaux ronds et sans signatures de cette même
façon.
40d/ Toutes mes demandes et
prière, de mettre les seaux avec les signatures absentes pour 500 euros,
étaient inutiles. Pour 500 euros, l’Université de Trente n’a voulu ni publier
les numéros de mes examens sur les pages du supplément, ni mettre les seaux
UNIVERSITAS ATE, ni faire les signatures obligatoires sur mon diplôme et sur
mon nouveau supplément. En Suisse, j’ai manifesté le doublon sans seaux du
diplôme perdu et celui de mes examens sans numéros obligatoire. Je remercie
l’Ecole Pédagogique du Valais que non officiellement l’un de ses représentants
m’a rendu l’original du supplément de mes examens avec leurs numéros, avec
leurs seaux et avec leurs signatures qui manquaient dans mon nouveau doublon du
supplément en 2019. En outre, l’on n’a pas pu trouver l’original de mon diplôme
qui avait tous trois signatures et le seau UNIVERSITAS ATE. Si j’avais su
recevoir le doublon de mon master italien avec le seau mentionné et avec toutes
ses trois signatures, j’aurais demandé mon asile en Italie le 4 janvier 2020. Je
prie la CNDA de confirmer les mutations illégales du doublon de mon
diplôme italien et de son nouveau supplément qui ne sont pas valables sans
seaux, sans signatures et sans numéros de me examens. Sans ces mêmes trois
aspects, mon MA de Trente perd sa validité en Russie et en Israël. J’ai mon
droit d’accepter ces mutations italiennes de mon MA de Trente par leurs
persécutions qui m’interdisent de trouver mon travail par mon MA de Trente en
dehors de l’Europe en Russie et en Israël. Sans pression israélienne et
américaine en Italie, ces mêmes mutations étranges étaient impossibles
et inutiles. Sans copie confirmée par le notaire en 2004 pour ces mêmes
mutations en Russie, l’on pouvait me condamner dans la falsification de mon
master soutenu par moi le 20 octobre 2004 à l’Université de Trente. L’Italie a
annulé la validité de mon MA de Trente par l’absence du seau UNIVERSITAS ATE,
par l’absence de la signature du Recteur et de celle du Président de la
Faculté. Le nouveau contrat d’amitié entre Israël et l’Europe et mes
détentions falsifiées en Allemagne ont obligé l’Italie à me donner les doublons
de mon master et de son supplément sans seaux, sans signatures et sans numéros
obligatoires de mes examens.
41/ De cette même façon, je
prie la CNDA de constater que pour mes détentions falsifiées en Allemagne, M.
Frédéric de BUZON et M. Dominique BEYER ont perdu leurs places des directeurs
d’équipe en philosophie et en histoire à l’Université de Strasbourg en 2010. De
cette même, M. le décan du département en philosophie Pablo García Castillo a
été envoyé aux vacances sabbatique pendant l’année académique 2011-2012. Pour
les intérêts à ma thèse, M. Cerilo Florez Miguel a été envoyé à la pension en
2011. Le jeune professeur Ángel Poncelo González ne travaille plus à l’Université
de Salamanque pour son désir de suivre ma cotutelle en espagnol et en italien.
De cette même façon pour le désir de suivre ma thèse à l’Université de
Lausanne, M. le Professeur Christoph Erismann a été remplacé par Gian-Franco
Soldati en 2015 pour suivre les étudiants de M. Erismann à Lausanne et partout
en Suisse. En Autriche dans trois fois, le
salaire de M. Christophe Erismann a devenu plus bas à l’Université de Vienne
qu’à celle de Lausanne. Je prie la CNDA d’annuler la décision de l’OPFRA qui ne
reconnaît pas mes problèmes de santé que j’aurais développés suite à la
radioactivité de mon domicile à Perpignan en 2011. Je prie la CNDA
de confirmer le fait que mes problèmes de santé ont devenu peu
substantiels seulement en 2015 et depuis 2015 jusqu’à nos jours ne se
modifient pas comme ceux de Vladimir Ivanovitch Altoukhov qui n’avait aucun
tumeur à Strasbourg. Seulement sur la Place 3 ESPLANADE Edouard LE ROY, M. V.
