Absence du droit sur l’alibi en Europe ou
Silence obligatoire des moutons européens de masses sans voix
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дек, 2011 в 15:15
Absence
du droit sur l’alibi en Europe ou Silence obligatoire des moutons européens de
masses sans voix
Je m’appelle Alexander KIRIYATSKIY. A
Du 30.04.2009 au 4.09.2009, je me trouvais en Israël. Le 25 avril
2010, j’allais en train vers l’Italie afin d’obtenir mon inscription en
cotutelle entre l’Université de Strasbourg et l’Université des Etudes de
Trente. Cette dernière pouvait me fournir la carte de séjour en Europe de la
même manière quelle l’avait fait de 2002 à 2004, alors que j’étais doctorant et
que mon directeur de thèse travaillait à l’Université de Strasbourg. J’ai
préféré aller chez mon ami italien pour finir la composition de ma thèse et
tenter de la soutenir au mois d’octobre à Strasbourg et à Trente. Si j’étais
venu en Israël avec mon diplôme de docteur en automne 2010 et si j’avais quitté
Cette dernière m’interdit de traverser le territoire de
l’Allemagne du 28.07.2009 au 28.07.2019. Du 30.04.20 au 5.09.2009 je me
trouvais en Israël. Du 30.04.2009 au 5.09.2009 je n’avais aucune possibilité de
me trouver simultanément en Israël et faire la même «action criminelle à Kehl
du 28.07. 2009». Je n’ai rien fait contre l’Allemagne. Mais j’appartiens à la classe
inferieure des russes intellectuels. Je ne veux ni vivre, ni étudier en
Allemagne. En outre, c’est l’unique pays européen, dans lequel peut arriver
chaque israélien, en ayant non moins que 3600 euros pour six mois afin de louer
une chambre et trouver un avocat. Qui avait passé l’examen de l’allemand,
aurait reçu la carte de séjour permanente sur le territoire de l’Allemagne et
d’aucun autre pays. Malgré ce mon droit, l’Allemagne essaie de m’attribuer le
crime falsifié. Le 29 juillet, j’ai reçu mon passeport à Tel-Aviv.
Le 12 mai 2010, j’ai prié l’Ambassade d’Allemagne à Tel-Aviv d’annuler
l’erreur de la police, car mon même passeport démontrait que je ne pouvais rien
faire en Allemagne le 29 juillet 2010. Cette Ambassade n’a rien annulé dans mon
dossier. Elle a pris mon passeport pendant 20 minutes et me l’a rendu
détérioré.
Lorsque j’ai posé la question: «On m’a détérioré mon passeport ?»,
son représentant ne m’a pas répondu et m’a dit seulement que je devais payer 30
euros et envoyer la lettre à la police allemande et demander: «Pour quelle
raison on m’a interdit de traverser le territoire allemand depuis le 29 juillet
2009 jusque 28 juillet 2019?».
Comme je n’étais pas d’accord avec cette réponse et comme mon passeport
n’était plus valable, on m’a interdit de revenir plus à cette Ambassade
d’Allemagne et avec mon nouveau passeport pour régler ces problèmes.
Immédiatement, j’ai montré tous mes documents et mon passeport abimé à
l’Ambassade d’Espagne, qui se trouvait dans ce même bâtiment à Tel-Aviv.
Israël ne m’a présenté aucun avocat pour régler mes problèmes en
Allemagne. En outre, un homme «Avi» a visité tous les endroits, où j’ai
travaillé en 2008 et en 2009. Ce Monsieur Avi m’a interdit de me présenter à un
poste de travail officiel et de payer mon assurance maladie, alors que j’ai
commencé à travailler illégalement. Je suppose que la mafia israélienne a
provoqué mon arrêt en Allemagne pour que je ne puisse pas rester en Italie et
terminer ma thèse aux derniers jours du mois d’août 2010.
Afin d’éviter la soutenance de ma thèse et d’éviter la concurrence sur
le marché israélien du travail comme en Allemagne, en France cette même mafia a
obligé M. Frédéric DE BUZON à cesser d’enseigner à l’UdS en licence et en
master et de diriger ma thèse. Je présente à
De: alexander.kiriyatskiy@etu.unistra.fr
À: Frédéric de Buzon
Sujet: A l’âge de 50 ans et plus tard, il sera très difficile de
recevoir de nouveaux les heures d’enseignement distribuées parmi les
autres professeurs. M. le Professeur Frédéric DE BUZON, au
département on m’a dit depuis le 19 septembre 2010 que Vous avez cessé d’enseigner
à l’UdS à
Frédéric de Buzon
alexander.kiriyatskiy@etu.unistr
Monsieur, je vous ai déjà dit et écrit plusieurs fois que je ne voulais
plus, pour des raisons scientifiques qui vous ont été précisées, diriger votre
thèse et vousaccorder des délais supplémentaires après la période de trois ans
au terme de laquelle elle aurait dû être achevée ou proche de l’achèvement.
L’équipe d’accueil de philosophie ainsi que l’école doctorale des humanités ont
confirmé ce refus opposé à votre demande. Vous ne paraissez pas avoir bien
compris que le seul motif de cette décision est que vous n’avez pas la
possibilité de réussir une thèse de philosophie, en langue française, dans un
délai raisonnable. Je le regrette vivement, mais c’est ainsi. Je ne peux pas
vous empêcher de croire ce que vous voulez quant à mes raisons, mais sachez que
je n’ai obéi, à regret, qu’à l’évidence et nullement à la pression de qui que
ce soit. Ce qui est déjà peu tolérable lorsque cela reste entre nous devient
absolument insupportable quand des collègues d’autres universités ou d’autres
pays sont pris à partie, et des personnalités qui ne sont pour rien dans vos
problèmes sont mises arbitrairement en cause. Or, il me revient régulièrement
depuis le mois de septembre des messages de collègues qui m’informent de vos
démarches et des calomnies que vous répandez à mon endroit, et j’en ai eu unexemple
ce matin encore. C’est pourquoi je vous demande une fois pour toutes: 1/
de cesser le harcèlement dont je fais l’objet, particulièrement depuis l’été
2010;2/ de cesser de me mettre en cause dans vos démarches et de cesser de
répandre des contre vérités sur mon compte, et tout spécialement à propos de
mes activités professionnelles. Je communique ce message aux directeurs de
l’école doctorale des humanités et de l’équipe d’accueil de philosophie de
Strasbourg. Je précise en outre que, si ce harcèlement et ces calomnies
devaient se prolonger, j’aviserai le service juridique de l’université de
Strasbourg pour suite à donner. Frédéric de Buzon Professeur à l’Université de
Strasbourg. Afin de persuader M. Frédéric DE BUZON d’écrire officiellement
le mensonge sous la pression non officielle à la quatrième année de mon
doctorat et pour démonter la puissance de cette pression, la mafia a falsifié
les documents de mon arrestation en Allemagne le 25 avril 2010,
car
n’y avait pas encore le document falsifié que «du 29 juillet 2009 au 27 juillet
2019, je n’avais aucun droit de traverser le territoire d’Allemagne». Avant les
discours avec la mafia, M. Frédéric DE BUZON se préoccupait de ma Bourse.
La mafia était sûre que ni
De même, il a peur à présent de m’admettre pour ma quatrième année
académique en philosophie. C’est pourquoi jusqu’à 14 heures le 25 novembre
2010, Messieurs les Professeurs Eckart WIRBELAUER et Dominique BEYER étaient
sûrs qu’à 15 heures du même jour ils pouvaient signer mon formulaire et
m’admettre pour la première année de leur Ecole Doctorale. M. le directeur
d’équipe en histoire Dominique BEYER m’a écrit le 22 novembre: «Je gagnerai
du temps si vous pouviez me dire quel professeur a signé votre formulaire? J’ai
transmis votre message à mon collègue Wirbelauer, professeur d’histoire
romaine. Bien cordialement, D Beyer. Dominique BEYER. Directeur de l’UMR 7044
Etude des Civilisations de l’Antiquité Maison des Sciences de
l’Homme-Alsace(MISHA) 5, allée du Gal Rouvillois C 50008 F-67083 STRASBOURG
Cedex. Tél. 03 68 85 61 92- Secrétariat Sabine Zinck: 03
68 85 61 93.» Le 24 novembre 2010 à 19:32, j’ai envoyé le message
suivant à M. le Pr. Eckart WIRBELAUER: «Cher M. le Professeur Eckhard Wirbelauer, je
m’appelle Alexander KIRIYATSKIY. Je vous
envoie deux formes de mon CV http://m310014.uqam.ca/CurriculumFR.pdf et http://m310014.uqam.ca/CurriculumFR.htm dans
l’optique d’être inscrit à votre Ecole Doctorale en histoire. En automne 2007,
je n’ai pas profité de l’opportunité d’être inscrit à votre Ecole Doctorale en
histoire. Vous avez signé mon formulaire afin de suivre ma thèse en histoire
antique sous le titre «Le chemin vers le grand silence médiéval de l’Empire
Romain depuis 284 jusqu’à 567 en politique, en philosophie et en littérature»http://m310014.uqam.ca/Hist.htm .