Altoukhov a développé le cancer de son estomac et nombreuses kystes ont apparu
dans mon foie. A Perpignan en 2011, l’on a enlevé trois kystes dans mes pieds.
Ma kyste sur mon œuf des testicules n’existait pas à Strasbourg en 2011 avant
notre déménagement à Perpignan. Regardez les pages 47-49. En 2020, M. Vladimir
Altoukhov a peur de louer un seul appartement avec moi que celui-ci ne soit pas
radioactif comme au premier étage des Tour Barrandes sur la la Place 3
ESPLANADE Edouard LE ROY. J’espère que M. V. Altoukhove puisse à vaincre sa
crainte et revienne à Perpignan. Seule sa peur a obligé M. Vladimir Ivanovitch
Altoukhov de ne pas me laisser son téléphone en dehors de la France, sa
nouvelle adresse, son nouveau skype et son e-mail. Je prie la CNDA de me
présenter l’asile politique que je ne répte pas le destin horrible de M. Serguei
Alexandrovitch Choumilov capitaine de l’énorme bateau russe qui n’a pas reçu
l’asile à Strasbourg en 2008. Pour M. le
Capitaine Sergueï Alexandrovitch Choumilov / Alexander Kiriyatskiy, le poète
Aujourd'hui et en France, Galitch est la bête,
Téléphone au cent quinze, l'on bat mes poètes.
Réfugié, par ton front, un drogué rompt l'assiette,
Mange comme ces français sans raison et sans tête
Ta Russie se rappelle dans mon cœur
Tienne ton sac sous ta main, ce destin nous rejette,
Dors sans pied! Réveilles-toi à six heures
Hors des fêtes!
Les bandits volent, nous mentent: ils cessent de sentir
Leur douleur pour quelle drogue! Car obtiennent le
plaisir.
L'âme sauvage voudrait tuer l'autre forme pour rire,
Trouve la cause claire afin d'obliger à souffrir,
Un vieillard, requérant de l'asile
Au passé, celui-ci dirigeait son navire
Commercial, voyageait vers les îles
Pour dormir
Dans une salle avec ses animaux, dans les nuages,
Qui ne sont plus les hommes, car ils n'ont que leur rage,
Portent l'ère des souffrances dures à tous nos âges.
L'un de ses diables vifs te dévoile son visage.
Il menace notre vieux capitaine
À Strasbourg, l'Homme ne perd pas l'honneur et ses sages,
Où il ne s'abaisse pas jusqu'aux chiens,
En dommage.
Toute la nuit avec soi, les ivrognes parlent. Crient,
Et, parfois, ces stupides pissent dans leurs literies.
Au matin, l'on donne la nourriture, l'ordre rit.
À sept heures, l'homme quitte ce bâtiment triste, gris...
Le malade très âgé est à pieds
Tout le jour. Pour cette vie en Europe, c'est son prix.
Dans douze heures, il revient au foyer
De souris.
L'on dit qu'il n'est pas le réfugié. Ce statut
Conduit le capitaine aux drogués qui nous tuent.
Dont il prie l'aide trop tard, ce vieillard a perdu
Le printemps, car, il y a vingt ans, il avait dû
Embarquer son bateau à New-York
Et l'asile politique pouvait être vendu.
À l'océan, il rattrape l'os de l'orque
Dépendu.
42/ Je prie la CNDA de
confirmer que mes œuvres poétiques que je produis, de telles
considérations apparaissent relever des cas prévus aux articles L711-1, L712-1
et suivants du Code d l’Entré et du Séjour des Etrangers et du Droit d’Asile en
France. Je n’irai jamais en Israël. Ce dernier est le féodal qui avait
acheté les russes juifs. Il bat les adolescents et humilie ses enfants par la
police des russophobes. Israël n’était jamais mon pays. Je ne suis pas l’un des
esclaves de cet Etat Américain sous le titre Israël. Je prie la Cours Nationale
des Droits d’Asile d’annuler le refus de l’OFPRA et de confirmer que mes
plusieurs documents et mes 60 poèmes épiques en français me permettent
d’obtenir mon asile artistique en France.