Peut-être, suivrez-Vous cette thèse en 2010 comme il la dirigea en automne
2007. Je voudrais rédiger cette thèse en cotutelle entre l’Université de
Strasbourg et celle de Fribourg en Suisse, où j’ai envoyé cette même demande
d’inscription à l’École Doctorale d’histoire, car à cette Université Vous avez
soutenu votre thèse en 1992 sous le titre « Les conflits autour du siège
épiscopal romain dans l’Antiquité tardive. Avec une édition critique des documenta
Symmachiana et Laurentiana». Je m’appuierai sur ce travail, si ce dernier était
traduit en français, en italien ou en espagnol. A mes regrets, je ne sais
pas l’allemand. De même, j’utiliserai votre publication en italien sou le titre
« Il papato di San Simmaco (498-514). Atti del Convegno internazionale
di studi Oristano 19-21 novembre 1998., Cagliari : Italie (2000)». En 2007, l’Université de Strasbourg (Marc Bloch) m’a
admis à son École Doctorale en philosophie et en histoire antique. En 2007,
j’eu à choisir l’histoire et développer ce projet de thèse. On m’a inscrit en
philosophie plutôt qu’en histoire antique. Ce fut la raison pour laquelle, j’ai
mit de côté l’histoire antique au profit de la philosophie de
et,
en 2010, n’a pas accepté cette même recherche plus développée et plus
systématisé par ses recommandations du printemps de 2010. Je pourrais composer
ma thèse en histoire immédiatement en français et en italien comme je l’ai
fait, lorsque j’écrivais ma thèse en philosophie depuis 2007 jusqu’à nos
jours http://m310014.uqam.ca/Bloch/3doctorat.pdfhttp://m310014.uqam.ca/Bloch/3doctoratIT.pdf (évidemment
ma traduction en italien n’illustre pas tout le propos de mes recherches qui
pourront mieux se comprendre en français, car cette traduction très rapide
compte encore quelques fautes en italien). Excusez-moi pour mon absence pendant
3 années perdues au département en philosophie. Donnez-moi, s’il vous plaît,
votre réponse plutôt et permettez-moi de rédiger ma thèse en cotutelle entre
l’Université de Strasbourg et celle, où Vous avez soutenu votre thèse en 1992.
Mes diplômes sont MASTER 2 en LETTRES (histoire de littérature): http://m310014.uqam.ca/Prof.fr.htm et
en Philosophie (histoire de philosophie): http://m310014.uqam.ca/2_Diploma.htm Confirmation
des mêmes diplômes au Canada: http://m310014.uqam.ca/Master.equiZ.htm Documents
de ma scolarité à l’Ecole Doctorale de Strasbourg de 2007 à 2010: http://m310014.uqam.ca/Bloch/Doctorant.htm.
Le secrétaire Madame Marie-Carmen Ramirez m’a dit que le temps des inscriptions
étant déjà passé pour pouvoir m’inscrire en histoire il fallait que vous lui
téléphoniez. J’ai deux documents qui démontrent que vous avez la possibilité de
m’admettre pour cette année au mois de novembre 2010. Ces documents présentent
mon inscription pour ma deuxième année 2008-2009 en philosophie.
Comme maintenant, en automne 2008, M. le Professeur Frédéric DE BUZON attendait
quelques informations qu’il n’a reçues qu’en 2010. C’est la raison pour
laquelle, il m’a inscrit seulement le 2 février 2009 pour l’année
universitaire 2008-2009 http://m310014.uqam.ca/Bloch/2ADM1.JPG – http://m310014.uqam.ca/Bloch/2Attestat.JPG.J’estime
M. le Pr. Frédéric DE BUZON et à l’époque je ne posais pas la question de
savoir pour quelle raison je n’avais aucune possibilité d’être admis plutôt
pour ma deuxième année à son Ecole Doctorale depuis le mois de septembre 2008
jusqu’au 2 février 2009. En outre, je suppose que pour la même raison je ne
puisse pas être inscrit pour ma quatrième année en philosophie. De même,
je suppose que ces deux documents démontrent ma possibilité d’être admis à votre
Ecole Doctorale en histoire depuis le mois de novembre. Faîtes-moi savoir
plutôt si ce projet http://m310014.uqam.ca/Hist.htm en
histoire antique, et ce qui motive celui-ci, correspondraient à votre intérêt
comme en 2007. J’espère que Vous m’avez excusé, Alexander KIRIYATSKIY http://m310014.uqam.ca»
Ce même 24 novembre 2010 à 19:52, j’ai reçu la réponse immédiate
de M. le Pr. Eckart WIRBELAUER: «Cher Alexandre, je suis d’accord de
diriger votre thèse si vous m’envoyez une esquisse de votre projet (max. 10
pages, avec un calendrier prévisionnel). Votre projet me semble toujours
intéressant, mais trop vaste à ce moment-ci. Il faudra donc réduire le
programme afin de vous faire réussir. Permettez-moi encore qq questions
pratiques: Pourriez-vous m’expliquer un peu votre situation personnelle?
Habitez-vous à Strasbourg? Sinon, avez-vous accès régulier à des bibliothèques?
Bien à vous Eckhard Wirbelauer». Cette réponse rapide démontre que mon
travail a plait beaucoup à M. le Professeur Eckart WIRBELAUER en automne
2007 et il a excusé l’absence de ma réponse il y a 3 ans. Je n’attendais pas
cette réponse immédiate. C’est la raison pour laquelle, j’ai regardé ma poste
électronique seulement le 24 novembre 2010 à 23:00. Lorsque j’ai lu cette
réponse positive, j’ai diminué le texte sur 10 pages et j’ai envoyé ma réponse
heureuse à mon nouveau directeur de thèse: «Cher M. le Pr. Eckhard
Wirbelauer, je suis heureux de recevoir une réponse positive de votre part.
Aujourd’hui, dans la soirée, je ferai une esquisse de mon projet sur dix pages.
Pour l’heure, mon projet n’a que six pages si vous l’imprimiez depuis Internet.
Devrais-je diminuer mon projet, en la taille des caractères ou devrais-je
écrire quatre pages supplémentaires? J’habite à Strasbourg depuis trois ans au
domicile de mon ami Vladimir ALTOUKHOV sur la rue de Schirmeck 241/6,
Strasbourg 67200. A Strasbourg, j’ai la possibilité régulière de visiter toutes
les bibliothèques. Je mange également gratuitement au restaurant de 7 pains,
car je n’ai pas beaucoup d’argent. Je voudrais rédiger ma thèse en cotutelle,
en ayant un deuxième directeur de thèse à Fribourg. Tous les doctorants
inscrits en cotutelle reçoivent une bourse d’étude. Me permuteriez vous
d’obtenir une cotutelle entre l’Université de Strasbourg et celle de Fribourg? Cher
M. le Pr. Eckhard WIRELAUER, j’ai exécuté votre exigence. Maintenant,
l’esquisse de mon projet de thèse n’occupe que 10 pages. Elle est diminuée et
imprimée par le programme de PDF http://m310014.uqam.ca/Hist2.pdf, où
la quantité des pages est précisément indiqué. Afin de gagner le temps,
informez, s’il vous plaît, plutôt M. le Directeur de votre Equipe Domique Beyer
que Vous êtes d’accord de diriger ma thèse, car j’ai exécuté votre exigence et
j’au innové mon esquisse de projet. Maintenant, il a le titre «Chemin vers le
grand silence médiéval de l’Empire Romain depuis 284 jusqu’à 565 en politique,
en philosophie et en littérature». Informez-lui plutôt, s’il vous plaît, que
Vous permettez de m’admettre à votre Ecole Doctorale par tous les ordres. Votre
doctorant Alexander KIRIYATSKIY http://m310014.uqam.ca »
Le 25 novembre 2010 à 14:00 Messieurs les Professeurs Dominique BEYER et Eckart