Vers cette tente très
froide d'une souris / Poésie d'Alexander Kiriyatskiy
Un Homme avait, en
Sibérie,
Une chambre. Des bandits
l'ont pris...
Nos clans russes dictent
aux Mairies
Qui doit quitter
Vite quel appartement
gratuit,
Leur propriété?
À leurs patrons, l'on ne
dit rien.
Auprès du clan, l'Homme
est le chien,
Laisse sa maison. Il
prend le train,
Va à Moscou,
Où l'on lui ferme ses
chemins:
«Comme toi, beaucoup
De peuples pauvres prient
des droits!
Oublie des journalistes.
Crois
À nos journaux, où seuls
leurs rois
Sont populaires
Sur chaque Fortune. Mec,
c'est pourquoi,
Vis sous ta terre.
Ami, avec ton corps très
géant
Va vers l'Europe. Là,
passe un an,
Au champ trouve le
travail comme l'âne
De nombreux genres.
Mec, donne tes pieds aux
hauts paysans
Pour te surprendre...»
Un peu plus tard, ce
Sibérien,
Est le touriste au Jardin
Du Luxembourg, l'Etat du
Bien
Quel riche t'invite.
Vers l'Angleterre va son
copain,
Par l'or d'Aspide.
Dévoile au Russe un beau
village,
Des belges pour gagner le
stage.
L'Homme ramassait, à son
jeune âge,
Comme un glaneur,
Plusieurs maïs, son grand
courage
Aime tous les mœurs,
Avait voulu passer une
nuit,
Au champ, où l'œil s'est
endormi...
À l'aube, il n'a pas peur
des bruits
De son moteur...
Coupait son pied, comme
du coq cuit,
L'agriculteur
Flamand qui n'a pas
arrêté,
Tout de suite, sa
machine. Broutait
Dans ce champ, où l'Homme
russe goûtait
L'image du ciel.
Ses pantalons étaient
jetés
Dans les poubelles
Comme les morceaux de son
passeport
Sanglant. À l'hôpital,
son corps
Passait deux jours, car
un loup fort
D'un ministère
Criait que l'Homme aura
la mort
Dans cet enfer,
Comme les malades
"Mentaux". Leurs murs
Ont rappelé toutes les
blessures.
Ce diable de la
Préfecture,
Qui parle russe,
Lui a menti que son futur
Lui donne des puces.
Il expliquait: «Mec, ta
gangrène
Infectera, par toutes les
veines,
Ton sang et tu voudras
tes chaines
Qui sont bien mieux
Que ta mort lente des
hyènes,
Verras ton Dieu!»
Nombreux journaux ont
publié
Cinq phrases que ce sang
était lié
Avec l'homme qui avait
brûlé
Toute sa conscience,
Qu'il ne pouvait bien
calculer
Aucune distance
Entre l'esprit malade
mental
Et leurs hommes qui ont
vu ce mal,
Que ce blessé est
l'animal.
L'on l'avait su,
Mais l'a fermé dans
l'hôpital
Des aperçus,
D'où l'Homme sans pied
s'est réfugié
Un jour plus tard, car il
neigeait.
Aux journalistes, il
bougeait
Par son jaune pus.
Sa jambe bleue fait
opérer
Ce pied rompu.
Au Nouvel An, l'arme l'a
fait
Quitter cet hôpital d'un
prêt,
L'Homme sans prothèse a
immigré
Dans le Pays-Bas.
À Amsterdam, malgré son
gré,
L'ordre le bat,
A fait tomber sur son
plancher,
Dans sa prison pour lui
cacher
Toutes nos fiertés. Dans
leurs clichés,
Montrait ces grèves
Sur l'invalide. Mais il
cherchait
Les fruits des rêves.
Lorsqu'il arrive en
Allemagne,
Sans cause, son existence
gagne
Ce même carcel. L'on
coule ce sang
À Offenburg.
Sans noire peur, l'homme
s'approche des bagnes
Seul à Strasbourg.
Sous un chemin se trouve
sa tente,
Grace à ce rare bonheur,
l'âme chante.
Aux pauvretés très
différentes
L'on aide en France,
Où seules les Muses, qui
sont brillantes,
N'ont aucune danse.