WIRBELAUER m’ont dit qu’à 15 heures du même jour je devais arriver au cabinet
de M. Dominique BEYER et prendre les formulaires remplis par mon directeur de
thèse M. Eckart WIRBELAUER et le directeur d’équipe M. Dominique BEYER. En
outre, à 15 heures, M. Dominique BEYER ne m’a donné aucun formulaire. Il m’a
expliqué qu’il était trop tard d’être admis à son Ecole Doctorale. C’est
la raison pour laquelle, seule la permission du Président de l’Université de
Strasbourg pouvait leur permettre de m’inscrire au doctorat en histoire. Mais
sous la pression de la mafia israélienne M. le Président Alain Beretz a donné
la réponse négative. On a obligé M. le Professeur Eckart WIRBELAUER à annuler
son opinion. Cette dernière n’était pas modifiée de l’automne 2007 jusqu’à 14
30 le 25 novembre 2010. Alors je n’ai pas perdu ma croyance dans démocratie en
France et dans la possibilité de ne pas avoir peurs des détentions comme à l’époque
de Staline en URRS de 1928 à 1954. Seulement pendant cette époque de la terreur
cachée sous la voile de la démocratie de Staline, les professeurs modifiaient
leurs opinions immédiatement sous la peurs des contacts avec les hommes de la
liste noire. Mais après la mort de Staline de 1954 au 2010, cette peur a
disparue et les premiers défendeurs des droits humains ont commencé à soutenir
les hommes de la liste noire, comme moi en France en 2010. Aucun professeur ne
refuserait jamais à ses doctorants, si ces derniers ne voulaient pas amener le
régime soviétique et se limitaient à ma critique de la particularité du
communisme, comme je critique la dépendance française de la mafia israélienne.
Toute ma famille était toujours opposée au socialisme soviétique, mais c’était
leur erreur, car ni ma mère ni mon grand père, réhabilité en 1954, n’étaient
jamais persécutés sur les places des études et du travail. C’est la raison pour
laquelle, je n’ai pas eu peur de prier M. le Professeur Eckart WIRBELAUER de me
défendre dans sa lettre au Président de l’Université de Strasbourg. Je n’ai pas
accepté qu’en France en 2010, comme à l’époque de Staline et non plus tard, seuls
les hommes de Fortune avaient le droit soutenus par les professeurs des
universités. Seulement en 1937, la faiblesse minimale des clients provoquait la
peur de perdre le travail sous la pression de la dictature. En outre, je
croyais que
Le 28 novembre, ou afin de ne pas dévoiler l’obligation
antidémocratique de la mafia israélienne ou sous la peur des «ennemis du
peuple» comme à l’époque, M. le Professeur Eckart WIRBELAUER a modifié son
appréciation de mon projet pendant 4 jours sous la pression inconnue. Il faut
souligner le fait qu’il n’a pas perdu le désir de suivre ma thèse du 2007 au 25
novembre 2010. En outre, il a trouvé nombreuses particularités négatives de mon
projet en histoire, alors qu’il a accepté que le 25 novembre 2010 est tardive
de m’admettre à son Ecole Doctorale. Seule l’absence de la démocratie minimale
oblige à modifier immédiatement nos opinions comme M. le Professeur Eckart
WIRBELAUER dans sa réponse à mon appel de l’aide: «Bonjour Alexandre, réflexion
faite, je préfère de ne pas diriger votre thèse ayant considéré votre projet
scientifiquement encore très fragile. Contrairement à 2007, je dirige à l’heure
actuelle déjà 7 thèses, e la vôtre me demandait trop de temps afin de la mener
à une bonne fin. Tout en comptant sur votre compréhension je reste avec mes
meilleures salutations, Eckhard Wirbelauer». Sous la pression de la dictature
absolue, M. le Professeur Eckart WIRBELAUER a dû rejeter mon accord de modifier
immédiatement les idées de mon projet de thèse en histoire. Seulement le 22
mars 2011, j’ai reçu un document signé par M. le Président de l’Université de
Strasbourg le 20 novembre 2010, il y a 5 jours avant ma visite à M. le
Président Alain Beretz le 25 novembre 2010. Ce document explique parfaitement
pour quelle raison M. le Professeur Eckart WIRBELAUER a modifié son opinion
pendant 30 minutes et n’a pas voulu suivre ma thèse comme à l’époque du
stalinisme en URSS.
Je n’appartiens ni à la classe privilégié ni à celle des Hommes
Reconnus. C’est la raison pour laquelle, Israël ne veut pas me permettre de
présenter la concurrence aux représentants de la mafia. Israël paye beaucoup
d’argent à la bureaucratie française, allemande, canadienne, etc. Le bût
est très simple. Je n’appartiens ni à la classe privilégié ni à celle des
Hommes Reconnus. C’est la raison pour laquelle, Israël ne veut pas me permettre
de présenter la concurrence aux représentants de la mafia. Voilà pourquoi, M.
BEYER (juif) a cesse d’occuper la place du directeur d’équipe des doctorants en
histoire antique à l’Université de Strasbourg. Pour démontrer sa puissance, la
mafia israélienne paye beaucoup d’argent à la bureaucratie française,
allemande, canadienne, etc. C’est la raison pour laquelle, cette dernière ne
reconnaît mon statut de réfugié et ne permet pas, aux individus comme moi, de
soutenir la thèse ou être inscrit à un autre département de l’Ecole Doctorale.
De même c’est la raison pour laquelle, Israël ne cesse pas d’être accepté le
pays «démocratique» et ses citoyens abaissés comme les esclaves n’ont aucun
droit de recevoir le statut de réfugié. Si j’avais soutenu la thèse, il serait
plus difficile de ne pas reconnaître mes diplômes et d’obliger à travailler
illégalement pour une sixième partie du salaire minimal et à interdire d’avoir
l’assurance maladie. De même, comme on ne peut pas me permettre d’étudier
à l’Université de Strasbourg, je ne pouvais faire, physiquement, aucune action
criminelle en Allemagne depuis le 30 avril 2009 jusqu’au 5 septembre 2009, car
je me trouvais, en Israël, pendant ce temps. Comme on ne peut pas me permettre
d’étudier à l’UdS, je ne pouvais faire, physiquement, aucune action criminelle
en Allemagne depuis le 30 avril 2009 jusqu’au 5 septembre 2009, car je me
trouvais, en Israël, pendant ce temps.
J’affirme que c’était le document falsifié par les structures non
officielles de l’Allemagne et de
C’est la réponse de l’Université de Tel-Aviv, où il est dit que M.
Alexander KIRIYATSKIY ne peut pas être inscrit pour la première année de son Ecole
Doctorale. L’Université de Tel-Aviv ne reconnait aucun diplôme de master
d’Alexander KIRIYATSKIY ni la première année finie par Alexander KIRIYATSKIY à
l’Ecole Doctorale de l’Université Marc Bloch à Strasbourg.
L’Université de Tel-Aviv affirme qu’Alexander KIRIYATSKIY n’a
rédigé aucun mémoire de MASTER 2. Si M. Alexander KIRIYATSKIY avait approuvé la
connaissance parfaite de l’hébreu et de l’anglais, il devrait passer plusieurs
autres examens et étudier à l’Université payée de Tel-Aviv pendant 5 années et
plus! Afin de soutenir la thèse. L’Université de Tel-Aviv, comme toutes les
autres universités israéliennes et toutes les autres organisations d’Israël, ne
reconnait pas la confirmation israélienne de M. Alexander
KIRIYATSKIY du 10/11/1999 du premier master 2 d’Alexander KIRIYATSKIY qui était
soutenu à travers le mémoire de 80 pages en 1995 à Tachkent après plusieurs
examens passés pendant 5 années universitaires de 1990 à 1995. De même, elles
rejettent le diplôme italien à l’Université italienne de Trente,
où M. A. KIRIYATSKIY a passé les examens pour 309 crédits de 2002 à 2004 et a
soutenu la dissertation en philosophie de 155 pages, pour laquelle M. Alexander
KIRIYATSKIY a reçu le niveau d’Etudes Universitaires Italiennes de la Spécialisation
de MASTER 2. L’Université de Tel-Aviv a rejeté l’Equivalence Canadienne d’Alexander
KIRIYATSKIY de ce dernier diplôme qui correspond officiellement aux études
québécoises des Etudes Universitaires de deuxième cycle complété (programme de
maîtrise). L’Université de Tel-Aviv n’y a pas crû.
De même, la commission de l’Université de Tel-Aviv ne reconnait pas et
ne croit pas au message officieux de l’administrateur M. Paolo Zanei de
l’Université des Etudes de Trente qui a envoyé ce message par fax, par poste
électronique et par courriel, où l’Université de Trente renommée DANS LE MONDE
ENTIER démontre à l’Université de Tel-Aviv que M. Alexander KIRIYATSKIY, né le
11 mai 1970, a reçu le NIVEAU DE MASTER EN PHILOSOPHIE ET LANGUAGES DE
MODERNITE (classe: théorie, morale politique et esthétique en philosophie 18/S)
à l’Université des Etudes de Trente, où M. Paolo ZANEI approuve que M. A.
KIRIYATSKIY a soutenu la dissertationle 20 octobre 2004 avec
l’évaluation 100/110. Le titre de la même dissertation est «Le rôle de la
mémoire dans la «Ruine d’Atlantide» de George Golokhvastov». Son directeur
était le professeur Giuseppe Beschìn de
M. Alexander KIRIYATSKIY est immigrant russe et n’appartient à
aucun de leurs clans en Israël. Il n’a aucun droit sur «les droits de l’homme».
Il n’a aucun soutient de la mafia israélienne ni de celle-ci russe en Israël.
Le sous-homme n’a aucun droit de travailler par ses diplômes et ne doit jamais
prolonger ses études en Ecoles Doctorales. C’est la raison pour laquelle,
Israël a condamné M. Alexander KIRIYATSKIY en printemps 2009. Le compte courant
d’Alexander KIRIYATSKIY a été arrêté. La mafia a prétendu qu’en 2001
Alexander KIRIYATSKIY a acheté une voiture. Alors que M. Alexander KIRIYATSKIY
n’avait aucun argent et ne pouvait trouver aucun travail, car le service secret
Chabak lui a interdit d’étudier et de travailler partout en Israël que ce soit
parmi les nettoyeurs de plancher que parmi les ouvriers dans les usines
dangereuses. Il n’avait aucune raison et aucune possibilité d’acheter une
voiture. Il n’avait aucune information du payement pour cette même voiture
pendant 8 années. La réalité démontre qu’uniquement le 30 avril 2009 Israël a
attribué la même voiture à M. Alexander KIRIYATSKIY, malgré le fait que la loi
proclame qu’Israël excuse tous les prêts aux autres israéliens, alors que 7
années ont passé après la registration du même prêt. Avant le payement du même
prêt falsifié, Israël a interdit à M. A. KIRIYATSKIY d’encaisser les chèques
pour son dur travail sans qualification, alors que ses collègues pouvaient
encaisser les mêmes chèques malgré le fait que leur prêt réel fût plus que de
80 000 shekels.
Le document ci-dessous qu’Alexander KIRIYATSKIY a reçu pour l’achat de
cette même voiture de 2001 à 2002, montre qu’il devait payer les taxes et que
la mairie de Jérusalem a arrêté son compte courant. Pour quelles raisons de 2001
à 2009, M. Alexander KIRIYATSKIY n’était pas informé qu’il devait payer pour
cette même voiture?
Le
document ci-dessous démontre qu’M. Alexander KIRIYATSKIY n’avait jamais les
droits de conduire la voiture et n’a jamais appris à conduire.